Baptiste Marc
Doublage
Voix
Documentaire
Audible : Vaincre sur tous les terrains (Amaree McKenstry-Hall)
Documentaire
Blood Runs Cold (Alton Williams)
Documentaire
Climate Change : Ade on the Frontline (Ade Adepitan)
Documentaire
Selling Sunset (Romain Bonnet)
Documentaire
Welcome to Earth (Dwayne Fields)
Jeu télé
Chef cinq étoiles (Dominic Taylor)
Narration
Chicks on Boards
Télé-réalité
Du Cash à Gogo (Yvng Swag)
Télé-réalité
Roaring Twenties (Kamari Bonds)
Voice-over
Close Proximity
Voice-over
Cuisine sauvage
Voice-over
Esprits détonants
Voice-over
First Man Out (Hakim Isler - Saison 2)
Voice-over
Le crime et ses raisons
Voice-over
Le défi des titans (Alex Mendez)
Voice-over
Les gourous de la pêche
Voice-over
No Wave Back
Voice-over
Science infuse
Voice-over
The Empire of Winds
Voice-over
Yianni Supercar Customiser (Voix Diverses)
Formation
2016/2017 Actors Factory
2012/2014 Ateliers Blanche Salant & Paul Weaver
2011/2012 Formation Doublage et Voix-off
2010/2012 Acting International
2012/2014 Ateliers Blanche Salant & Paul Weaver
2011/2012 Formation Doublage et Voix-off
2010/2012 Acting International
Courts métrages
"Seulement L'inconnu" réalisé par Anne-Lise Maurice, dans le rôle du Migrant
"Politiquement Incorrect" réalisé par Morgane Parelli, dans le rôle du Serveur taquin
"Paradoxe" réalisé par Caroline Wolf Trombini, dans le rôle de Salif
"Now & Them" réalisé par Françoise Ellong, dans le rôle du scientifique
"Politiquement Incorrect" réalisé par Morgane Parelli, dans le rôle du Serveur taquin
"Paradoxe" réalisé par Caroline Wolf Trombini, dans le rôle de Salif
"Now & Them" réalisé par Françoise Ellong, dans le rôle du scientifique
Théâtre
"Roméo & Juliette" de William Shakespeare - mise en scène de Laura Benson, dans le rôle de Roméo
"Une demande en Mariage" d'Anton Tchékov - mise en scène de Jérôme Méla, dans le rôle de Lomov
"Othello" de William Shakespeare - mise en scène de Manu Doublet, dans le rôle d'Othello
"Une demande en Mariage" d'Anton Tchékov - mise en scène de Jérôme Méla, dans le rôle de Lomov
"Othello" de William Shakespeare - mise en scène de Manu Doublet, dans le rôle d'Othello
Interview
R.S : Bonjour Baptiste.
B.M : Coucou Reynald.
R.S : Quel a été ton parcours de comédien ?
B.M : Eh bien pour tout dire, je n’ai commencé à me lancer dans le théâtre qu’à partir de mes 21 ans. De là j’ai intégré plusieurs formations de comédien sur Paris car je n’avais aucune expérience à cette époque. J’ai commencé par Acting International, puis les Ateliers Blanche Salant et pour finir l’Actors Factory où je continue d’être actuellement. J’ai également fait une formation de doublage au milieu de tout ça. J’ai ainsi pu expérimenter le travail sur scène mais également le jeu devant la caméra et le doublage pratiquement en même temps. Baigner dans toutes les différentes facettes du métier de comédien m’a fait tomber amoureux du métier.
R.S : Comment as-tu pris le chemin du doublage ?
B.M : A vrai dire, le doublage a toujours été ma passion et si je me suis lancé dans le métier de comédien c’est avant tout pour pouvoir en faire. Enfant j’étais passionné par les cartoons et les dessins animés (je le suis toujours d’ailleurs) Je rêvais de pouvoir rencontrer les Looney Tunes ou Batman et quand j’ai découvert qu’ils n’existaient pas et que c’était des personnes qui donnaient vie à leur voix et leurs attitudes, je fus déçu mais également émerveillé par ce que ces personnes étaient capables d’accomplir. A partir de là je me suis renseigné sur comment intégrer le milieu et j’ai commencé à prendre des cours de théâtre.
R.S : L'acquisition de cette technique t'a-t-elle semblé difficile ?
B.M : En surface non, mais concrètement c’est bien plus difficile qu’il n’y paraît. Au début j’ai eu la naïveté de penser qu’il suffisait de bouger ses lèvres en même temps que la personne à l’écran et de retenir son intonation. Mais la technique du doublage est une vraie gymnastique qui diffère totalement du jeu devant la caméra ou sur scène. Se caler avec l’énergie, le rythme et l’attitude de son personnage seulement avec sa voix a été un vrai challenge et une réelle découverte sur mon jeu de comédien.
R.S : Quels bénéfices as-tu tirés de ta formation doublage et voix-off ?
B.M : D’abord la possibilité de me rendre compte à quel point regarder et faire sont deux choses complètement différentes quand on est en studio. Assister et voir des comédiens qui exercent depuis longtemps est très formateur mais la facilité avec laquelle ils passent certaines boucles a tendance à nous faire croire qu’on pourrait le faire avec la même aisance... Que nenni ! Et l’on s’en rend très vite compte quand on est à la barre. Et ensuite, la prise de confiance ! C’est essentiel pour enfin se décider à aller assister dans les grands studios. Pouvoir s’exercer est un luxe qui n’est pas vraiment permis dans le doublage, à moins d’avoir des logiciels de doublage à disposition, mais ces logiciels sont souvent très onéreux surtout pour une personne seule.
R.S : Lorsque tu pratiques le doublage penses-tu apprendre quelque chose en tant que comédien ?
B.M : Toujours ! Que ce soit sur des ambiances ou des rôles, il n’y a pas un moment où l’on ne se redécouvre pas. Ce qui est passionnant dans le doublage, c’est que l’on se retrouve à pouvoir interpréter des personnages qui sont aux antipodes de nous et de devoir trouver un moyen avec notre jeu et notre sensibilité de les rendre crédibles et vivants. Ce qui nous oblige à constamment nous remettre en question.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
B.M : Je suis quelqu’un de très sportif et de très geek donc quand je ne suis pas en studio, j’aime me dépenser en pratiquant un sport ou alors en jouant aux jeux vidéos. Sinon je vais énormément au cinéma. J’aime également apprendre de nouvelles langues. Langue du moment : le japonais !
R.S : Merci beaucoup Baptiste.
B.M : Un grand merci à toi Reynald.
Interview de mars 2018
B.M : Coucou Reynald.
R.S : Quel a été ton parcours de comédien ?
B.M : Eh bien pour tout dire, je n’ai commencé à me lancer dans le théâtre qu’à partir de mes 21 ans. De là j’ai intégré plusieurs formations de comédien sur Paris car je n’avais aucune expérience à cette époque. J’ai commencé par Acting International, puis les Ateliers Blanche Salant et pour finir l’Actors Factory où je continue d’être actuellement. J’ai également fait une formation de doublage au milieu de tout ça. J’ai ainsi pu expérimenter le travail sur scène mais également le jeu devant la caméra et le doublage pratiquement en même temps. Baigner dans toutes les différentes facettes du métier de comédien m’a fait tomber amoureux du métier.
R.S : Comment as-tu pris le chemin du doublage ?
B.M : A vrai dire, le doublage a toujours été ma passion et si je me suis lancé dans le métier de comédien c’est avant tout pour pouvoir en faire. Enfant j’étais passionné par les cartoons et les dessins animés (je le suis toujours d’ailleurs) Je rêvais de pouvoir rencontrer les Looney Tunes ou Batman et quand j’ai découvert qu’ils n’existaient pas et que c’était des personnes qui donnaient vie à leur voix et leurs attitudes, je fus déçu mais également émerveillé par ce que ces personnes étaient capables d’accomplir. A partir de là je me suis renseigné sur comment intégrer le milieu et j’ai commencé à prendre des cours de théâtre.
R.S : L'acquisition de cette technique t'a-t-elle semblé difficile ?
B.M : En surface non, mais concrètement c’est bien plus difficile qu’il n’y paraît. Au début j’ai eu la naïveté de penser qu’il suffisait de bouger ses lèvres en même temps que la personne à l’écran et de retenir son intonation. Mais la technique du doublage est une vraie gymnastique qui diffère totalement du jeu devant la caméra ou sur scène. Se caler avec l’énergie, le rythme et l’attitude de son personnage seulement avec sa voix a été un vrai challenge et une réelle découverte sur mon jeu de comédien.
R.S : Quels bénéfices as-tu tirés de ta formation doublage et voix-off ?
B.M : D’abord la possibilité de me rendre compte à quel point regarder et faire sont deux choses complètement différentes quand on est en studio. Assister et voir des comédiens qui exercent depuis longtemps est très formateur mais la facilité avec laquelle ils passent certaines boucles a tendance à nous faire croire qu’on pourrait le faire avec la même aisance... Que nenni ! Et l’on s’en rend très vite compte quand on est à la barre. Et ensuite, la prise de confiance ! C’est essentiel pour enfin se décider à aller assister dans les grands studios. Pouvoir s’exercer est un luxe qui n’est pas vraiment permis dans le doublage, à moins d’avoir des logiciels de doublage à disposition, mais ces logiciels sont souvent très onéreux surtout pour une personne seule.
R.S : Lorsque tu pratiques le doublage penses-tu apprendre quelque chose en tant que comédien ?
B.M : Toujours ! Que ce soit sur des ambiances ou des rôles, il n’y a pas un moment où l’on ne se redécouvre pas. Ce qui est passionnant dans le doublage, c’est que l’on se retrouve à pouvoir interpréter des personnages qui sont aux antipodes de nous et de devoir trouver un moyen avec notre jeu et notre sensibilité de les rendre crédibles et vivants. Ce qui nous oblige à constamment nous remettre en question.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
B.M : Je suis quelqu’un de très sportif et de très geek donc quand je ne suis pas en studio, j’aime me dépenser en pratiquant un sport ou alors en jouant aux jeux vidéos. Sinon je vais énormément au cinéma. J’aime également apprendre de nouvelles langues. Langue du moment : le japonais !
R.S : Merci beaucoup Baptiste.
B.M : Un grand merci à toi Reynald.
Interview de mars 2018