Véronique Soufflet
Genres :
Voix Jeune adulte femme, Voix Adulte femme
Tonalité :
Aiguë, Medium
Langues parlées :
Espagnol
Accents :
Roumain, Russe
Doublage
Formation
Cours de théâtre à l'Ecole Jacques Lecoq
Cours Simon
Cours de Jean Laurent Cochet
Ecole Joséphine B, avec Armande Altaï pour professeur de chant
DEA Lettres et Etudes théâtrales à Sorbonne-Paris
Cours Simon
Cours de Jean Laurent Cochet
Ecole Joséphine B, avec Armande Altaï pour professeur de chant
DEA Lettres et Etudes théâtrales à Sorbonne-Paris
Adaptation
2024 "Au coin de la rue de la Boulangerie" de Bruno Monsaingeon - mise en scène de Michel Dodane. Essaïon
Création
"Urbain Grandier" de Philippe Soufflet au TPC Châtellerault
"CherZ’oiseaux d’Anouilh" au Théâtre de Châtellerault
"Soudain l’été dernier" de T. Williams - mise en scène d'Olivier Morançais. Festival d'Avignon
"CherZ’oiseaux d’Anouilh" au Théâtre de Châtellerault
"Soudain l’été dernier" de T. Williams - mise en scène d'Olivier Morançais. Festival d'Avignon
Lectures
"La dame de ses pensées" de Cécilia Dutter - mise en scène de Michel Dodane (avec Michel Dodane, Sophie Arthuys)
Musique
Sortie prévue fin 2014 Nouvel Album : "Version Originelle" piano-voix, composé et interprété au piano par Jean Luc Kandyoti, écrit et interprété par Véronique Soufflet
2008 2ème Album "le Tango de Platon et Al-Farabi" composé par Jean Luc Kandyoti, écrit et interprété par Véronique Soufflet
2007 second single "Vincent, Marie, Jacques et les autres..." en soutien au combat de Marie Humbert et au Droit de Mourir dans le Dignité (ADMD) composé par Jean Luc Kandyoti, écrit et interprété par Véronique Soufflet
2006 1er Album : "De Bouche à Bonheur" composé par Jean Luc Kandyoti, Pierre Perchaud, Matthieu Prevost, écrit et interprété par Véronique Soufflet
2004 Premier Single "Entre Orient et Occident" écrit et interprété par Véronique Soufflet
2008 2ème Album "le Tango de Platon et Al-Farabi" composé par Jean Luc Kandyoti, écrit et interprété par Véronique Soufflet
2007 second single "Vincent, Marie, Jacques et les autres..." en soutien au combat de Marie Humbert et au Droit de Mourir dans le Dignité (ADMD) composé par Jean Luc Kandyoti, écrit et interprété par Véronique Soufflet
2006 1er Album : "De Bouche à Bonheur" composé par Jean Luc Kandyoti, Pierre Perchaud, Matthieu Prevost, écrit et interprété par Véronique Soufflet
2004 Premier Single "Entre Orient et Occident" écrit et interprété par Véronique Soufflet
Spectacles musicaux & concerts
2017 Concert à Montréal (7 mai)
2016 Concert à Montréal dans le cadre des Week ends Quebecor (13 mai)
2006/2014 Concerts à l'Unesco, Parlement Européen, Sentier des Halles, Essaïon, Tambour Royal, Hôtel Westminster-Paris et Hôtel Regina-Paris
2012 "Voices of Harlem" Palais des Congrès de Paris. interprète Gershwin aux côtés Craig Adams, Davell Crawford et Dale Blade
2009 Ouverture du Festival de Byblos (Liban)
2006 "La Vie en Rose" d'Asa Rydman et V. Soufflet. Tryad à Broadway, New York (USA)
1999 "Cabaret du Siècle" de Katya Bochard et V. Soufflet. La Balle au bond (Paris)
1995 "Cinéma en Noires et Blanches" créé par V. Soufflet - mise en scène d'Olivier Morançais. Théâtre du Tambour Royal (Paris)
2016 Concert à Montréal dans le cadre des Week ends Quebecor (13 mai)
2006/2014 Concerts à l'Unesco, Parlement Européen, Sentier des Halles, Essaïon, Tambour Royal, Hôtel Westminster-Paris et Hôtel Regina-Paris
2012 "Voices of Harlem" Palais des Congrès de Paris. interprète Gershwin aux côtés Craig Adams, Davell Crawford et Dale Blade
2009 Ouverture du Festival de Byblos (Liban)
2006 "La Vie en Rose" d'Asa Rydman et V. Soufflet. Tryad à Broadway, New York (USA)
1999 "Cabaret du Siècle" de Katya Bochard et V. Soufflet. La Balle au bond (Paris)
1995 "Cinéma en Noires et Blanches" créé par V. Soufflet - mise en scène d'Olivier Morançais. Théâtre du Tambour Royal (Paris)
Télévision
"Felicien Grevèche" de Michel Wyn. FR3
"Un Caporal Ordinaire" d'Yves Elena. A2
"Lune de miel". Anabase prod
"Un Caporal Ordinaire" d'Yves Elena. A2
"Lune de miel". Anabase prod
Théâtre
2024 "Au coin de la rue de la Boulangerie" de Bruno Monsaingeon, adaptation de Véronique Soufflet - mise en scène de Michel Dodane. Essaïon
Autres activités
Création en 2007 d'un "Club de la Nouvelle Chanson Française" au Duke's Bar de l'Hotel Westminster, 13 rue de la paix à Paris. Un dimanche par mois des artistes de la Nouvelle Scène s'expriment et viennent faire entendre leurs créations en langue française auprès d'un public parisien mais aussi international.
Création de la compagnie "Vivement Dimanche" en 1995
Création de la compagnie "Vivement Dimanche" en 1995
Interview
R.S : Bonjour Véronique.
V.S : Bonjour Reynald.
R.S : C'est à 18 ans que tu es arrivée à Paris pour tes études littéraires et théâtrales. Peux-tu en parler ?
V.S : Je suis venue à Paris pour prendre des cours chez Jacques Lecoq et parallèlement je me suis inscrite à la Sorbonne en Lettres Classiques... J'ai jonglé pendant 5 ans entre les études et les cours de théâtres (j'en ai changé beaucoup), j'ai commencé à avoir des contrats et j'ai pris de plus en plus de distance avec la Fac : le spectacle vivant avait définitivement pris le dessus sur les langues mortes !
R.S : J'imagine que ta passion pour le chant était déjà bien présente ?
V.S : Elle date de mon enfance et des nombreuses soirées musicales que nous passions en famille. Nous étions 7 enfants, je suis la dernière. Les aînés prenaient leur guitare, mon père son harmonica, ma mère faisait la tierce et nous nous retrouvions tous les 9 pour une fois en harmonie ! Et puis, après quelques années à Paris, j'ai compris que la chanson était une nécessité pour moi. Alors j'ai commencé à prendre des cours de chant puis j'ai créé ma compagnie et je me suis lancée dans la création de mon premier spectacle musical.
R.S : Lorsque tu as joué pour la première fois devant un public, as-tu eu le trac ?
V.S : Non. Je n'en ai du moins aucun souvenir. Franchement, j'étais très jeune (8 ans), j'étais inconsciente et j'avais du plaisir. D'ailleurs j'essaie toujours de retrouver cette sensation de mon enfance avant d'entrer en scène : le jeu avant l'enjeu. Le plaisir ! Je me nourris toujours de ces sensations que j'ai eues dans mes jeux d'enfant. Dans le jardin ou sur scène c'était pareil, et je les conserve précieusement en moi !
R.S : Tu as créé ta propre compagnie, était-ce un moyen pour t'exprimer davantage ?
V.S : Ah, ça oui ! J'avais moi-même trop de projets, de rêves et d'envies alors j'ai créé "Vivement Dimanche" (avant Michel Druker !) et j'ai monté des spectacles musicaux tout de suite.
R.S : Le doublage fait également partie de ta vie, comment as-tu commencé ?
V.S : Tout simplement grâce à Béatrice Delfe qui m'a confié un rôle dans une série, "Haine et Passions" alors que j'en avais fait très peu, et là j'ai été obligée de m'accrocher. Les premières semaines étaient terribles car techniquement je n'avais pas eu le temps d'approfondir les choses et mon rôle était très présent. Au bout de quelques semaines j'ai commencé à y prendre beaucoup de plaisir et le doublage a pris une place importante dans mon métier de comédienne.
R.S : Lorsque je t'ai vue travailler sur la série "Charmed" j'ai trouvé le rythme très soutenu, est-ce frustrant parfois ?
V.S : Sur "Charmed" je connaissais bien mon personnnage, donc cela n'était pas gênant. Je dois même dire que j'aime travailler dans une ambiance assez rythmée car elle me permet de garder la concentration. D'être toujours sur mon énergie. Mais cela dépend aussi tellement de l'équipe et de la direction de plateau...
R.S : Tu es, entre autres, la voix habituelle de Christina Applegate. Votre première rencontre a eu lieu sur une série atypique : "Mariés, deux enfants". J'imagine que c'était un grand plaisir de pouvoir y participer ?
V.S : C'est la plus belle des aventures de doublage que j'ai connues. Et pourtant le commencement n'a pas été évident pour moi. Je débutais depuis peu et ce rôle était magnifique mais j'avançais sur des œufs. J'ai eu la grande chance d'être dirigée par Arlette Thomas qui m'a beaucoup aidée, qui m'a donné confiance, bref qui m'a dirigée. Et puis l'équipe était magnifique. Nous avons vécu une dizaine d'années de grand plaisir artistique avec de franches rigolades. Et nous avons toujours grand bonheur à nous retrouver. D'ailleurs je suis actuellement sur scène avec Michel Dodane et Sophie Arthuys pour un lecture-spectacle d'un roman de Cecilia Dutter.
R.S : Tu as un pouvoir comique assez impressionnant. Dans la série "Ellen" par exemple, où tu prêtais ta voix à Clea Lewis, tu arrivais à faire rire le spectateur rien que par la voix ! J'imagine que ce ne devait pas être triste sur le plateau ?
V.S : C'est très gentil, merci. J'aime énormément la comédie car il y a une énergie qui me galvanise. Pour ce qui est de la voix, le doublage nous donne des occasions magnifiques d'aller chercher vocalement très loin des choses qui nous sont offertes par un autre acteur et, grâce à lui, de déployer toujours plus les couleurs de notre propre palette. On explore ses capacités vocales comme on entrerait dans une grotte pour y découvrir, avec sa lampe torche, de nouveaux trésors. C'est en cela que j'aime énormément le doublage : il nous apporte une source infinie de jeu et de travail sur nous-mêmes... D'autant plus que l'on n'est pas tributaire de son "emploi physique" et donc on aborde quantité de rôles que jamais nous n'aurions pu aborder sur scène ou derrière la caméra.
R.S : Que signifie "être artiste" pour toi ?
V.S : Difficile de répondre à ta question, Reynald, en quelques lignes. J'ai en tout cas envie de rajouter "aujourd'hui" ? La définition de l'artiste en 2014 n'est pas la même qu'il y a 100 ans, et sa place non plus. Qui nomme l'artiste aujourd'hui ? Qui en décide ? Je ne sais pas vraiment ce que c'est qu'être artiste ou bien je crains qu'une définition soit trop réductrice mais, parfois, j'essaie de m'imaginer pendant quelques secondes ce que serait le monde sans arts donc sans artistes et c'est à cet instant précis, certes fugace, que je sais c'est qu'est "être un artiste". L'art est un moyen de communication magique, qui relie les humains. Et l'artiste, lui, en est le magicien.
R.S : Quels sont tes hobbies ?
V.S : J'ai surtout 2 passions : le vin et le miel. Je les consomme tous les 2 avec grand plaisir et curiosité au point que j'aimerais pouvoir un jour moi-même en produire. Pour ce qui est du miel, j'apprends peu à peu à connaître ces petits êtres fascinants que sont les abeilles, et à me familiariser avec leur ingénieuse organisation. Je pense bientôt tenter l'aventure d'une ruche dans mon jardin... Quant au vin, je pense attendre encore quelques belles années avant de me trouver un petit château dans le Bordelais ! En attendant je déguste avec mes amis de magnifiques cuvées.
R.S : Merci beaucoup Véronique.
V.S : Grand merci à toi Reynald et vraiment bravo pour le travail que tu as fourni pour développer un site aussi professionnel.
Interview de juin 2014
V.S : Bonjour Reynald.
R.S : C'est à 18 ans que tu es arrivée à Paris pour tes études littéraires et théâtrales. Peux-tu en parler ?
V.S : Je suis venue à Paris pour prendre des cours chez Jacques Lecoq et parallèlement je me suis inscrite à la Sorbonne en Lettres Classiques... J'ai jonglé pendant 5 ans entre les études et les cours de théâtres (j'en ai changé beaucoup), j'ai commencé à avoir des contrats et j'ai pris de plus en plus de distance avec la Fac : le spectacle vivant avait définitivement pris le dessus sur les langues mortes !
R.S : J'imagine que ta passion pour le chant était déjà bien présente ?
V.S : Elle date de mon enfance et des nombreuses soirées musicales que nous passions en famille. Nous étions 7 enfants, je suis la dernière. Les aînés prenaient leur guitare, mon père son harmonica, ma mère faisait la tierce et nous nous retrouvions tous les 9 pour une fois en harmonie ! Et puis, après quelques années à Paris, j'ai compris que la chanson était une nécessité pour moi. Alors j'ai commencé à prendre des cours de chant puis j'ai créé ma compagnie et je me suis lancée dans la création de mon premier spectacle musical.
R.S : Lorsque tu as joué pour la première fois devant un public, as-tu eu le trac ?
V.S : Non. Je n'en ai du moins aucun souvenir. Franchement, j'étais très jeune (8 ans), j'étais inconsciente et j'avais du plaisir. D'ailleurs j'essaie toujours de retrouver cette sensation de mon enfance avant d'entrer en scène : le jeu avant l'enjeu. Le plaisir ! Je me nourris toujours de ces sensations que j'ai eues dans mes jeux d'enfant. Dans le jardin ou sur scène c'était pareil, et je les conserve précieusement en moi !
R.S : Tu as créé ta propre compagnie, était-ce un moyen pour t'exprimer davantage ?
V.S : Ah, ça oui ! J'avais moi-même trop de projets, de rêves et d'envies alors j'ai créé "Vivement Dimanche" (avant Michel Druker !) et j'ai monté des spectacles musicaux tout de suite.
R.S : Le doublage fait également partie de ta vie, comment as-tu commencé ?
V.S : Tout simplement grâce à Béatrice Delfe qui m'a confié un rôle dans une série, "Haine et Passions" alors que j'en avais fait très peu, et là j'ai été obligée de m'accrocher. Les premières semaines étaient terribles car techniquement je n'avais pas eu le temps d'approfondir les choses et mon rôle était très présent. Au bout de quelques semaines j'ai commencé à y prendre beaucoup de plaisir et le doublage a pris une place importante dans mon métier de comédienne.
R.S : Lorsque je t'ai vue travailler sur la série "Charmed" j'ai trouvé le rythme très soutenu, est-ce frustrant parfois ?
V.S : Sur "Charmed" je connaissais bien mon personnnage, donc cela n'était pas gênant. Je dois même dire que j'aime travailler dans une ambiance assez rythmée car elle me permet de garder la concentration. D'être toujours sur mon énergie. Mais cela dépend aussi tellement de l'équipe et de la direction de plateau...
R.S : Tu es, entre autres, la voix habituelle de Christina Applegate. Votre première rencontre a eu lieu sur une série atypique : "Mariés, deux enfants". J'imagine que c'était un grand plaisir de pouvoir y participer ?
V.S : C'est la plus belle des aventures de doublage que j'ai connues. Et pourtant le commencement n'a pas été évident pour moi. Je débutais depuis peu et ce rôle était magnifique mais j'avançais sur des œufs. J'ai eu la grande chance d'être dirigée par Arlette Thomas qui m'a beaucoup aidée, qui m'a donné confiance, bref qui m'a dirigée. Et puis l'équipe était magnifique. Nous avons vécu une dizaine d'années de grand plaisir artistique avec de franches rigolades. Et nous avons toujours grand bonheur à nous retrouver. D'ailleurs je suis actuellement sur scène avec Michel Dodane et Sophie Arthuys pour un lecture-spectacle d'un roman de Cecilia Dutter.
R.S : Tu as un pouvoir comique assez impressionnant. Dans la série "Ellen" par exemple, où tu prêtais ta voix à Clea Lewis, tu arrivais à faire rire le spectateur rien que par la voix ! J'imagine que ce ne devait pas être triste sur le plateau ?
V.S : C'est très gentil, merci. J'aime énormément la comédie car il y a une énergie qui me galvanise. Pour ce qui est de la voix, le doublage nous donne des occasions magnifiques d'aller chercher vocalement très loin des choses qui nous sont offertes par un autre acteur et, grâce à lui, de déployer toujours plus les couleurs de notre propre palette. On explore ses capacités vocales comme on entrerait dans une grotte pour y découvrir, avec sa lampe torche, de nouveaux trésors. C'est en cela que j'aime énormément le doublage : il nous apporte une source infinie de jeu et de travail sur nous-mêmes... D'autant plus que l'on n'est pas tributaire de son "emploi physique" et donc on aborde quantité de rôles que jamais nous n'aurions pu aborder sur scène ou derrière la caméra.
R.S : Que signifie "être artiste" pour toi ?
V.S : Difficile de répondre à ta question, Reynald, en quelques lignes. J'ai en tout cas envie de rajouter "aujourd'hui" ? La définition de l'artiste en 2014 n'est pas la même qu'il y a 100 ans, et sa place non plus. Qui nomme l'artiste aujourd'hui ? Qui en décide ? Je ne sais pas vraiment ce que c'est qu'être artiste ou bien je crains qu'une définition soit trop réductrice mais, parfois, j'essaie de m'imaginer pendant quelques secondes ce que serait le monde sans arts donc sans artistes et c'est à cet instant précis, certes fugace, que je sais c'est qu'est "être un artiste". L'art est un moyen de communication magique, qui relie les humains. Et l'artiste, lui, en est le magicien.
R.S : Quels sont tes hobbies ?
V.S : J'ai surtout 2 passions : le vin et le miel. Je les consomme tous les 2 avec grand plaisir et curiosité au point que j'aimerais pouvoir un jour moi-même en produire. Pour ce qui est du miel, j'apprends peu à peu à connaître ces petits êtres fascinants que sont les abeilles, et à me familiariser avec leur ingénieuse organisation. Je pense bientôt tenter l'aventure d'une ruche dans mon jardin... Quant au vin, je pense attendre encore quelques belles années avant de me trouver un petit château dans le Bordelais ! En attendant je déguste avec mes amis de magnifiques cuvées.
R.S : Merci beaucoup Véronique.
V.S : Grand merci à toi Reynald et vraiment bravo pour le travail que tu as fourni pour développer un site aussi professionnel.
Interview de juin 2014