Alexandre Gillet
Genres :
Voix Jeune adulte homme, Voix Adulte homme
Tonalité :
Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé, Espagnol
Doublage
télévision, VOD & DVD
2001
Mary Higgins Clark : Recherche jeune femme @imant danser (Charley/Paul Nash)
Voix
Documentaire
Les chutes du Niagara
Documentaire
Mondopride Eurogayvision
Publicité
Mini Boursin
Formation
Cours Jean-Laurent Cochet
Cours Blanche Salant
Cours Blanche Salant
Cinéma
"Le soleil au dessus des nuages" réalisé par Eric Le Roch
"Les sonneurs noirs" réalisé par Gilles Vallez
"Les sonneurs noirs" réalisé par Gilles Vallez
Courts-métrages
"Les Tiqueurs" réalisé par P. Loquet
"Gaïa" réalisé par O. Robinet de Plas
"Gaïa" réalisé par O. Robinet de Plas
Télévision
"Les Intrépides" réalisé par J. Payette
"Molly" réalisé par D. Baron
"Molly" réalisé par D. Baron
Théâtre
"La tête dans le guidon" de J.C. Barc et mise en scène de K. Letellier
"Sous les pavés la plage" de R. Brantalou & P. Bruneau et mise en scène de J.L. Moreau
"L'année du bac" de José André Lacour et mise en scène de P. Muller
"Le bagout des poux" de E. le Roch et mise en scène de E. le Roch
"La ménagerie de verre" de T. Williams et mise en scène de F. Kadouch
"Faust" d'après Goëthe et mise en scène de Didier Long
"Meurtre à l'Anglaise" de Didier Decoin et mise en scène de C. Gabbay
"Madame sans gêne" de Sardou et mise en scène de Didier Long
"Le rouge et le noir" de E. Monier et mise en scène de E. Monier
"Propriété Condamnée" de T. Williams et mise en scène de D. Prime
"27 Remorques pleines de coton" de T. Williams et mise en scène de D. Prime
"La vérité sur Maman" de G. Laurent et mise en scène de J. Deschamps
"La perle du Corsaire" de Daniel Jean et mise en scène de Daniel Jean
"Sous les pavés la plage" de R. Brantalou & P. Bruneau et mise en scène de J.L. Moreau
"L'année du bac" de José André Lacour et mise en scène de P. Muller
"Le bagout des poux" de E. le Roch et mise en scène de E. le Roch
"La ménagerie de verre" de T. Williams et mise en scène de F. Kadouch
"Faust" d'après Goëthe et mise en scène de Didier Long
"Meurtre à l'Anglaise" de Didier Decoin et mise en scène de C. Gabbay
"Madame sans gêne" de Sardou et mise en scène de Didier Long
"Le rouge et le noir" de E. Monier et mise en scène de E. Monier
"Propriété Condamnée" de T. Williams et mise en scène de D. Prime
"27 Remorques pleines de coton" de T. Williams et mise en scène de D. Prime
"La vérité sur Maman" de G. Laurent et mise en scène de J. Deschamps
"La perle du Corsaire" de Daniel Jean et mise en scène de Daniel Jean
Vidéos
"Une p'tite dernière pour la route" de Guy Montagné réalisé par M. Thiabud
Interview
R.S : Bonjour Alexandre...
A.G : Bonjour Reynald.
R.S : Quand as-tu compris que tu voulais être comédien ?
A.G : Après une année en prépa Sciences Po, je me suis inscrit en droit à la fac. Mais je ne m'épanouissais pas beaucoup. Mes parents m'ont alors poussé à prendre des cours de théâtre pour m'ouvrir un peu et changer d'horizons. J'y ai pris goût. Et après quelques années d'apprentissage (tout en continuant mes études) j'ai commencé à jouer au théâtre et à faire quelques doublages. Je me suis alors vite rendu compte que mon chemin était dans la comédie. J'ai décidé de tenter ma chance et de voir où cela pouvait m'amener. Ca va faire bientôt 20 ans !
R.S : Etre sur scène pour la première fois apporte souvent une sensation unique gravée à jamais, n'est-ce pas ?
A.G : C'est une sensation difficile à expliquer. C'est à la fois effrayant et excitant, mais aussi, les choses allant tellement vite, on est comme entouré d'un nuage protecteur et on avance dans une sorte de brouillard, presque sans trop s'apercevoir de ce qui se passe.
R.S : Devant une caméra le travail n'est pas le même. Est-ce difficile de se remettre dans l'émotion entre chaque prise ?
A.G : C'est en effet ce qu'il y a de plus dur à faire ! Etre sur le coup, tout de suite après plusieurs heures d'attente. Et lorsqu'il faut refaire la prise, surtout rester bien concentré.
R.S : Comment as-tu commencé le doublage ?
A.G : J'ai commencé par faire des petits rôles et des ambiances dans des séries et des films. Bien que ma mère soit dans ce milieu depuis longtemps, je ne le connaissais pas beaucoup, et ça a été un vrai apprentissage là aussi. Il a fallu beaucoup de patience et de persévérance.
R.S : Quand on est derrière la barre, il faut penser au rôle et au comédien qu'on double. Mais ce ne sont pas les seuls paramètres dont il faut tenir compte. Peux-tu en parler ?
A.G : Pour moi le plus important c'est la situation qui est à saisir en premier lieu. Une fois qu'on sait de quoi on parle et qu'on a compris quelle(s) émotion(s) il faut défendre, le reste n'est que technique et ça doit venir tout seul. Le regard de l'acteur original est aussi très important, beaucoup plus que sa bouche, contrairement à ce qu'on pourrait croire.
R.S : Tu suis des comédiens sur la durée, comme Ricky Schroder, Elijah Wood, Joshua Jackson, etc. On sait que c'est important pour le public. Toi, comment le vis-tu ?
A.G : C'est toujours agréable de "suivre" un comédien qu'on apprécie et qui vous convient. Et c'est vrai qu'on sous-estime souvent l'attachement du public au respect de ce suivi. Cela dit, je ne pense pas qu'on soit "propriétaire" d'un ou d'une comédienne, d'autant qu'avec les années on peut évoluer différemment de son comédien original. Mais j'aime les retrouver, et notamment ceux que tu as cités.
R.S : Le doublage t'apporte une palette de rôle très diversifiée. Est-ce chaque fois un challenge ?
A.G : Pour moi ça l'est. Je me refuse à entrer dans une sorte de routine. Nous faisons un métier (toutes disciplines confondues) où il est primordial de se remettre en cause à chaque fois. C'est non seulement une affaire de professionnalisme mais c'est aussi très excitant et c'est ce qui me fait progresser.
R.S : En dehors de ton métier, quelles sont tes passions ?
A.G : Je pratique le chant, et j'adore l'histoire. Je pratique le sport régulièrement pour décompresser et m'entretenir. Il est important pour moi de déconnecter régulièrement de mes activités professionnelles. J'adore aussi voyager.
R.S : Merci beaucoup Alexandre.
A.G : Merci à toi Reynald.
Interview d'avril 2008
A.G : Bonjour Reynald.
R.S : Quand as-tu compris que tu voulais être comédien ?
A.G : Après une année en prépa Sciences Po, je me suis inscrit en droit à la fac. Mais je ne m'épanouissais pas beaucoup. Mes parents m'ont alors poussé à prendre des cours de théâtre pour m'ouvrir un peu et changer d'horizons. J'y ai pris goût. Et après quelques années d'apprentissage (tout en continuant mes études) j'ai commencé à jouer au théâtre et à faire quelques doublages. Je me suis alors vite rendu compte que mon chemin était dans la comédie. J'ai décidé de tenter ma chance et de voir où cela pouvait m'amener. Ca va faire bientôt 20 ans !
R.S : Etre sur scène pour la première fois apporte souvent une sensation unique gravée à jamais, n'est-ce pas ?
A.G : C'est une sensation difficile à expliquer. C'est à la fois effrayant et excitant, mais aussi, les choses allant tellement vite, on est comme entouré d'un nuage protecteur et on avance dans une sorte de brouillard, presque sans trop s'apercevoir de ce qui se passe.
R.S : Devant une caméra le travail n'est pas le même. Est-ce difficile de se remettre dans l'émotion entre chaque prise ?
A.G : C'est en effet ce qu'il y a de plus dur à faire ! Etre sur le coup, tout de suite après plusieurs heures d'attente. Et lorsqu'il faut refaire la prise, surtout rester bien concentré.
R.S : Comment as-tu commencé le doublage ?
A.G : J'ai commencé par faire des petits rôles et des ambiances dans des séries et des films. Bien que ma mère soit dans ce milieu depuis longtemps, je ne le connaissais pas beaucoup, et ça a été un vrai apprentissage là aussi. Il a fallu beaucoup de patience et de persévérance.
R.S : Quand on est derrière la barre, il faut penser au rôle et au comédien qu'on double. Mais ce ne sont pas les seuls paramètres dont il faut tenir compte. Peux-tu en parler ?
A.G : Pour moi le plus important c'est la situation qui est à saisir en premier lieu. Une fois qu'on sait de quoi on parle et qu'on a compris quelle(s) émotion(s) il faut défendre, le reste n'est que technique et ça doit venir tout seul. Le regard de l'acteur original est aussi très important, beaucoup plus que sa bouche, contrairement à ce qu'on pourrait croire.
R.S : Tu suis des comédiens sur la durée, comme Ricky Schroder, Elijah Wood, Joshua Jackson, etc. On sait que c'est important pour le public. Toi, comment le vis-tu ?
A.G : C'est toujours agréable de "suivre" un comédien qu'on apprécie et qui vous convient. Et c'est vrai qu'on sous-estime souvent l'attachement du public au respect de ce suivi. Cela dit, je ne pense pas qu'on soit "propriétaire" d'un ou d'une comédienne, d'autant qu'avec les années on peut évoluer différemment de son comédien original. Mais j'aime les retrouver, et notamment ceux que tu as cités.
R.S : Le doublage t'apporte une palette de rôle très diversifiée. Est-ce chaque fois un challenge ?
A.G : Pour moi ça l'est. Je me refuse à entrer dans une sorte de routine. Nous faisons un métier (toutes disciplines confondues) où il est primordial de se remettre en cause à chaque fois. C'est non seulement une affaire de professionnalisme mais c'est aussi très excitant et c'est ce qui me fait progresser.
R.S : En dehors de ton métier, quelles sont tes passions ?
A.G : Je pratique le chant, et j'adore l'histoire. Je pratique le sport régulièrement pour décompresser et m'entretenir. Il est important pour moi de déconnecter régulièrement de mes activités professionnelles. J'adore aussi voyager.
R.S : Merci beaucoup Alexandre.
A.G : Merci à toi Reynald.
Interview d'avril 2008