Grégory Quidel
Doublage
série
2016/2019
Les Désastreuses Aventures des orphelins Baudelaire (Henchperson of Indeterminate Gender)
télévision, VOD & DVD
2021
Varsity Blues : Le scandale des admissions universitaires (Stephen Semprevivo)
Formation
Conservatoire national supérieur d'art dramatique de Paris, promotion 2002. Professeurs : Daniel Mesguich, Philippe Adrien
Ateliers de 3ème année présentés en public :
"Gibiers du temps" de Didier Georges Gabily - mise en scène de Serge Tranvouez
"Sur le vif" (quatre pièces) mise en scène de Catherine Anne
"Scène de Richard II" mise en scène d'Andrzej Seweryn
Travaux réalisés dans le cadre de l'école :
"Feydeau G. Courteline" (textes) mise en scène de Virginie Vives
Formation antérieure :
"Comédie Errante" professeur : Bob Villette
Stage AFDAS :
"Le comédien et la synchro" dirigé par Laura Koffler
Ateliers de 3ème année présentés en public :
"Gibiers du temps" de Didier Georges Gabily - mise en scène de Serge Tranvouez
"Sur le vif" (quatre pièces) mise en scène de Catherine Anne
"Scène de Richard II" mise en scène d'Andrzej Seweryn
Travaux réalisés dans le cadre de l'école :
"Feydeau G. Courteline" (textes) mise en scène de Virginie Vives
Formation antérieure :
"Comédie Errante" professeur : Bob Villette
Stage AFDAS :
"Le comédien et la synchro" dirigé par Laura Koffler
Chant
Baryton
Cinéma
"Virilité" réalisé par Ronan Girre
"Les amants réguliers" réalisé par Philippe Garrel (Lion d'Argent, Festival de Venise 2005)
"Les amitiés maléfiques" réalisé par Emmanuel Bourdieu
"Djinns" réalisé par Hugues et Sandra Martin
"La jalousie" réalisé par Philippe Garrel
"Dragon Race" réalisé par Hugues Martin
"Les amants réguliers" réalisé par Philippe Garrel (Lion d'Argent, Festival de Venise 2005)
"Les amitiés maléfiques" réalisé par Emmanuel Bourdieu
"Djinns" réalisé par Hugues et Sandra Martin
"La jalousie" réalisé par Philippe Garrel
"Dragon Race" réalisé par Hugues Martin
Courts métrages
"Mon fils" réalisé par Samuel Collardey
"Figures libres" réalisé par Gilles Sanner
"Stages la Femis" avec Emmanuel Finkiel, Marion Vernoux
"Figures libres" réalisé par Gilles Sanner
"Stages la Femis" avec Emmanuel Finkiel, Marion Vernoux
Langues
Anglais (niveau moyen)
Musique
Guitare (excellent niveau), basse (excellent niveau)
Radio
Radio France :
"Le champs" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Le Bourgeois sans culotte" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Le saut du diable" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"La délégation officielle" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Les derniers jours de Paul Gauguin" réalisé par Christine Bernard-Sugy. France Culture
"Nuit Noir" réalisé par Michel Sidoroff. France Inter
"Le diable m'en ai témoin" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Affreux pastis de la rue des merles" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Rendez-vous chez Palasse" réalisé par Claude Guerre. France Culture
"Ma belle Hélène" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Haut de forme des New-York Dolls" réalisé Claude Guerre. France Culture
"Meurtre dans le Connemara" réalisé par Jean Couturier. France Culture
"La divine enfant" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Prisca à Rome" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Nuit noir" réalisé par Michel Sidoroff. France Inter
"Rire dans la nuit" réalisé par Christine Bernard-Sugy. France Culture
"Les coups" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Le prix" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Millenium hôtel" réalisé par Jean Couturier. France Culture
"Petit précis d'instants péris" Jean Couturier. France Culture
"Le crime de Céleste" réalisé par Jean-Mathieu Zahnd. France Culture
"Les femmes blafardes" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Barabas" réalisé par Jean-Mathieu Zahnd. France Culture
"Ferdyduke" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Questions pour l'histoire" réalisé par Jean Couturier. France Culture
"Chute plus de bruit" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Ce qui aurait pu être et n'a pas été" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Une expérience du dr Hox" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Le vaisseau des morts" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"L'impossible Mr Cézanne" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Conversation Kafka" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Un crime en deux époques" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Arsène Lupin (L'aiguille creuse)" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Pierre de lune" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Amélie" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"A la recherche du temps perdu" réalisé par Jacques Taroni. France Culture
"Lord Jim" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Perspective contemporaine" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"L'affaire Gouffe ou le mystère de la malle sanglante" réalisé par Michel Sidoroff, Christine Bernard-Sugy. France Culture
"Rouge cerise" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Les codes-barres" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Les New-Yorkaises" réalisé par Etienne Valles. France Culture
"Prévert et le groupe octobre" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Mr Jones" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Le quatuor d'Alexandrie" réalisé par Christine Bernard-Sugy. France Culture
"Ivan le terrible" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"L'eau rouge de Caryl Ferey" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"La mort de Danton" réalisé par Jean-Mathieu Zahnd. France Culture
"Indja Kaboul" réalisé par Christine Bernard-Sugy. France Culture
"A la recherche d'Ivan" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Le voyage de la Kangouroute" réalisé par Christine Bernard-Sugy. France Culture
"BBC Tarik Noui" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Pinochio" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Jordan et les boulet" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"La plainte" réalisé par Jean Couturier. France Culture
"Pas à vendre" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Woyzeck" réalisé par Jean-Mathieu Zahnd. France Culture
"Poison d'avril" réalisé par Christine Bernard-Sugy. France Culture
"Têtes à claques" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"La grande ensigne" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Voix de Zarathoustra" réalisé par Michel Sisoroff. France Culture
"Alice et autres merveilles" réalisé par Jean-Mathieu Zahnd. France Culture
"Au 68 rue Gay Lussac" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Le crime des vers procés d'animaux au moyen-âge" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"La mort de Carlos Gardel" réalisé par Jean Couturier. France Culture
"Le conte de la vache à la corde de lune" réalisé par Jean-Mathieu Zahnd. France Culture
"Les libertins" réalisé par Christine Bernard-Sugy. France Culture
"Du bromure pour les gay" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Extension massive de l'excès" réalisé par Etienne Vales. France Culture
"Sherlock Holmes" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Frédéric était Roi de Prusse" réalisé par Etienne Vales. France Culture
"Chronique de l'autre rive" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Nuit noire" réalisé par Michel Sidoroff. France Inter
"Contes de Grimm" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Nuit noir" réalisé par Jean-Mathieu Zahnd. France Inter
"Le cher disparu" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Les mauvais jours" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Contes de fées" réalisé par Jean Couturier. France Culture
"L'assasin à la simca 1000" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Vivement Malakoff" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Mobidick le cachalot" réalisé par Jean-Mathieu Zahnd. France Culture
"Hop Frog" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Imogène Cunnin" réalisé par Etienne Vales. France Culture
"Nuit noir" réalisé par Michel Sidoroff. France Inter
"Ulle, Ulrich, Moogle, Nain" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Au fil de l'histoire" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Interrogation de Dashiell" réalisé par Cédric Aussir. France Culture
"Les trois jours de Christophe Colomb" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Le champs" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Le Bourgeois sans culotte" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Le saut du diable" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"La délégation officielle" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Les derniers jours de Paul Gauguin" réalisé par Christine Bernard-Sugy. France Culture
"Nuit Noir" réalisé par Michel Sidoroff. France Inter
"Le diable m'en ai témoin" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Affreux pastis de la rue des merles" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Rendez-vous chez Palasse" réalisé par Claude Guerre. France Culture
"Ma belle Hélène" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Haut de forme des New-York Dolls" réalisé Claude Guerre. France Culture
"Meurtre dans le Connemara" réalisé par Jean Couturier. France Culture
"La divine enfant" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Prisca à Rome" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Nuit noir" réalisé par Michel Sidoroff. France Inter
"Rire dans la nuit" réalisé par Christine Bernard-Sugy. France Culture
"Les coups" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Le prix" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Millenium hôtel" réalisé par Jean Couturier. France Culture
"Petit précis d'instants péris" Jean Couturier. France Culture
"Le crime de Céleste" réalisé par Jean-Mathieu Zahnd. France Culture
"Les femmes blafardes" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Barabas" réalisé par Jean-Mathieu Zahnd. France Culture
"Ferdyduke" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Questions pour l'histoire" réalisé par Jean Couturier. France Culture
"Chute plus de bruit" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Ce qui aurait pu être et n'a pas été" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Une expérience du dr Hox" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Le vaisseau des morts" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"L'impossible Mr Cézanne" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Conversation Kafka" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Un crime en deux époques" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Arsène Lupin (L'aiguille creuse)" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Pierre de lune" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Amélie" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"A la recherche du temps perdu" réalisé par Jacques Taroni. France Culture
"Lord Jim" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Perspective contemporaine" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"L'affaire Gouffe ou le mystère de la malle sanglante" réalisé par Michel Sidoroff, Christine Bernard-Sugy. France Culture
"Rouge cerise" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Les codes-barres" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Les New-Yorkaises" réalisé par Etienne Valles. France Culture
"Prévert et le groupe octobre" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Mr Jones" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Le quatuor d'Alexandrie" réalisé par Christine Bernard-Sugy. France Culture
"Ivan le terrible" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"L'eau rouge de Caryl Ferey" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"La mort de Danton" réalisé par Jean-Mathieu Zahnd. France Culture
"Indja Kaboul" réalisé par Christine Bernard-Sugy. France Culture
"A la recherche d'Ivan" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Le voyage de la Kangouroute" réalisé par Christine Bernard-Sugy. France Culture
"BBC Tarik Noui" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Pinochio" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Jordan et les boulet" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"La plainte" réalisé par Jean Couturier. France Culture
"Pas à vendre" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Woyzeck" réalisé par Jean-Mathieu Zahnd. France Culture
"Poison d'avril" réalisé par Christine Bernard-Sugy. France Culture
"Têtes à claques" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"La grande ensigne" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Voix de Zarathoustra" réalisé par Michel Sisoroff. France Culture
"Alice et autres merveilles" réalisé par Jean-Mathieu Zahnd. France Culture
"Au 68 rue Gay Lussac" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Le crime des vers procés d'animaux au moyen-âge" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"La mort de Carlos Gardel" réalisé par Jean Couturier. France Culture
"Le conte de la vache à la corde de lune" réalisé par Jean-Mathieu Zahnd. France Culture
"Les libertins" réalisé par Christine Bernard-Sugy. France Culture
"Du bromure pour les gay" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Extension massive de l'excès" réalisé par Etienne Vales. France Culture
"Sherlock Holmes" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Frédéric était Roi de Prusse" réalisé par Etienne Vales. France Culture
"Chronique de l'autre rive" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Nuit noire" réalisé par Michel Sidoroff. France Inter
"Contes de Grimm" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Nuit noir" réalisé par Jean-Mathieu Zahnd. France Inter
"Le cher disparu" réalisé par Myron Meerson. France Culture
"Les mauvais jours" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Contes de fées" réalisé par Jean Couturier. France Culture
"L'assasin à la simca 1000" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Vivement Malakoff" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Mobidick le cachalot" réalisé par Jean-Mathieu Zahnd. France Culture
"Hop Frog" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Imogène Cunnin" réalisé par Etienne Vales. France Culture
"Nuit noir" réalisé par Michel Sidoroff. France Inter
"Ulle, Ulrich, Moogle, Nain" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Au fil de l'histoire" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
"Interrogation de Dashiell" réalisé par Cédric Aussir. France Culture
"Les trois jours de Christophe Colomb" réalisé par Michel Sidoroff. France Culture
Sports
Karaté (bon niveau)
Télévision
"Franck Riva : Les loups" réalisé par Patrick Jamain
"Le Proc : Accident mortel" réalisé par Klaus Biedemann
"Boulevard du palais : Rituels barbares" réalisé par Philippe Venault
"Joséphine, ange gardien : De toute urgence" réalisé par Vincent Monnet
"Le bureau" réalisé par Nicolas Charlet et Bruno Lavaine
"Julie Lescaut : Une nouvelle vie" réalisé par Daniel Janneau
"Vous les femmes" réalisé par David Lanzmann
"Inéluctable" réalisé par François Luciani
"1919" réalisé par Paul Cowan
"L'assassinat d'Henri IV" réalisé par Jacques Malaterre
"R.I.S. Police Scientifique" réalisé par Jean-Marc Seban
"Edouard Drumont" réalisé par Emmanuel Bourdieu
"Scènes de ménage" réalisé par Francis Duquet
"Le Proc : Accident mortel" réalisé par Klaus Biedemann
"Boulevard du palais : Rituels barbares" réalisé par Philippe Venault
"Joséphine, ange gardien : De toute urgence" réalisé par Vincent Monnet
"Le bureau" réalisé par Nicolas Charlet et Bruno Lavaine
"Julie Lescaut : Une nouvelle vie" réalisé par Daniel Janneau
"Vous les femmes" réalisé par David Lanzmann
"Inéluctable" réalisé par François Luciani
"1919" réalisé par Paul Cowan
"L'assassinat d'Henri IV" réalisé par Jacques Malaterre
"R.I.S. Police Scientifique" réalisé par Jean-Marc Seban
"Edouard Drumont" réalisé par Emmanuel Bourdieu
"Scènes de ménage" réalisé par Francis Duquet
Théâtre
2009 "Jo" d'Alec Coppel, adaptée par Claude Magnier - nouvelle adaptation et mise en scène de Benjamin Guillard. Théâtre du Gymnase
2008 "Le mariage de Figaro" mise en scène de Christophe Rauck. La Comédie Française
2008 "Penthésilée" mise en scène de Jean Liermier. La Comédie Française
2008 "Le Misanthrope" mise en scène de Lukas Hemleb. La Comédie Française
2005 "Bartleby" mise en scène de David Gery. Théâtre de la Commune (Aubervilliers), Tournées Valenciennes, Fontenay aux Roses, Bar Le Duc, Amiens, Lyon (théâtre des Célestins), Marseille (La Criée), ATP Aix, Combs, Dunkerque, Orléans ATAO, Aubusson, Issoudun, Nantes, Namur
2005 "Le Prince de Hambourg" mise en scène de Daniel Mesguich. Théâtre de l'Athénée, Tournées La Rochelle, Marseille (La Criée)
2004 "Ondine" mise en scène de Jacques Weber. Théâtre Antoine
2004 "Kroum" mise en scène de Clément Poire. Théâtre de la Tempête
2003 "Le soldat Tanaka" mise en scène de Guillaume Lévêque. Théâtre de la Colline, Tournées Saint-Brieu, Dijon, Nancy, Valence
2003 "Richard II" mise en scène de Paul Desveaux. Scène Nationale de Cherbourg, Dieppe, Evreux, Rouen, Turin, Spectacle Jeune Théâtre National
2001 "L'achat de cuivre" mise en scène de Philippe Adrien. Maison de l'Amérique latine
1999 "Famille, famille" (montage de textes) mise en scène de Bob Villette. Rouen
1998 "L'atelier de la veuve" (montage de textes) mise en scène de Bob Villette. Rouen
2008 "Le mariage de Figaro" mise en scène de Christophe Rauck. La Comédie Française
2008 "Penthésilée" mise en scène de Jean Liermier. La Comédie Française
2008 "Le Misanthrope" mise en scène de Lukas Hemleb. La Comédie Française
2005 "Bartleby" mise en scène de David Gery. Théâtre de la Commune (Aubervilliers), Tournées Valenciennes, Fontenay aux Roses, Bar Le Duc, Amiens, Lyon (théâtre des Célestins), Marseille (La Criée), ATP Aix, Combs, Dunkerque, Orléans ATAO, Aubusson, Issoudun, Nantes, Namur
2005 "Le Prince de Hambourg" mise en scène de Daniel Mesguich. Théâtre de l'Athénée, Tournées La Rochelle, Marseille (La Criée)
2004 "Ondine" mise en scène de Jacques Weber. Théâtre Antoine
2004 "Kroum" mise en scène de Clément Poire. Théâtre de la Tempête
2003 "Le soldat Tanaka" mise en scène de Guillaume Lévêque. Théâtre de la Colline, Tournées Saint-Brieu, Dijon, Nancy, Valence
2003 "Richard II" mise en scène de Paul Desveaux. Scène Nationale de Cherbourg, Dieppe, Evreux, Rouen, Turin, Spectacle Jeune Théâtre National
2001 "L'achat de cuivre" mise en scène de Philippe Adrien. Maison de l'Amérique latine
1999 "Famille, famille" (montage de textes) mise en scène de Bob Villette. Rouen
1998 "L'atelier de la veuve" (montage de textes) mise en scène de Bob Villette. Rouen
Interview
R.S : Bonjour Grégory.
G.Q : Bonjour Reynald.
R.S : Le désir d'être comédien était-il en toi depuis longtemps déjà lorsque tu t'es présenté au concours d'entrée au Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique ?
G.Q : Le désir d'être comédien était présent dans un coin de ma tête depuis l'âge de 16 ans. Mais je n'ai commencé à faire partie d'un cours qu'à 20 ans. J'ai fait une année de cours et j'ai présenté le Conservatoire National que j'ai eu la chance de réussir. En fait, à 16 ans, je n'en parlais pas car, habitant dans un petit village de Normandie, ça me paraissait beaucoup moins naturel de vouloir faire ce métier que si j'avais vécu mon enfance à Paris avec un accès à la culture, et donc au théâtre, beaucoup plus facile. Cela paraît tellement inabordable de choisir de faire ce métier quand on est très loin de tout ça. Et, en plus, je trouvais que ça aurait été plutôt prétentieux d'oser espérer devenir comédien. Quand j'ai été reçu au concours, je me suis dit OK, je vais faire mes trois ans de Conservatoire et après je peux espérer en faire mon métier de manière professionnelle.
R.S : Ce concours est extrêmement sélectif. Comment envisageais-tu de faire si tu n'avais pas été reçu ?
G.Q : Si je n'avais pas été reçu au concours, je l'aurais retenté l'année d'après et encore l'année suivante s'il avait fallu. En y réfléchissant, je crois que je ne pensais pas à ce que je devrais faire si je ne l'avais pas. Je travaillais 5 à 7 heures par jour sur mes scènes en plus de mon petit boulot de l'époque. Ce que je voulais c'était ne pas me reprocher de ne pas avoir assez travaillé si je n'avais pas le concours. Je savais qu'il y avait presque tous les risques d'échouer et une chance imperceptible de l'avoir. Mais je me disais "Si je ne l'ai pas, ce qui est de loin le plus probable, eh bien je verrai bien à ce moment-là ce que je fais. Mais pour le moment je bosse mes scènes et c'est tout." J'ai aussi tenté le concours du TNS la même année et j'ai été sélectionné pour le stage final qui m'a beaucoup intéressé. Le TNS comme le Conservatoire sont deux fantastiques écoles.
R.S : Comment, à la sortie du Conservatoire, s'insert-on dans la vie professionnelle ?
G.Q : A la sortie du Conservatoire, on fait partie de ce qui s'appelle le JTN (Jeune Théâtre National). Du coup, on passe des auditions avec des metteurs en scène qui montent des spectacles. Il y a aussi des agents qui viennent voir les Journées de juin du Conservatoire. Donc, avec un agent et le JTN, on arrive en général à travailler très vite à la sortie du Conservatoire. C'est une très très grande chance.
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
G.Q : J'ai fait mon premier cachet en doublage au bout d'un mois, suite à un stage AFDAS de deux semaines. Mais il est évident que le doublage est un exercice exigeant qui me fait penser au permis de conduire. C'est pas parce qu'on a le permis qu'on sait conduire. J'ai donc, en dehors des jours où je travaillais au théâtre, à France Culture ou sur un tournage, ou sur mes premières séances de doublage, assisté pendant deux ans et demi tous les jours sur les plateaux des studios de doublage pour apprendre le métier. J'ai rencontré au fur et à mesure des professionnels qui m'ont donné ma chance. J'ai appris en travaillant avec ces professionnels qui sont directeurs de plateaux ou comédiens, parfois les deux, et qui sont toutes des personnes avec lesquelles je travaille encore aujourd'hui. Je suis très reconnaissant envers toutes ces personnes qui m'ont permis de rentrer de le milieu du doublage et fait progresser année après année.
R.S : Etait-ce une activité à laquelle tu pensais depuis longtemps ?
G.Q : C'est en première année du Conservatoire National que j'ai discuté pour la première fois de doublage avec un de mes camarades de promo qui allait devenir un de mes meilleurs amis au fur et à mesure des années. Lui en faisait déjà avant son entrée au Conservatoire. Suite à cette conversation, je savais que le doublage allait devenir quelque chose que je voudrais essayer dès que j'en aurais l'opportunité.
R.S : Le doublage a pendant longtemps été une activité assez méprisée. Heureusement, les choses ont bien changé aujourd'hui. Comment, au Conservatoire par exemple, les jeunes apprentis comédiens regardent-ils cette discipline ?
G.Q : Pour ma part, si je fais du doublage aujourd'hui, c'est grâce à cette conversation que j'ai eue au sein même du Conservatoire avec un élève du Conservatoire et je croise souvent sur les plateaux d'anciens élèves, toutes promos confondues, et on est tous ravis.
R.S : Cela t'apporte-t-il les mêmes satisfactions que le travail sur scène ou devant une caméra ?
G.Q : Sur une pièce de théâtre, on a beaucoup de temps pour travailler son personnage. Lors des répétitions, en dehors, même au fur et à mesure des représentations, on travaille toujours et ça c'est rassurant. Ce qui l'est moins évidemment, c'est le fait qu'il est toujours possible d'avoir un trou de mémoire ou une maladresse dans un déplacement. Ça peut basculer très vite, ou dans le très bien, ou au contraire dans le très mauvais. Les accidents de parcours lors d'une représentation au théâtre sont toujours intéressants car ce sont les seuls moments où l'on est dans l'inconnu. Ce sont des moments de vérité. Le corps nous en dit largement autant que les mots au théâtre. Sur les tournages, on a le temps de travailler son rôle aussi, mais on a rarement le schéma de la mise en place et de la mise en scène. Il faut travailler son rôle le plus à fond possible au préalable car lorsqu'on est sur le plateau, on n'a que quelques minutes pour voir exactement comment on va caler la scène, et ensuite on n'a que quelques prises pour la réussir. La marge de manœuvre est assez réduite et laisse peu de place au droit à l'erreur. A la radio, il faut tout faire passer uniquement grâce à la voix mais le corps doit être présent pour donner les bonnes impulsions au jeu d'acteur. On a souvent à faire à de beaux textes et il faut arriver à donner un naturel et un concret malgré des textes parfois très littéraires. On doit laisser la place au bruiteur qui travaille à nos côtés. C'est une partition qu'il faut suivre à la lettre sinon tout se décale. Au doublage il faut capter tout de suite l'état du comédien que l'on double, son humeur, ses ruptures, son volume vocal. Est-il en extérieur, etc. Il faut en même temps lire la bande rythmo si l'on peut pour le suivre au plus près de ce qu'il fait. Il n'y a aucune préparation, on regarde une fois ou deux la boucle et il faut se lancer. C'est un exercice très exigeant car cela requiert les qualités du métier de comédien en général mais en plus il faut maîtriser tous ces paramètres liés à la bande rythmo. Il faut coller immédiatement à l'acteur sur l'écran. Cela demande plusieurs années pour commencer à maîtriser cet exercice. Un travail d'écoute total. Heureusement le directeur de plateau est là pour nous aider. Dans tous les cas de figure il faut se mettre dans la peau du personnage. La satisfaction pour moi est la même au final dans les différents endroits de notre métier, mais on y arrive par des chemins différents.
R.S : Quels sont tes hobbies ?
G.Q : Dans mes moments de loisir, j'aime beaucoup voir des amis, me balader, jouer de la guitare, aller à la piscine, dans les musées...
R.S : Merci beaucoup Grégory.
Interview d'octobre 2017
G.Q : Bonjour Reynald.
R.S : Le désir d'être comédien était-il en toi depuis longtemps déjà lorsque tu t'es présenté au concours d'entrée au Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique ?
G.Q : Le désir d'être comédien était présent dans un coin de ma tête depuis l'âge de 16 ans. Mais je n'ai commencé à faire partie d'un cours qu'à 20 ans. J'ai fait une année de cours et j'ai présenté le Conservatoire National que j'ai eu la chance de réussir. En fait, à 16 ans, je n'en parlais pas car, habitant dans un petit village de Normandie, ça me paraissait beaucoup moins naturel de vouloir faire ce métier que si j'avais vécu mon enfance à Paris avec un accès à la culture, et donc au théâtre, beaucoup plus facile. Cela paraît tellement inabordable de choisir de faire ce métier quand on est très loin de tout ça. Et, en plus, je trouvais que ça aurait été plutôt prétentieux d'oser espérer devenir comédien. Quand j'ai été reçu au concours, je me suis dit OK, je vais faire mes trois ans de Conservatoire et après je peux espérer en faire mon métier de manière professionnelle.
R.S : Ce concours est extrêmement sélectif. Comment envisageais-tu de faire si tu n'avais pas été reçu ?
G.Q : Si je n'avais pas été reçu au concours, je l'aurais retenté l'année d'après et encore l'année suivante s'il avait fallu. En y réfléchissant, je crois que je ne pensais pas à ce que je devrais faire si je ne l'avais pas. Je travaillais 5 à 7 heures par jour sur mes scènes en plus de mon petit boulot de l'époque. Ce que je voulais c'était ne pas me reprocher de ne pas avoir assez travaillé si je n'avais pas le concours. Je savais qu'il y avait presque tous les risques d'échouer et une chance imperceptible de l'avoir. Mais je me disais "Si je ne l'ai pas, ce qui est de loin le plus probable, eh bien je verrai bien à ce moment-là ce que je fais. Mais pour le moment je bosse mes scènes et c'est tout." J'ai aussi tenté le concours du TNS la même année et j'ai été sélectionné pour le stage final qui m'a beaucoup intéressé. Le TNS comme le Conservatoire sont deux fantastiques écoles.
R.S : Comment, à la sortie du Conservatoire, s'insert-on dans la vie professionnelle ?
G.Q : A la sortie du Conservatoire, on fait partie de ce qui s'appelle le JTN (Jeune Théâtre National). Du coup, on passe des auditions avec des metteurs en scène qui montent des spectacles. Il y a aussi des agents qui viennent voir les Journées de juin du Conservatoire. Donc, avec un agent et le JTN, on arrive en général à travailler très vite à la sortie du Conservatoire. C'est une très très grande chance.
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
G.Q : J'ai fait mon premier cachet en doublage au bout d'un mois, suite à un stage AFDAS de deux semaines. Mais il est évident que le doublage est un exercice exigeant qui me fait penser au permis de conduire. C'est pas parce qu'on a le permis qu'on sait conduire. J'ai donc, en dehors des jours où je travaillais au théâtre, à France Culture ou sur un tournage, ou sur mes premières séances de doublage, assisté pendant deux ans et demi tous les jours sur les plateaux des studios de doublage pour apprendre le métier. J'ai rencontré au fur et à mesure des professionnels qui m'ont donné ma chance. J'ai appris en travaillant avec ces professionnels qui sont directeurs de plateaux ou comédiens, parfois les deux, et qui sont toutes des personnes avec lesquelles je travaille encore aujourd'hui. Je suis très reconnaissant envers toutes ces personnes qui m'ont permis de rentrer de le milieu du doublage et fait progresser année après année.
R.S : Etait-ce une activité à laquelle tu pensais depuis longtemps ?
G.Q : C'est en première année du Conservatoire National que j'ai discuté pour la première fois de doublage avec un de mes camarades de promo qui allait devenir un de mes meilleurs amis au fur et à mesure des années. Lui en faisait déjà avant son entrée au Conservatoire. Suite à cette conversation, je savais que le doublage allait devenir quelque chose que je voudrais essayer dès que j'en aurais l'opportunité.
R.S : Le doublage a pendant longtemps été une activité assez méprisée. Heureusement, les choses ont bien changé aujourd'hui. Comment, au Conservatoire par exemple, les jeunes apprentis comédiens regardent-ils cette discipline ?
G.Q : Pour ma part, si je fais du doublage aujourd'hui, c'est grâce à cette conversation que j'ai eue au sein même du Conservatoire avec un élève du Conservatoire et je croise souvent sur les plateaux d'anciens élèves, toutes promos confondues, et on est tous ravis.
R.S : Cela t'apporte-t-il les mêmes satisfactions que le travail sur scène ou devant une caméra ?
G.Q : Sur une pièce de théâtre, on a beaucoup de temps pour travailler son personnage. Lors des répétitions, en dehors, même au fur et à mesure des représentations, on travaille toujours et ça c'est rassurant. Ce qui l'est moins évidemment, c'est le fait qu'il est toujours possible d'avoir un trou de mémoire ou une maladresse dans un déplacement. Ça peut basculer très vite, ou dans le très bien, ou au contraire dans le très mauvais. Les accidents de parcours lors d'une représentation au théâtre sont toujours intéressants car ce sont les seuls moments où l'on est dans l'inconnu. Ce sont des moments de vérité. Le corps nous en dit largement autant que les mots au théâtre. Sur les tournages, on a le temps de travailler son rôle aussi, mais on a rarement le schéma de la mise en place et de la mise en scène. Il faut travailler son rôle le plus à fond possible au préalable car lorsqu'on est sur le plateau, on n'a que quelques minutes pour voir exactement comment on va caler la scène, et ensuite on n'a que quelques prises pour la réussir. La marge de manœuvre est assez réduite et laisse peu de place au droit à l'erreur. A la radio, il faut tout faire passer uniquement grâce à la voix mais le corps doit être présent pour donner les bonnes impulsions au jeu d'acteur. On a souvent à faire à de beaux textes et il faut arriver à donner un naturel et un concret malgré des textes parfois très littéraires. On doit laisser la place au bruiteur qui travaille à nos côtés. C'est une partition qu'il faut suivre à la lettre sinon tout se décale. Au doublage il faut capter tout de suite l'état du comédien que l'on double, son humeur, ses ruptures, son volume vocal. Est-il en extérieur, etc. Il faut en même temps lire la bande rythmo si l'on peut pour le suivre au plus près de ce qu'il fait. Il n'y a aucune préparation, on regarde une fois ou deux la boucle et il faut se lancer. C'est un exercice très exigeant car cela requiert les qualités du métier de comédien en général mais en plus il faut maîtriser tous ces paramètres liés à la bande rythmo. Il faut coller immédiatement à l'acteur sur l'écran. Cela demande plusieurs années pour commencer à maîtriser cet exercice. Un travail d'écoute total. Heureusement le directeur de plateau est là pour nous aider. Dans tous les cas de figure il faut se mettre dans la peau du personnage. La satisfaction pour moi est la même au final dans les différents endroits de notre métier, mais on y arrive par des chemins différents.
R.S : Quels sont tes hobbies ?
G.Q : Dans mes moments de loisir, j'aime beaucoup voir des amis, me balader, jouer de la guitare, aller à la piscine, dans les musées...
R.S : Merci beaucoup Grégory.
Interview d'octobre 2017