Gilbert Lévy
Genres :
Voix Adulte homme, Voix Senior homme
Tonalité :
Medium, Grave
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé, Espagnol
Accents :
Allemand, Anglais, Arabe, Italien, Russe
Doublage
Direction artistique
animation
animation
animation
animation
Drôles de petites bêtes (Gallimard)
CD-ROM
ParkCenter
CD-ROM
Formation
Cours Vera Greig
Atelier Blanche Salant
Atelier Blanche Salant
Cinéma
"Comme les 5 doigts de la main" réalisé par Alexandre Arcady
"Mariage mixte" réalisé par Alexandre Arcady
"La vérité si je mens" réalisé par Thomas Gilou
"Cours toujours" réalisé par Dante Desarthe
"Mariage mixte" réalisé par Alexandre Arcady
"La vérité si je mens" réalisé par Thomas Gilou
"Cours toujours" réalisé par Dante Desarthe
Courts-métrages
"Désir Pastel" réalisé par Mathieu Rivolier
"For One" réalisé par Mathieu Rivolier
"Quand la roue tourne" réalisé par L. Germain-Maury
"For One" réalisé par Mathieu Rivolier
"Quand la roue tourne" réalisé par L. Germain-Maury
Télévision
"La victoire au bout du baton" réalisé par J-M. Verner
"Avocats & associés : La damnation rend sourd" réalisé par Badreddine Mokrani
"Commissaire Moulin : La dernière affaire" réalisé par Yves Renier
"Célibataires" réalisé par Jean-Michel Verner
"Trois femmes flics" réalisé par Philippe Triboit
"Avocats & associés" réalisé par Philippe Triboit
"Les enquêtes d'Eloïse Rome" réalisé par E. Baily
"Les ferrailleurs de lilas" réalisé par J-P. Sassy
"Les amours romantiques" réalisé par G. Espinasse
"La salle des profs" réalisé par J. Sagols
"Le voyage à Zanzibar" réalisé par D. Brunner
"A fine romance" réalisé par K. Moore
"Le funambule" réalisé par J. Bunuel
"Loto gagnant"
"Les petites bonnes" réalisé par S. Korber
"Lulu roi de France" réalisé par B. Uzan
"La petite bombe" réalisé par P. Muyl
"Madame le sous-préfet" réalisé par B. Uzan
"La crime" réalisé par D. Amar
"Julie Lescaut" réalisé par D. Jeanneau
"Le bureau"
"Avocats & associés : La damnation rend sourd" réalisé par Badreddine Mokrani
"Commissaire Moulin : La dernière affaire" réalisé par Yves Renier
"Célibataires" réalisé par Jean-Michel Verner
"Trois femmes flics" réalisé par Philippe Triboit
"Avocats & associés" réalisé par Philippe Triboit
"Les enquêtes d'Eloïse Rome" réalisé par E. Baily
"Les ferrailleurs de lilas" réalisé par J-P. Sassy
"Les amours romantiques" réalisé par G. Espinasse
"La salle des profs" réalisé par J. Sagols
"Le voyage à Zanzibar" réalisé par D. Brunner
"A fine romance" réalisé par K. Moore
"Le funambule" réalisé par J. Bunuel
"Loto gagnant"
"Les petites bonnes" réalisé par S. Korber
"Lulu roi de France" réalisé par B. Uzan
"La petite bombe" réalisé par P. Muyl
"Madame le sous-préfet" réalisé par B. Uzan
"La crime" réalisé par D. Amar
"Julie Lescaut" réalisé par D. Jeanneau
"Le bureau"
Théâtre
"Sacrés jeudi" de Gérard Darier, au théâtre du Splendide
"Le malade imaginaire" de Molière, J. Fontaine
"Tango" de Mjorek, J. Fontaine
"Un tramway nommé désir" de Tenessee Williams, J. Fontaine
"L'échappée belle" de H. Garcin et R. Bouteille, J. dragutin
"Maître Puntilla et son valet Matti" de Bertold Brecht, A. Diaz Florian
"Cocco et ses frères" R. Voltera
"Michaels, Kafka, variations sur le théâtre Yiddish" S. Lypsik
"Le malade imaginaire" de Molière, J. Fontaine
"Tango" de Mjorek, J. Fontaine
"Un tramway nommé désir" de Tenessee Williams, J. Fontaine
"L'échappée belle" de H. Garcin et R. Bouteille, J. dragutin
"Maître Puntilla et son valet Matti" de Bertold Brecht, A. Diaz Florian
"Cocco et ses frères" R. Voltera
"Michaels, Kafka, variations sur le théâtre Yiddish" S. Lypsik
Interview
R.S : Bonjour Gilbert...
G.L : Bonjour Reynald...
R.S : Vos débuts de comédiens ont-ils été compliqués ?
G.L : Les débuts d'une carrière de comédien ne sont jamais très simples, mais j'ai eu la chance de rencontrer les bonnes personnes au bon moment. Ce qui m'a permis de faire des choses très différentes : théâtre, télé, radio et enfin doublage. La chose importante pour moi était de rencontrer un maximum de gens et de rester disponible, courtois et fidèle.
R.S : Je pense qu'entre le cinéma, la télévision, le théâtre... les plaisirs que vous pouvez ressentir doivent être complètement différents ?
G.L : Oui, ils le sont, chacun faisant appel à des sensations et à des rythmes très différents. Mais le but reste toujours l'émotion et la sincérité.
R.S : Comment avez-vous commencé le doublage ?
G.L : J'ai eu la chance et le bonheur de rencontrer une grande dame du doublage, Jenny Gérard, qui m'a pris en sympathie, m'a formé et m'a donné ma chance comme elle l'a donnée à beaucoup de comédiens qui aujourd'hui travaillent dans ce milieu.
R.S : Cette discipline est assez particulière, avec une maîtrise de la technique qui est indispensable. Est-ce facile de l'oublier ?
G.L : Non. On ne l'oublie jamais. Mais, au fil du temps, on l'intègre comme on le fait pour toute autre technique, comme le vélo ou la voiture.
R.S : En regardant votre carrière, on remarque que vous suivez plusieurs comédiens sur la durée. Est-ce un avantage ?
G.L : Oui, c'en est un. Tout d'abord il est plus facile et agréable de doubler un comédien dont on connaît le rythme et la sensibilité. Il devient proche de soi. Et ensuite cela permet de travailler avec des gens et des sociétés de doublages qui ne font pas souvent appel à moi.
R.S : Une approche encore différente, c'est lorsque vous doublez un personnage animé. Est-ce facile de vous mettre en condition ?
G.L : Non, pour moi, et sans aucune prétention, il m'est relativement facile de doubler des personnages de dessins animés, ayant acquis au fil du temps et avec des séries comme "Les Simpson", "South Park" et bien d'autres, une certaine expérience dans ce domaine. J'aime changer ma voix et doubler des personnages très différents.
R.S : Quand avez vous commencé la direction artistique ?
G.L : Je l'ai commencé il y a une douzaine d'années. Tout d'abord en faisant des remplacements. Puis on m'a confié des séries pas trop difficiles. Et enfin des séries telles que "Urgences", "Babylon 5" et "South Park".
R.S : Avant de se retrouver sur le plateau, il y a un énorme boulot de préparation, il faut jongler avec les emplois du temps de chacun... A l'évidence, ça demande énormément d'énergie !
G.L : Oui, c'est vrai. Et, plus le temps passe plus la difficulté augmente, car aujourd'hui plus qu'avant il faut concilier de nombreux facteurs : disponibilité des comédiens (qui représente parfois un véritable casse-tête), délais de livraison, exigences des chaînes, durée d'enregistrement de plus en plus serrée.
R.S : En dehors de vos activités professionnelles, quels sont vos hobbies ?
G.L : Musique, tennis, voyages, ma famille et mes amis.
R.S : Merci beaucoup Gilbert.
G.L : Merci Reynald.
Interview de janvier 2006
G.L : Bonjour Reynald...
R.S : Vos débuts de comédiens ont-ils été compliqués ?
G.L : Les débuts d'une carrière de comédien ne sont jamais très simples, mais j'ai eu la chance de rencontrer les bonnes personnes au bon moment. Ce qui m'a permis de faire des choses très différentes : théâtre, télé, radio et enfin doublage. La chose importante pour moi était de rencontrer un maximum de gens et de rester disponible, courtois et fidèle.
R.S : Je pense qu'entre le cinéma, la télévision, le théâtre... les plaisirs que vous pouvez ressentir doivent être complètement différents ?
G.L : Oui, ils le sont, chacun faisant appel à des sensations et à des rythmes très différents. Mais le but reste toujours l'émotion et la sincérité.
R.S : Comment avez-vous commencé le doublage ?
G.L : J'ai eu la chance et le bonheur de rencontrer une grande dame du doublage, Jenny Gérard, qui m'a pris en sympathie, m'a formé et m'a donné ma chance comme elle l'a donnée à beaucoup de comédiens qui aujourd'hui travaillent dans ce milieu.
R.S : Cette discipline est assez particulière, avec une maîtrise de la technique qui est indispensable. Est-ce facile de l'oublier ?
G.L : Non. On ne l'oublie jamais. Mais, au fil du temps, on l'intègre comme on le fait pour toute autre technique, comme le vélo ou la voiture.
R.S : En regardant votre carrière, on remarque que vous suivez plusieurs comédiens sur la durée. Est-ce un avantage ?
G.L : Oui, c'en est un. Tout d'abord il est plus facile et agréable de doubler un comédien dont on connaît le rythme et la sensibilité. Il devient proche de soi. Et ensuite cela permet de travailler avec des gens et des sociétés de doublages qui ne font pas souvent appel à moi.
R.S : Une approche encore différente, c'est lorsque vous doublez un personnage animé. Est-ce facile de vous mettre en condition ?
G.L : Non, pour moi, et sans aucune prétention, il m'est relativement facile de doubler des personnages de dessins animés, ayant acquis au fil du temps et avec des séries comme "Les Simpson", "South Park" et bien d'autres, une certaine expérience dans ce domaine. J'aime changer ma voix et doubler des personnages très différents.
R.S : Quand avez vous commencé la direction artistique ?
G.L : Je l'ai commencé il y a une douzaine d'années. Tout d'abord en faisant des remplacements. Puis on m'a confié des séries pas trop difficiles. Et enfin des séries telles que "Urgences", "Babylon 5" et "South Park".
R.S : Avant de se retrouver sur le plateau, il y a un énorme boulot de préparation, il faut jongler avec les emplois du temps de chacun... A l'évidence, ça demande énormément d'énergie !
G.L : Oui, c'est vrai. Et, plus le temps passe plus la difficulté augmente, car aujourd'hui plus qu'avant il faut concilier de nombreux facteurs : disponibilité des comédiens (qui représente parfois un véritable casse-tête), délais de livraison, exigences des chaînes, durée d'enregistrement de plus en plus serrée.
R.S : En dehors de vos activités professionnelles, quels sont vos hobbies ?
G.L : Musique, tennis, voyages, ma famille et mes amis.
R.S : Merci beaucoup Gilbert.
G.L : Merci Reynald.
Interview de janvier 2006