Stanislas Forlani
Genres :
Voix Jeune adulte homme, Voix Adulte homme
Tonalité :
Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé, Espagnol
Accents :
Anglais, Espagnol
Doublage
Voice-over
The Glee Project
Voice-over
Running Wild with Bear Grylls
Direction artistique
animation
Formation
Langues : Anglais (courant), Espagnol (bonnes notions)
Sports : Equitation (bon), Roller (bon), WakeBoard (bon), Ski alpin , Danse , Danse Moderne
Musique : Trompette (bon)
Permis : Voiture - Moto
Sports : Equitation (bon), Roller (bon), WakeBoard (bon), Ski alpin , Danse , Danse Moderne
Musique : Trompette (bon)
Permis : Voiture - Moto
Cinéma
"C'est beau une ville la nuit" réalisé par Richard Bohringer
"Les Gaous" réalisé par Igor Sekulic
"Le placard" réalisé par Francis Veber
"Mauvaise passe" réalisé par Michel Blanc
"Un pont entre deux rives" réalisé par Gérard Depardieu
"Sortez des rangs" réalisé par Jean-Denis Robert
"Le petit garçon" réalisé par Pierre Granier-Deferre
"Génial mes parents divorcent !" réalisé par Patrick Braoudé
"Les Gaous" réalisé par Igor Sekulic
"Le placard" réalisé par Francis Veber
"Mauvaise passe" réalisé par Michel Blanc
"Un pont entre deux rives" réalisé par Gérard Depardieu
"Sortez des rangs" réalisé par Jean-Denis Robert
"Le petit garçon" réalisé par Pierre Granier-Deferre
"Génial mes parents divorcent !" réalisé par Patrick Braoudé
Courts métrages
"Le siège de l'âme" réalisé par Yan Epstein
"Comme une madeleine" réalisé par Stéphanie Revel
"Juste un peu de réconfort" réalisé par Armand Lameloise
"Bad Trip" réalisé par Daniel Alexandre
"L'amertume de la chanteuse" réalisé par Armand Lameloise
"Le souffle court" réalisé par Cyril Leuthy
"L'invité" réalisé par Luc Bossi
"Pour que je rêve encore" réalisé par Michel Kikoine
"Le libraire de l'ambigu" réalisé par Joachim Lombard
"Samra" réalisé par Catherine Jouaffre
"Comme une madeleine" réalisé par Stéphanie Revel
"Juste un peu de réconfort" réalisé par Armand Lameloise
"Bad Trip" réalisé par Daniel Alexandre
"L'amertume de la chanteuse" réalisé par Armand Lameloise
"Le souffle court" réalisé par Cyril Leuthy
"L'invité" réalisé par Luc Bossi
"Pour que je rêve encore" réalisé par Michel Kikoine
"Le libraire de l'ambigu" réalisé par Joachim Lombard
"Samra" réalisé par Catherine Jouaffre
Télévision
"Joséphine, ange gardien : En roue libre" réalisé par Philippe Proteau
"Diane Femme Flic" réalisé par Nicolas Herdt
"Baptêmes du feu" réalisé par Philippe Venault
"Les secrets du Volcan" réalisé par Michaela Watteaux
"Diane femme flic" réalisé par Jean-Marc Seban
"Sauveur Giordano" réalisé par Hervé Renoh
"Elle est belle ma province" réalisé par Michaela Watteaux
"Commissaire Moulin" réalisé par Eric Summer
"Une femme d'honneur" réalisé par Michaela Watteaux
"Père et maire" réalisé par Vincenzo Marano
"D-Day" réalisé par Richard Dale
"La famille d'accueil" réalisé par Daniel Jeanneau
"Commissariat Bastille" réalisé par Jean-Marc Seban
"Capitaine Lawrence" réalisé par Gérard Marx
"Le compagnon" réalisé par Pierre Lary
"Le camarguais Patrick Vohlson
"Le professeur Margaux" réalisé par Renaud Bertrand
"Le lycée" réalisé par M. Courtois et E. Dhaene
"Marc Eliot" réalisé par Christine Leherissey
"Marie Tempête" réalisé par Denis Malleval
"Deux frères" réalisé par Philippe Laik
"Le voyou et le magistrat" réalisé par Marc Rivière
"Les cordier, juge et flic" réalisé par Gilles Béhat
"Maigret et l'enfant de choeur" réalisé par Pierre Granier-Deferre
"Un arbre dans la tête" réalisé par Jean-Pierre Sinapi
"Le fou de la Tour" réalisé par Luc Beraud
"Julie Lescaut" réalisé par Elisabeth Rappeneau
"L'homme de la maison" réalisé par Pierre Lary
"L'instit" réalisé par François Luciani
"Les week ends de Léo et Léa" réalisé par P. Gautier et A. Robillard
"Dis maman, tu m'aimes ?" réalisé par Jean-Louis Bertuccelli
"Diane Femme Flic" réalisé par Nicolas Herdt
"Baptêmes du feu" réalisé par Philippe Venault
"Les secrets du Volcan" réalisé par Michaela Watteaux
"Diane femme flic" réalisé par Jean-Marc Seban
"Sauveur Giordano" réalisé par Hervé Renoh
"Elle est belle ma province" réalisé par Michaela Watteaux
"Commissaire Moulin" réalisé par Eric Summer
"Une femme d'honneur" réalisé par Michaela Watteaux
"Père et maire" réalisé par Vincenzo Marano
"D-Day" réalisé par Richard Dale
"La famille d'accueil" réalisé par Daniel Jeanneau
"Commissariat Bastille" réalisé par Jean-Marc Seban
"Capitaine Lawrence" réalisé par Gérard Marx
"Le compagnon" réalisé par Pierre Lary
"Le camarguais Patrick Vohlson
"Le professeur Margaux" réalisé par Renaud Bertrand
"Le lycée" réalisé par M. Courtois et E. Dhaene
"Marc Eliot" réalisé par Christine Leherissey
"Marie Tempête" réalisé par Denis Malleval
"Deux frères" réalisé par Philippe Laik
"Le voyou et le magistrat" réalisé par Marc Rivière
"Les cordier, juge et flic" réalisé par Gilles Béhat
"Maigret et l'enfant de choeur" réalisé par Pierre Granier-Deferre
"Un arbre dans la tête" réalisé par Jean-Pierre Sinapi
"Le fou de la Tour" réalisé par Luc Beraud
"Julie Lescaut" réalisé par Elisabeth Rappeneau
"L'homme de la maison" réalisé par Pierre Lary
"L'instit" réalisé par François Luciani
"Les week ends de Léo et Léa" réalisé par P. Gautier et A. Robillard
"Dis maman, tu m'aimes ?" réalisé par Jean-Louis Bertuccelli
Interview
R.S : Bonjour Stanislas.
S.F : Bonjour bonjour, comment ça va ?
R.S : Bien bien ! ;-) Ta carrière de comédien a commencé très jeune, peux-tu en parler ?
S.F : Ah oui c'est vrai, j'étais pas bien grand en 90. Ma mère a répondu à une annonce comme tant d'autres (tant de mères, d'annonces, au choix) enfin c'était la première et dernière fois qu'elle le faisait puisque c'était pour "Génial, mes parents divorcent" de Patrick Braoudé et que ça a fonctionné. On était tout une bande de jeunes, le tournage se faisait pendant les grandes vacances, alors forcément il a fallu que je continue après une expérience comme celle-là.
R.S : En tournage, est-ce facile d'entrer dans la peau de son personnage malgré le nombre de personnes présentes, les contraintes techniques, etc. ?
S.F : Ca peut paraître difficile. C'est quelque chose que j'ai appris petit, comme un jeu, qu'on a appris à plusieurs sur "Génial, ..." d'ailleurs, ce qui a aussi permis de passer outre le ridicule qu'on craint lorsqu'on a moins d'expérience que les autres. Jouer un sentiment devant sa glace ou chanter sous sa douche c'est forcément plus facile, mais ça n'apporte rien. Au contraire, ce sont ces contraintes (entendre "action !" juste avant d'y aller, devoir se mettre dans ses marques pour ne pas masquer son partenaire ou faire sur lui une ombre pas belle, bref...) qui font que c'est... "jouissif" ? Je peux dire ça sur ton site ou ça craint ?
R.S : J'entends souvent dire que les tournages télé demandent une grande rapidité par rapport au cinéma, cela a-t-il une incidence sur le jeu du comédien ?
S.F : Et pas que...
R.S : Comment as-tu pris le chemin du doublage ?
S.F : J'ai fait les bonnes rencontres ! Y'avait un mec sympa sur "Génial, mes parents divorcent" qui en faisait déjà et qui m'a un peu pistonné : Alexis Tomassian. Alors c'est toujours un plaisir de pouvoir continuer à se croiser en plateau 20 ans après. J'en faisais pas beaucoup à l'époque, devant passer en commission DDASS pour le moindre projet, mais j'm'y suis mis plus sérieusement en 2000 une fois majeur et vacciné.
R.S : Epouser le jeu d'un autre comédien demande beaucoup d'observation, mais pas seulement, n'est-ce pas ?
S.F : Observation et écoute oui. Ensuite, soit on fait une copie de la VO soit on adapte pour être dans nos conventions de jeu. Il faut pouvoir rester spontané avec la contrainte du synchronisme, avoir l'air naturel quel que soit le "balai", rendre le comédien bon quand il est mauvais (très difficile), ou ne pas trahir son excellence (ça l'est tout autant). Le plus difficile à mon niveau étant de s'adapter au débit vocal de chaque comédien.
R.S : Qu'est-ce qui te plaît lorsque tu retrouves un comédien que tu as déjà doublé ?
S.F : Si on lui colle bien et qu'il joue bien c'est forcément un plaisir. Sur un récurrent de série, on finit par bien connaître son jeu et ça facilite le travail, ce qui permet d'y mettre sa touche personnelle. Et lorsqu'on le retrouve sur un autre projet c'est comme si les présentations avaient déjà été faites, alors on y va sans timidité, puis ça conforte dans la distribution et les projets précédemment faits.
R.S : Tu diriges également, est-ce comme une sorte de prolongement de ta vie de comédien ?
S.F : De prolongement, je ne sais pas vraiment. Ça reste artistique c'est certain, mais c'est très différent. Le principal du travail en direction se fait de chez soi en prépa, la distribution étant primordiale. J'ai assisté pendant 8-10 ans avec très rapidement l'envie de diriger, mais il me fallait apprendre (merci Hervé Rey !) et aussi et surtout attendre de m'en sentir capable. Moins de trente ans et devoir tenir tête aux clients, chargés de prod, comédiens... Alors j'ai pris le temps d'y venir. Ça commence doucement, on verra bien. En tout cas ça m'éclate.
R.S : Quels sont tes hobbies ?
S.F : Je suis un geek fan de high-tech qui aime le sport et la gastronomie.
R.S : Merci beaucoup Stanislas.
S.F : Mais c'est moi qui te remercie.
Interview d'avril 2011
S.F : Bonjour bonjour, comment ça va ?
R.S : Bien bien ! ;-) Ta carrière de comédien a commencé très jeune, peux-tu en parler ?
S.F : Ah oui c'est vrai, j'étais pas bien grand en 90. Ma mère a répondu à une annonce comme tant d'autres (tant de mères, d'annonces, au choix) enfin c'était la première et dernière fois qu'elle le faisait puisque c'était pour "Génial, mes parents divorcent" de Patrick Braoudé et que ça a fonctionné. On était tout une bande de jeunes, le tournage se faisait pendant les grandes vacances, alors forcément il a fallu que je continue après une expérience comme celle-là.
R.S : En tournage, est-ce facile d'entrer dans la peau de son personnage malgré le nombre de personnes présentes, les contraintes techniques, etc. ?
S.F : Ca peut paraître difficile. C'est quelque chose que j'ai appris petit, comme un jeu, qu'on a appris à plusieurs sur "Génial, ..." d'ailleurs, ce qui a aussi permis de passer outre le ridicule qu'on craint lorsqu'on a moins d'expérience que les autres. Jouer un sentiment devant sa glace ou chanter sous sa douche c'est forcément plus facile, mais ça n'apporte rien. Au contraire, ce sont ces contraintes (entendre "action !" juste avant d'y aller, devoir se mettre dans ses marques pour ne pas masquer son partenaire ou faire sur lui une ombre pas belle, bref...) qui font que c'est... "jouissif" ? Je peux dire ça sur ton site ou ça craint ?
R.S : J'entends souvent dire que les tournages télé demandent une grande rapidité par rapport au cinéma, cela a-t-il une incidence sur le jeu du comédien ?
S.F : Et pas que...
R.S : Comment as-tu pris le chemin du doublage ?
S.F : J'ai fait les bonnes rencontres ! Y'avait un mec sympa sur "Génial, mes parents divorcent" qui en faisait déjà et qui m'a un peu pistonné : Alexis Tomassian. Alors c'est toujours un plaisir de pouvoir continuer à se croiser en plateau 20 ans après. J'en faisais pas beaucoup à l'époque, devant passer en commission DDASS pour le moindre projet, mais j'm'y suis mis plus sérieusement en 2000 une fois majeur et vacciné.
R.S : Epouser le jeu d'un autre comédien demande beaucoup d'observation, mais pas seulement, n'est-ce pas ?
S.F : Observation et écoute oui. Ensuite, soit on fait une copie de la VO soit on adapte pour être dans nos conventions de jeu. Il faut pouvoir rester spontané avec la contrainte du synchronisme, avoir l'air naturel quel que soit le "balai", rendre le comédien bon quand il est mauvais (très difficile), ou ne pas trahir son excellence (ça l'est tout autant). Le plus difficile à mon niveau étant de s'adapter au débit vocal de chaque comédien.
R.S : Qu'est-ce qui te plaît lorsque tu retrouves un comédien que tu as déjà doublé ?
S.F : Si on lui colle bien et qu'il joue bien c'est forcément un plaisir. Sur un récurrent de série, on finit par bien connaître son jeu et ça facilite le travail, ce qui permet d'y mettre sa touche personnelle. Et lorsqu'on le retrouve sur un autre projet c'est comme si les présentations avaient déjà été faites, alors on y va sans timidité, puis ça conforte dans la distribution et les projets précédemment faits.
R.S : Tu diriges également, est-ce comme une sorte de prolongement de ta vie de comédien ?
S.F : De prolongement, je ne sais pas vraiment. Ça reste artistique c'est certain, mais c'est très différent. Le principal du travail en direction se fait de chez soi en prépa, la distribution étant primordiale. J'ai assisté pendant 8-10 ans avec très rapidement l'envie de diriger, mais il me fallait apprendre (merci Hervé Rey !) et aussi et surtout attendre de m'en sentir capable. Moins de trente ans et devoir tenir tête aux clients, chargés de prod, comédiens... Alors j'ai pris le temps d'y venir. Ça commence doucement, on verra bien. En tout cas ça m'éclate.
R.S : Quels sont tes hobbies ?
S.F : Je suis un geek fan de high-tech qui aime le sport et la gastronomie.
R.S : Merci beaucoup Stanislas.
S.F : Mais c'est moi qui te remercie.
Interview d'avril 2011