Josiane Pinson
Doublage
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télévision, VOD & DVD
2022
La tueuse à la valise : L'histoire vraie de Melanie McGuire (Patti Prezioso)
Voix
Documentaire
Lion d'Or 2023 du meilleur (Arte)
Documentaire
Toute la beauté et le sang versé (Nan Goldin - Arte)
Auteur
"PSYcause(s) Lui" Lucernaire
"Single again" Téléfilm realisé par Joyce Bunuel, produit par Nelka Films
"Psycause(s)" Théâtre du Renard – Festival d’Avignon - Théâtre du Marais - Théâtre des Mathurins
"La quarantaine rugissante" Festival d’Avignon – Théâtre d’Edgar
"Vie, agonie et passion de Marilyn Prisu" Création du Festival Performance d'acteur de Cannes
"Nitro-Goldwyn Pinson" Théâtre de 10 Heures - Tournée
"Single again" Téléfilm realisé par Joyce Bunuel, produit par Nelka Films
"Psycause(s)" Théâtre du Renard – Festival d’Avignon - Théâtre du Marais - Théâtre des Mathurins
"La quarantaine rugissante" Festival d’Avignon – Théâtre d’Edgar
"Vie, agonie et passion de Marilyn Prisu" Création du Festival Performance d'acteur de Cannes
"Nitro-Goldwyn Pinson" Théâtre de 10 Heures - Tournée
Chant
Tessiture mezzo soprano
Variétés
Variétés
Cinéma
"Adults in the Room" réalisé par Costa-Gavras
"La Derelita" réalisé par Jean-Pierre Igoux
"Le téléphone sonne toujours deux fois" réalisé par Jean-Pierre Vergne
"Le bonheur a encore frappé" réalisé par Jean-Luc Trotignon
"La vie dissolue de Gérard Floque" réalisé par Georges Lautner
"Bille en tête" réalisé par Carlo Conti
"L'invité surprise" réalisé par Georges Lautner
"Room service" réalisé par Georges Lautner
"Les truffes" réalisé par Bernard Nauer
"La Derelita" réalisé par Jean-Pierre Igoux
"Le téléphone sonne toujours deux fois" réalisé par Jean-Pierre Vergne
"Le bonheur a encore frappé" réalisé par Jean-Luc Trotignon
"La vie dissolue de Gérard Floque" réalisé par Georges Lautner
"Bille en tête" réalisé par Carlo Conti
"L'invité surprise" réalisé par Georges Lautner
"Room service" réalisé par Georges Lautner
"Les truffes" réalisé par Bernard Nauer
Langues
Anglais (lu/parlé)
Mise en scène
"PSYcause(s) Lui" Lucernaire
"Autopsy (de petits crimes innocents)" de Gérard Gruhn. Akteon Théâtre - Guichet Montparnasse
"Autopsy (de petits crimes innocents)" de Gérard Gruhn. Akteon Théâtre - Guichet Montparnasse
Télévision
"Les virtuoses" (1 à 7) réalisé par Claude Michel Rome
"Section de recherche" réalisé par Christophe Barbier
"Une femme trompée en vaut deux" réalisé par Laurence Katrian
"Navarro" réalisé par Patrick Jamain
"L'emmerdeuse" réalisé par Michael Perrotta
"Police district" réalisé par Jean-Teddy Fillipe
"Les Cordiers juge et flic" réalisé par Christiane Leherissey
"Dossiers : Disparu" réalisé par Frédéric Demont
"Baldipata et les petits riches" réalisé par Claude D'Anna
"La mort d'un bavard" réalisé par Hervé Guerin
"Colinou" réalisé par Philippe Galardi
"Souvenirs de vacances" réalisé par Philippe Galardi
"Marc et Sophie" réalisé par Didier Albert
"Marie et Madeleine" réalisé par Joyce Bunuel
"Passage interdit" réalisé par Michael Perrotta
"Embarquement immédiat" réalisé par Aline Isserman
"Tribunal" réalisé par Didier Albert
"D'Amour et d'eau chaude" réalisé par Jean-Luc Trotignon
"Les incorrigibles" réalisé par Abder Isker
"Section de recherche" réalisé par Christophe Barbier
"Une femme trompée en vaut deux" réalisé par Laurence Katrian
"Navarro" réalisé par Patrick Jamain
"L'emmerdeuse" réalisé par Michael Perrotta
"Police district" réalisé par Jean-Teddy Fillipe
"Les Cordiers juge et flic" réalisé par Christiane Leherissey
"Dossiers : Disparu" réalisé par Frédéric Demont
"Baldipata et les petits riches" réalisé par Claude D'Anna
"La mort d'un bavard" réalisé par Hervé Guerin
"Colinou" réalisé par Philippe Galardi
"Souvenirs de vacances" réalisé par Philippe Galardi
"Marc et Sophie" réalisé par Didier Albert
"Marie et Madeleine" réalisé par Joyce Bunuel
"Passage interdit" réalisé par Michael Perrotta
"Embarquement immédiat" réalisé par Aline Isserman
"Tribunal" réalisé par Didier Albert
"D'Amour et d'eau chaude" réalisé par Jean-Luc Trotignon
"Les incorrigibles" réalisé par Abder Isker
Théâtre
"Psycause(s) 3" de Josiane Pinson - mise en scène de Gil Gaillot. Studio Hébertot, Festival d'Avignon, La Scène Parisienne
"Psycause(s) 2" de Josiane Pinson - mise en scène de Gil Gaillot. Studio Hébertot
"Les Vaisseaux du Coeur" de Benoîte Groult - mise en scène de Jean-Luc Tardieu. Théâtre du Petit Montparnasse
"Psycause(s)" de Josiane Pinson - mise en scène de Daniel Berlioux. Reprise Théâtre du Marais puis Théâtre des Mathurins
"La Femme qui Frappe" de Victor Haim - mise en scène de Yves Pignot. Théâtre Essaion - Festival d'Avignon
"Psycause(s)" de Josiane Pinson - mise en scène de Daniel Berlioux. Théâtre du Renard - Festival d'Avignon
"La Quarantaine Rugissante" de Josiane Pinson - mise en scène de Jean Paul Muel. Festival d'Avignon - Théâtre d'Edgar
"Que Reste-t-il de l’Abat-Jour ?" (Solo en Chanson) - mise en scène de Caroline Clerc. Théâtre de 10 Heures - Festival d'Avignon - Tournée - Festival Performance d'Acteur de Cannes
"Joue-moi un Air de Tapioca" de J. Leveque - mise en scène de Serge Maillat. Les Blancs Manteaux
"Equarissage pour Tous" de B. Vian - mise en scène de Jean Jacques Dulon. Théâtre de la Plaine
"Vie, Agonie et Passion de Marilyn Prisu" de Josiane Pinson (Solo) - mise en scène de Jean-Claude Islert. Création du Festival Performance d'acteur de Cannes
"Nitro-Goldwyn-Pinson" de Josiane Pinson (Solo) - mise en scène de Pierre Olaf. Théâtre de 10 Heures - Tournée
"L'Azote, le Défunt" de R. Obadia - mise en scène de Régis Ander. Tournée
"Psycause(s) 2" de Josiane Pinson - mise en scène de Gil Gaillot. Studio Hébertot
"Les Vaisseaux du Coeur" de Benoîte Groult - mise en scène de Jean-Luc Tardieu. Théâtre du Petit Montparnasse
"Psycause(s)" de Josiane Pinson - mise en scène de Daniel Berlioux. Reprise Théâtre du Marais puis Théâtre des Mathurins
"La Femme qui Frappe" de Victor Haim - mise en scène de Yves Pignot. Théâtre Essaion - Festival d'Avignon
"Psycause(s)" de Josiane Pinson - mise en scène de Daniel Berlioux. Théâtre du Renard - Festival d'Avignon
"La Quarantaine Rugissante" de Josiane Pinson - mise en scène de Jean Paul Muel. Festival d'Avignon - Théâtre d'Edgar
"Que Reste-t-il de l’Abat-Jour ?" (Solo en Chanson) - mise en scène de Caroline Clerc. Théâtre de 10 Heures - Festival d'Avignon - Tournée - Festival Performance d'Acteur de Cannes
"Joue-moi un Air de Tapioca" de J. Leveque - mise en scène de Serge Maillat. Les Blancs Manteaux
"Equarissage pour Tous" de B. Vian - mise en scène de Jean Jacques Dulon. Théâtre de la Plaine
"Vie, Agonie et Passion de Marilyn Prisu" de Josiane Pinson (Solo) - mise en scène de Jean-Claude Islert. Création du Festival Performance d'acteur de Cannes
"Nitro-Goldwyn-Pinson" de Josiane Pinson (Solo) - mise en scène de Pierre Olaf. Théâtre de 10 Heures - Tournée
"L'Azote, le Défunt" de R. Obadia - mise en scène de Régis Ander. Tournée
Interview
R.S : Bonjour Josiane.
J.P : Bonjour Reynald.
R.S : Quel a été votre parcours de comédienne ?
J.P : Je me suis essayée très jeune au "seule en scène" dès l'obtention de mon bac. Avec toutes les audaces de mon âge... et seulement quelques dizaines d'heures de cours d'art drama ! J'écrivais déjà mes propres textes, que je jouais dans des petites salles. Peu à peu, on a parlé de moi. Ce qui a ouvert les portes à la télévision et au travail en équipe dans d'autres sphères...
R.S : Aviez-vous dès le départ le désir de prendre une direction particulière ?
J.P : Oui : je suis très vite partie du principe que si je ne voulais pas faire partie des comédiens qui attendent que leur téléphone sonne, je devais être autonome et créer mon propre univers en écrivant, en produisant et en interprétant mes textes. Effet double action : mes spectacles ont sur moi l'effet d'une cure analytique de nettoyage qui me permet d'aborder et de digérer les émotions lourdes tout en cultivant mon indépendance.
R.S : Vous avez joué seule sur scène pour interpréter vos propres textes mais également avec d'autres comédiens pour interpréter le texte d'autres auteurs. Le plaisir est-il pour vous du même ordre ?
J.P : Je prends beaucoup de plaisir à partager la scène avec mes camarades. C'est un exercice d'échange qui enrichit et nourrit. Mais ma "marque de fabrique" est incontestablement le solo : c'est là que je raconte l'intime, ce qui me questionne et me fait avancer et que personne ne m'apporterait sur un plateau si je ne le faisais pas moi-même !
R.S : Vous avez une riche expérience : scène, caméra, micro... Y a-t-il une de ces activités qui a votre préférence ?
J.P : Chaque activité est complémentaire des autres. Et j'aime cette "variation" d'exercices multiples. Le micro et toutes les compositions inhérentes au doublage ouvre un imaginaire qui m'aide à créer mes personnages en scène. Souvent un directeur de plateau vous caste sur un rôle qui vous paraît très éloigné de vous ! Sur un tournage il faut être opérationnel très vite, en quelques prises. Ces deux pratiques m'ont permis d'acquérir la souplesse qui permet de se projeter dans un " autre " en quelques minutes. Mais mon coup de cœur reste pour la scène : il faut plonger chaque soir dans l'aventure sans filet... et sans deuxième prise possible... Avec la trouille, chaque soir !... Et un public qui ne vous renvoie jamais la même chose... Comme un nouveau spectacle réinventé à l'infini. C'est une sensation très intense que l'on ne trouve ni devant une caméra, ni derrière un micro.
R.S : Comment en êtes vous venue à écrire pour vous ? Et avez-vous envie d'écrire pour d'autres ?
J.P : J'ai eu le sentiment très fort que personne d'autre que moi ne pourrait me proposer un texte qui colle de près à ce que j'avais à dire ! Avec les mots qui sont les miens. Et j'ai eu la chance de savoir (un peu !) écrire. La rencontre entre un texte et un acteur existe, bien sûr, mais je crois qu'on ne la vit pas très souvent dans une carrière. Donc j'ai pris les devants. Je viens de vivre une "rencontre" auteur/acteur : celle des "Vaisseaux du coeur", le roman de Benoîte Groult. L'évidence était telle qu'il m'a paru incontournable de l'adapter pour la scène. Ce que j'ai fait en 2014 et qui a donné lieu à la création au Petit Montparnasse. Quant à écrire pour les autres, je ne sais pas si j'en ai le talent. C'est un exercice très différent. Peut-être que j'aurai un jour la même évidence que pour l'adaptation et que je m'y risquerai !
R.S : Comment avez-vous débuté dans le doublage ?
J.P : Par un hasard incroyable. Une amie venait de voir l'un de mes spectacles. Nous étions à l'époque de l'explosion de la vidéo où les séries se sont mises à pleuvoir par dizaines. Une société cherchait son rôle principal : un personnage plein d'humour et plutôt insolent. Cette amie a soufflé mon nom. Le directeur artistique m'a appelée. J'ai joué au poker en acceptant le challenge sans savoir si j'allais m'en sortir... et sans leur dire que que n'avais jamais vu de rythmo de ma vie ! Jackpot : je m'en suis sortie et du coup je ne suis jamais passée par la case "petits rôles"...
R.S : Quel regard aviez-vous sur le doublage avant d'en faire vous-même ?
J.P : Aucun. J'allais voir les films en VO et c'est tout juste si je savais que cette pratique constituait une autre facette du métier. Je me suis bien rattrapée depuis ! Et je prends beaucoup de plaisir à la chose car j'ai la chance d'être contactée pour défendre des personnages forts et toujours hauts en couleurs !
R.S : Quels sont vos hobbies ?
J.P : Je pratique régulièrement le Qi Gong. Je vais beaucoup au cinéma : j'aime notamment y découvrir des univers qui m'ouvrent à une culture qui n'est pas la mienne. Je vais au théâtre voir mes camarades deux à trois fois par semaine. Je voyage beaucoup.. autant que mes moyens me le permettent. Et j'ai un gros faible pour la psychanalyse... qui a inspiré l'un de mes précédents "seule en scène" dont j'écris actuellement le volet 2.
R.S : Merci beaucoup Josiane.
Interview de mars 2015
J.P : Bonjour Reynald.
R.S : Quel a été votre parcours de comédienne ?
J.P : Je me suis essayée très jeune au "seule en scène" dès l'obtention de mon bac. Avec toutes les audaces de mon âge... et seulement quelques dizaines d'heures de cours d'art drama ! J'écrivais déjà mes propres textes, que je jouais dans des petites salles. Peu à peu, on a parlé de moi. Ce qui a ouvert les portes à la télévision et au travail en équipe dans d'autres sphères...
R.S : Aviez-vous dès le départ le désir de prendre une direction particulière ?
J.P : Oui : je suis très vite partie du principe que si je ne voulais pas faire partie des comédiens qui attendent que leur téléphone sonne, je devais être autonome et créer mon propre univers en écrivant, en produisant et en interprétant mes textes. Effet double action : mes spectacles ont sur moi l'effet d'une cure analytique de nettoyage qui me permet d'aborder et de digérer les émotions lourdes tout en cultivant mon indépendance.
R.S : Vous avez joué seule sur scène pour interpréter vos propres textes mais également avec d'autres comédiens pour interpréter le texte d'autres auteurs. Le plaisir est-il pour vous du même ordre ?
J.P : Je prends beaucoup de plaisir à partager la scène avec mes camarades. C'est un exercice d'échange qui enrichit et nourrit. Mais ma "marque de fabrique" est incontestablement le solo : c'est là que je raconte l'intime, ce qui me questionne et me fait avancer et que personne ne m'apporterait sur un plateau si je ne le faisais pas moi-même !
R.S : Vous avez une riche expérience : scène, caméra, micro... Y a-t-il une de ces activités qui a votre préférence ?
J.P : Chaque activité est complémentaire des autres. Et j'aime cette "variation" d'exercices multiples. Le micro et toutes les compositions inhérentes au doublage ouvre un imaginaire qui m'aide à créer mes personnages en scène. Souvent un directeur de plateau vous caste sur un rôle qui vous paraît très éloigné de vous ! Sur un tournage il faut être opérationnel très vite, en quelques prises. Ces deux pratiques m'ont permis d'acquérir la souplesse qui permet de se projeter dans un " autre " en quelques minutes. Mais mon coup de cœur reste pour la scène : il faut plonger chaque soir dans l'aventure sans filet... et sans deuxième prise possible... Avec la trouille, chaque soir !... Et un public qui ne vous renvoie jamais la même chose... Comme un nouveau spectacle réinventé à l'infini. C'est une sensation très intense que l'on ne trouve ni devant une caméra, ni derrière un micro.
R.S : Comment en êtes vous venue à écrire pour vous ? Et avez-vous envie d'écrire pour d'autres ?
J.P : J'ai eu le sentiment très fort que personne d'autre que moi ne pourrait me proposer un texte qui colle de près à ce que j'avais à dire ! Avec les mots qui sont les miens. Et j'ai eu la chance de savoir (un peu !) écrire. La rencontre entre un texte et un acteur existe, bien sûr, mais je crois qu'on ne la vit pas très souvent dans une carrière. Donc j'ai pris les devants. Je viens de vivre une "rencontre" auteur/acteur : celle des "Vaisseaux du coeur", le roman de Benoîte Groult. L'évidence était telle qu'il m'a paru incontournable de l'adapter pour la scène. Ce que j'ai fait en 2014 et qui a donné lieu à la création au Petit Montparnasse. Quant à écrire pour les autres, je ne sais pas si j'en ai le talent. C'est un exercice très différent. Peut-être que j'aurai un jour la même évidence que pour l'adaptation et que je m'y risquerai !
R.S : Comment avez-vous débuté dans le doublage ?
J.P : Par un hasard incroyable. Une amie venait de voir l'un de mes spectacles. Nous étions à l'époque de l'explosion de la vidéo où les séries se sont mises à pleuvoir par dizaines. Une société cherchait son rôle principal : un personnage plein d'humour et plutôt insolent. Cette amie a soufflé mon nom. Le directeur artistique m'a appelée. J'ai joué au poker en acceptant le challenge sans savoir si j'allais m'en sortir... et sans leur dire que que n'avais jamais vu de rythmo de ma vie ! Jackpot : je m'en suis sortie et du coup je ne suis jamais passée par la case "petits rôles"...
R.S : Quel regard aviez-vous sur le doublage avant d'en faire vous-même ?
J.P : Aucun. J'allais voir les films en VO et c'est tout juste si je savais que cette pratique constituait une autre facette du métier. Je me suis bien rattrapée depuis ! Et je prends beaucoup de plaisir à la chose car j'ai la chance d'être contactée pour défendre des personnages forts et toujours hauts en couleurs !
R.S : Quels sont vos hobbies ?
J.P : Je pratique régulièrement le Qi Gong. Je vais beaucoup au cinéma : j'aime notamment y découvrir des univers qui m'ouvrent à une culture qui n'est pas la mienne. Je vais au théâtre voir mes camarades deux à trois fois par semaine. Je voyage beaucoup.. autant que mes moyens me le permettent. Et j'ai un gros faible pour la psychanalyse... qui a inspiré l'un de mes précédents "seule en scène" dont j'écris actuellement le volet 2.
R.S : Merci beaucoup Josiane.
Interview de mars 2015