Mathieu Rivolier
Genres :
Voix Adulte homme, Voix Senior homme
Tonalité :
Medium, Grave
Langues parlées :
Allemand, Anglais avec accent non déterminé
Accents :
Allemand, Anglais, Italien
Doublage
Voix
Documentaire
Le coronavirus, en bref (Narrateur)
Direction artistique
E! True Hollywood Story (série)
Documentaire
Taking the Stage (série)
Documentaire
Formation
Cours Jean-Laurent Cochet
Cours Florent
Ecole du cirque
Acting in english "Le Petit Atelier"
Chant
Piano
Cours Florent
Ecole du cirque
Acting in english "Le Petit Atelier"
Chant
Piano
Auteur
"Ima le petit zèbre et autres contes" recueil de contes pour enfants
"Les Poissons Volants" une pièce à deux personnages
"Les Poissons Volants" une pièce à deux personnages
Cinéma
"La boum n°2" réalisé par Claude Pinoteau
"Genre masculin" réalisé par Jean Marbeuf
"La bête" réalisé par Valérian Borowczyk
"Rosa la rose" réalisé par Paul Vecchiali
"Sauve-toi Lola" réalisé par Michel Drach
"Il est génial papy" réalisé par Michel Drach
"Genre masculin" réalisé par Jean Marbeuf
"La bête" réalisé par Valérian Borowczyk
"Rosa la rose" réalisé par Paul Vecchiali
"Sauve-toi Lola" réalisé par Michel Drach
"Il est génial papy" réalisé par Michel Drach
Réalisation
"Tambalacoque" (Long métrage)
"Désir Pastel" (Court métrage)
"For one" qui a reçu le "Best Short" 2016 au BIIF, Best Independents International Film Festival de Karlsruhe en Allemagne (Court métrage)
"Sauvetage en océan Atlantique"
"Désir Pastel" (Court métrage)
"For one" qui a reçu le "Best Short" 2016 au BIIF, Best Independents International Film Festival de Karlsruhe en Allemagne (Court métrage)
"Sauvetage en océan Atlantique"
Télévision
2013 "Un cadavre dans le placard" réalisé par Marcel Bélanger. France 3
"Ce fût un bel été" réalisé par Jean Chapot
"Merci Bernard" réalisé par Jean-Michel Ribes
"Le scénario défendu" réalisé par Michel Mitrani
"Meurtre sans pourboire" réalisé par Jean Chapot
"Un chien écrasé" réalisé par Daniel Duval
"Irène et Fred" réalisé par Roger Kahane
"A titre posthume" réalisé par Paul Vecchiali
"Les jurés de l'ombre" réalisé par Paul Vecchiali
"Bonjour Maître" réalisé par Denys de la Patellière
"Le crépuscule des loups" réalisé par Jean Chapot
"L'amour en flamme" réalisé par Tribunal
"Aux innocents les mains vides" réalisé par Intrigues
"Le pompier voit rouge" réalisé par Intrigues
"Honorin et la Lorelei" réalisé par Jean Chapot
"Ce fût un bel été" réalisé par Jean Chapot
"Merci Bernard" réalisé par Jean-Michel Ribes
"Le scénario défendu" réalisé par Michel Mitrani
"Meurtre sans pourboire" réalisé par Jean Chapot
"Un chien écrasé" réalisé par Daniel Duval
"Irène et Fred" réalisé par Roger Kahane
"A titre posthume" réalisé par Paul Vecchiali
"Les jurés de l'ombre" réalisé par Paul Vecchiali
"Bonjour Maître" réalisé par Denys de la Patellière
"Le crépuscule des loups" réalisé par Jean Chapot
"L'amour en flamme" réalisé par Tribunal
"Aux innocents les mains vides" réalisé par Intrigues
"Le pompier voit rouge" réalisé par Intrigues
"Honorin et la Lorelei" réalisé par Jean Chapot
Théâtre
"Le pont japonais". Théâtre Antoine
"Détruire dit-elle" de Marguerite Duras. American Center
"Le roman de Renart". Théâtre de Paris
"Lorenzaccio". Théâtre 13
"L'île d'Arturo" mise en scène de Pierre Romans. Tréteaux de l'île Saint Louis
"Les chiens de Dieu". Parc Floral
"Détruire dit-elle" de Marguerite Duras. American Center
"Le roman de Renart". Théâtre de Paris
"Lorenzaccio". Théâtre 13
"L'île d'Arturo" mise en scène de Pierre Romans. Tréteaux de l'île Saint Louis
"Les chiens de Dieu". Parc Floral
Interview
R.S : Bonjour Mathieu...
M.R : Bonjour l'homme de l'ombre.
R.S : Comment se sont passés tes débuts d'artiste ?
M.R : J'ai commencé assez tard, après un bref passage à la fac et le temps de faire des jumeaux. Lorsque j'ai voulu rentrer au Conservatoire, j'avais dépassé la limite d'âge. J'ai donc pris des cours privés où j'ai rencontré Tony Joudrier qui m'a poussé à faire mes premiers pas sur scène, puis j'ai eu la chance que François Florent m'ouvre gratuitement la porte de son école pendant deux ans, étant peu fortuné.
R.S : Tu as suivi des cours de comédie, tu es passé par l'école du cirque, il y a eu aussi le chant, le piano… Est-ce une soif d'apprendre intarissable ?
M.R : C'est simplement un plaisir personnel.
R.S : Que ce soit devant un public ou devant une caméra, le jeu est le point commun mais la façon de l'aborder est-elle différente ?
M.R : Oui, c'est différent. Au théâtre, tu as le temps de faire mûrir ton personnage, au cinéma, ton instinct prévaut.
R.S : Tu as également réalisé "Sauvetage en océan Atlantique". Peux-tu en parler ?
M.R : Je l'ai fait pour les sauveteurs landais dans un but pédagogique.
R.S : Comment as-tu pris le chemin du doublage ?
M.R : Un jour que je me post-synchronisais, Georges Berthomieu m'a présenté à Jacques Ebner qui m'a formé. Je dois aussi beaucoup à Jacques Barclay.
R.S : Est-ce une autre forme d'expression en tant que comédien ?
M.R : Non, si ce n'est que c'est un travail de l'ombre. Cela permet aussi de s'offrir une part de rêve en endossant le pardessus d'autres comédiens.
R.S : A-t-on quand même une petite part de liberté lorsqu'on double un comédien étranger ?
M.R : Oui, mais la marge est faible car il faut être fidèle à l'interprétation de l'acteur qu'on double.
R.S : Doubler un personnage animé, ce doit-être rafraîchissant ?
M.R : La liberté est plus grande, mais le jeu est quand même orienté par le directeur artistique.
R.S : Justement, tu es également directeur artistique. Le fait d'être comédien t'aide-t-il pour en diriger d'autres ?
M.R : Oui, ça aide, mais le plus important est d'aimer les autres. J'ai une chance phénoménale de diriger de très beaux films et je remercie les personnes qui me les offrent.
R.S : En dehors de ton métier quelles sont tes passions ?
M.R : L'amour, les voyages, la plongée sous-marine...
R.S : Merci beaucoup Mathieu.
M.R : Merci, Reynald, de nous mettre dans la lumière.
Interview d'avril 2008
M.R : Bonjour l'homme de l'ombre.
R.S : Comment se sont passés tes débuts d'artiste ?
M.R : J'ai commencé assez tard, après un bref passage à la fac et le temps de faire des jumeaux. Lorsque j'ai voulu rentrer au Conservatoire, j'avais dépassé la limite d'âge. J'ai donc pris des cours privés où j'ai rencontré Tony Joudrier qui m'a poussé à faire mes premiers pas sur scène, puis j'ai eu la chance que François Florent m'ouvre gratuitement la porte de son école pendant deux ans, étant peu fortuné.
R.S : Tu as suivi des cours de comédie, tu es passé par l'école du cirque, il y a eu aussi le chant, le piano… Est-ce une soif d'apprendre intarissable ?
M.R : C'est simplement un plaisir personnel.
R.S : Que ce soit devant un public ou devant une caméra, le jeu est le point commun mais la façon de l'aborder est-elle différente ?
M.R : Oui, c'est différent. Au théâtre, tu as le temps de faire mûrir ton personnage, au cinéma, ton instinct prévaut.
R.S : Tu as également réalisé "Sauvetage en océan Atlantique". Peux-tu en parler ?
M.R : Je l'ai fait pour les sauveteurs landais dans un but pédagogique.
R.S : Comment as-tu pris le chemin du doublage ?
M.R : Un jour que je me post-synchronisais, Georges Berthomieu m'a présenté à Jacques Ebner qui m'a formé. Je dois aussi beaucoup à Jacques Barclay.
R.S : Est-ce une autre forme d'expression en tant que comédien ?
M.R : Non, si ce n'est que c'est un travail de l'ombre. Cela permet aussi de s'offrir une part de rêve en endossant le pardessus d'autres comédiens.
R.S : A-t-on quand même une petite part de liberté lorsqu'on double un comédien étranger ?
M.R : Oui, mais la marge est faible car il faut être fidèle à l'interprétation de l'acteur qu'on double.
R.S : Doubler un personnage animé, ce doit-être rafraîchissant ?
M.R : La liberté est plus grande, mais le jeu est quand même orienté par le directeur artistique.
R.S : Justement, tu es également directeur artistique. Le fait d'être comédien t'aide-t-il pour en diriger d'autres ?
M.R : Oui, ça aide, mais le plus important est d'aimer les autres. J'ai une chance phénoménale de diriger de très beaux films et je remercie les personnes qui me les offrent.
R.S : En dehors de ton métier quelles sont tes passions ?
M.R : L'amour, les voyages, la plongée sous-marine...
R.S : Merci beaucoup Mathieu.
M.R : Merci, Reynald, de nous mettre dans la lumière.
Interview d'avril 2008