Caroline Jacquin
Genres :
Voix Adulte femme, Voix Senior femme
Tonalité :
Medium, Grave
Langues parlées :
Anglais avec accent non déterminé, Espagnol
Accents :
Anglais, Espagnol, Russe
Doublage
Formation
Cours Simon
Acting in English - Rosalie Chorafas
Acting in English - Rosalie Chorafas
Cinéma
"Je suis vivante et je vous aime" réalisé par Roger Kahane, dans le rôle de Madame Lelarge
"La montre, la Croix et la Manière" réalisé par Ben Lewin
"Pentimento" réalisé par Tonie Marshall, dans le rôle de la mère du square
"Romuald et Juliette" réalisé par Coline Serreau, dans le rôle de la nouvelle secrétaire
"Club de Rencontres" réalisé par Michel Lang
"Le Cadeau" réalisé par Michel Lang
"On est pas des anges... Elles non plus" réalisé par Michel Lang
"La montre, la Croix et la Manière" réalisé par Ben Lewin
"Pentimento" réalisé par Tonie Marshall, dans le rôle de la mère du square
"Romuald et Juliette" réalisé par Coline Serreau, dans le rôle de la nouvelle secrétaire
"Club de Rencontres" réalisé par Michel Lang
"Le Cadeau" réalisé par Michel Lang
"On est pas des anges... Elles non plus" réalisé par Michel Lang
Télévision
"Ecoutes Nicolas" réalisé par Roger Kahane
"Avocats et associés" réalisé par Alexandre Pidoux
"L'instit" réalisé par Roger Kahane
"La crim'" réalisé par Denis Amar
"Justice" réalisé par Gérard Marx
"Un ange passe" réalisé par Bertrand Van Effanterre, dans le rôle de Blette
"Embrasse-moi vite" réalisé par Gérard Marx, dans le rôle de Doris
"Meurtre en ut majeur" réalisé par Michel Boisrond
"Alice ma soeur" réalisé par Roger Kahane
"Piège pour une femme seule" réalisé par Gérard Marx, dans le rôle de Louise
"La mort rouge" réalisé par Dominique Giuliani
"Suite en noir" réalisé par Jean Pierre Marchand, dans le rôle d'Anne
"Echec à la Reine" réalisé par Geneviève Strina
"Le voyeur" réalisé par Roger Kahane
"Crime passionnel" réalisé par Roger Kahane
"Tribunal" réalisé par Gérard Espinasse
"Les deux frères" réalisé par Roger Kahane
"Marie Love" réalisé par Jean-Pierre Richard
"Le feuilleton" réalisé par Maryvonne Blee
"Tout comme un homme" réalisé par Michel Boisrond
"Divorce et remariage" réalisé par Mathias Ledoux
"Clémentine" réalisé par Roger Kahane
"La femme et la beauté" réalisé par François Caillat
"Toutes griffes dehors" réalisé par Michel Boisrond
"Pleine lune" réalisé par Jean-Pierre Richard
"La France de Joséphine" réalisé par Peter Kassovitz, dans le rôle de Solange Grandchamp
"Marion" réalisé par Jean Pignol
"Le pouvoir d'inertie" réalisé par Jean-François Delassus
"Histoire contemporaine" réalisé par Michel Boisrond, dans le rôle de Claire Denizeau
"L'âge d'aimer" réalisé par Jean-François Delassus
"François et la liberté" réalisé par Jean Pignol
"Le curé de Tours" réalisé par Gabriel Axel, dans le rôle de Jeannette
"Papa poule" réalisé par Roger Kahane, dans le rôle de Colette
"L'oeil de la nuit" réalisé par Jean-Pierre Richard
"Petit déjeune compris" réalisé par Michel Berny
"Varinka" réalisé par Roger Kahane
"Médecin de nuit" réalisé par Peter Kassovitz
"Le jour où l'on me trouvera morte" réalisé par Roger Kahane
"Marthe 19 ans en 1918" réalisé par Roger Kahane
"Le chandelier" réalisé par Claude Santelli, dans le rôle de Madelon
"L'enlèvement du Régent" réalisé par Gérard Vergez, dans le rôle d'une cousette
"Urbain Grandier" réalisé par Gérard Vergez
"Avocats et associés" réalisé par Alexandre Pidoux
"L'instit" réalisé par Roger Kahane
"La crim'" réalisé par Denis Amar
"Justice" réalisé par Gérard Marx
"Un ange passe" réalisé par Bertrand Van Effanterre, dans le rôle de Blette
"Embrasse-moi vite" réalisé par Gérard Marx, dans le rôle de Doris
"Meurtre en ut majeur" réalisé par Michel Boisrond
"Alice ma soeur" réalisé par Roger Kahane
"Piège pour une femme seule" réalisé par Gérard Marx, dans le rôle de Louise
"La mort rouge" réalisé par Dominique Giuliani
"Suite en noir" réalisé par Jean Pierre Marchand, dans le rôle d'Anne
"Echec à la Reine" réalisé par Geneviève Strina
"Le voyeur" réalisé par Roger Kahane
"Crime passionnel" réalisé par Roger Kahane
"Tribunal" réalisé par Gérard Espinasse
"Les deux frères" réalisé par Roger Kahane
"Marie Love" réalisé par Jean-Pierre Richard
"Le feuilleton" réalisé par Maryvonne Blee
"Tout comme un homme" réalisé par Michel Boisrond
"Divorce et remariage" réalisé par Mathias Ledoux
"Clémentine" réalisé par Roger Kahane
"La femme et la beauté" réalisé par François Caillat
"Toutes griffes dehors" réalisé par Michel Boisrond
"Pleine lune" réalisé par Jean-Pierre Richard
"La France de Joséphine" réalisé par Peter Kassovitz, dans le rôle de Solange Grandchamp
"Marion" réalisé par Jean Pignol
"Le pouvoir d'inertie" réalisé par Jean-François Delassus
"Histoire contemporaine" réalisé par Michel Boisrond, dans le rôle de Claire Denizeau
"L'âge d'aimer" réalisé par Jean-François Delassus
"François et la liberté" réalisé par Jean Pignol
"Le curé de Tours" réalisé par Gabriel Axel, dans le rôle de Jeannette
"Papa poule" réalisé par Roger Kahane, dans le rôle de Colette
"L'oeil de la nuit" réalisé par Jean-Pierre Richard
"Petit déjeune compris" réalisé par Michel Berny
"Varinka" réalisé par Roger Kahane
"Médecin de nuit" réalisé par Peter Kassovitz
"Le jour où l'on me trouvera morte" réalisé par Roger Kahane
"Marthe 19 ans en 1918" réalisé par Roger Kahane
"Le chandelier" réalisé par Claude Santelli, dans le rôle de Madelon
"L'enlèvement du Régent" réalisé par Gérard Vergez, dans le rôle d'une cousette
"Urbain Grandier" réalisé par Gérard Vergez
Théâtre
"Sarcophagus" mise en scène de Jean-Luc Tardieu. MCLA Nantes
"Lapin lapin" mise en scène de Benno Besson. Théâtre de la ville /Comédie de Genève
"Azaïs" mise en scène de René Clermont. Eldorado-Comoedia
"Les Rustres" mise en scène de Claude Santelli. Eldorado-Comoedia
"Butley" mise en scène de Michel Fagadeau. Gaîté Montparnasse
"Les portes claquent" mise en scène de Michel Roux. Daunou
"The gingerbread Lady" mise en scène de Emilio Bruzzo. Å’uvre
"Lapin lapin" mise en scène de Benno Besson. Théâtre de la ville /Comédie de Genève
"Azaïs" mise en scène de René Clermont. Eldorado-Comoedia
"Les Rustres" mise en scène de Claude Santelli. Eldorado-Comoedia
"Butley" mise en scène de Michel Fagadeau. Gaîté Montparnasse
"Les portes claquent" mise en scène de Michel Roux. Daunou
"The gingerbread Lady" mise en scène de Emilio Bruzzo. Å’uvre
Interview
R.S : Bonjour Caroline...
C.J : Bonjour Reynald !
R.S : Comment as-tu débuté ta vie de comédienne ?
C.J : Au Théâtre de l'Oeuvre, en 1973, dans "Lady pain d'épice" de Neil Simon. J'avais 19 ans, un an de cours Simon derrière moi et le prix du jury en poche. Je ne savais rien sinon que c'était ma vie. J'ai passé l'audition pour jouer Polly, la fille de Micheline Luccioni, avec elle. J'entends encore sa voix généreuse, son parler franc et direct. Impossible de ne pas être juste avec elle. J'ai eu beaucoup de chance de débuter ainsi. Comme a dit Michel Audiard : "Pour un début, c'est un assez joli début !"... D'autres pièces ont suivi. Puis, Claude Santelli et Roger Kahane sont venus me chercher pour la télévision. J'ai appris la caméra avec eux.
R.S : Pour faire ses armes doit-on forcément passer par le théâtre ?
C.J : Le théâtre est formateur de ton métier et de toi-même. Il t'apprend et te donne plus : le goût des textes, d'abord, et puis celui de la recherche et du travail en commun. Benno Besson avait l'habitude de dire qu'un comédien, dès qu'il joue, se met en danger. Ses répétitions se passaient dans un grand respect et une écoute de l'autre. J'ai adoré partager sa curiosité. Il cherchait perpétuellement, jusqu'à la dernière représentation publique. Tout dans la création de "Lapin lapin" fut vivant et enthousiasmant. Il m'a profondément enrichie.
R.S : Comment et pourquoi as-tu pris le chemin du doublage ?
C.J : Je m'étais déjà doublée et avait appris ce que la voix peut changer sur l'intention d'une scène. Mais doubler quelqu'un d'autre, c'est Hubert Noël qui me l'a proposé le premier.
R.S : L'exercice t'a-t-il paru difficile au début ?
C.J : Insurmontable à l'époque ! La radio (France Culture) m'offrait plus de liberté avec les magnifiques textes que me confiait Claude Roland-Manuel. Il a fallu toute la gentillesse de Sady Rebbot, avec qui je tournais "Papa Poule", pour revenir sur un plateau où il doublait "A Midsummer Night's Sex Comedy" de Woody Allen. Il m'a ébloui. Son travail était passionnant. Voulant apaiser mes appréhensions, son directeur, Jean-Pierre Dorat, m'a proposé de suivre un stage pour débutants. Stage que j'ai suivi : apprivoiser les contraintes pour qu'elles n'en soient plus et jouer... jouer comme Sady l'avait fait devant moi.
R.S : Cette façon de jouer la comédie est tout de même différente par rapport aux autres branches de la profession ?
C.J : Elle a ceci de différent qu'un autre a joué et que tu dois retrouver ses émotions, son souffle, pour être juste par rapport à lui. Il n'est pas question de le jouer tel que tu le sens, mais tel que l'acteur l'a senti. Sa respiration n'est pas la tienne, mais si tu chopes ce qu'il ressent, ce sera juste. Là où ça rejoint le théâtre ou le cinéma, c'est le "ici et maintenant" que ça te demande. Une immédiateté de l'investissement orchestré par le chef de plateau ou le metteur en scène.
R.S : Tu es entre autre la "voix habituelle" de Megan Mullally alias Karen Walker de la série "Will & Grace". C'est une grande rencontre pour toi, n'est-ce pas ?
C.J : J'ai été très surprise d'être choisie pour être la voix de Megan Mullally dans "Will & Grace". D'autant que la voix qu'elle prend pour Karen est particulièrement haut perchée, loin de son medium naturel (et du mien) que j'ai découvert dans "Basket academy" où elle essaie un rôle sans artifices. Dans Karen, elle est totalement fantasque, pratiquant l'absurde jusqu'à la folie. Chanteuse, danseuse, actrice, elle possède un sens du rythme effréné et des ruptures comiques phénoménales. Jamais installée, toujours surprenante, elle te demande, pour la suivre, une époustouflante forme physique et zéro doute. J'ai donc foncé, travaillé et appris beaucoup avec elle. Sans m'éloigner de la sincérité que me demande une Sela Ward ou une Patricia Clarkson, sa manière à elle est totalement extravertie. C'est ce que je trouve passionnant dans le doublage : quelle manière de travailler a l'autre ? Forcément tu empruntes le même chemin et t'enrichis d'autant.
R.S : A l'instar du plateau américain, la complicité sur le plateau de doublage était-elle aussi grande ?
C.J : Bien sûr ! On ne quittait pas le plateau, rien que pour entendre les trouvailles des autres et se marrer. J'ai trouvé avec cette équipe quelque chose de la troupe de théâtre, du travail choral. C'était bon !
R.S : Si tu devais définir le mot comédienne en quelques mots, que dirais-tu ?
C.J : Comédienne, c'est un état ! Ressentir et donner me paraît être la meilleure définition. Partager toujours.
R.S : En dehors de ton métier quelles sont tes hobbies ?
C.J : Ma grand-mère m'a donné le goût des livres et du spectacle, nourritures qui ne m'ont jamais fait défaut. Lire m'est vital. Dernièrement, j'ai adoré la concierge de "L'élégance du hérisson" de Muriel Barbery, j'ai pleuré sur cette femme qui découvre la précarité des réfugiés dans "A l' abri de rien" d'Olivier Adam, j'ai été charmée par l'écriture de Jim Harrison dans "Retour en terre". Enfin, j'ai été enthousiasmée par la dernière de Jacques Higelin, hier soir, au Bataclan. Du beau, du bon, du vrai, je vibre !
R.S : Merci beaucoup Caroline.
C.J : De rien !
Interview de novembre 2007
C.J : Bonjour Reynald !
R.S : Comment as-tu débuté ta vie de comédienne ?
C.J : Au Théâtre de l'Oeuvre, en 1973, dans "Lady pain d'épice" de Neil Simon. J'avais 19 ans, un an de cours Simon derrière moi et le prix du jury en poche. Je ne savais rien sinon que c'était ma vie. J'ai passé l'audition pour jouer Polly, la fille de Micheline Luccioni, avec elle. J'entends encore sa voix généreuse, son parler franc et direct. Impossible de ne pas être juste avec elle. J'ai eu beaucoup de chance de débuter ainsi. Comme a dit Michel Audiard : "Pour un début, c'est un assez joli début !"... D'autres pièces ont suivi. Puis, Claude Santelli et Roger Kahane sont venus me chercher pour la télévision. J'ai appris la caméra avec eux.
R.S : Pour faire ses armes doit-on forcément passer par le théâtre ?
C.J : Le théâtre est formateur de ton métier et de toi-même. Il t'apprend et te donne plus : le goût des textes, d'abord, et puis celui de la recherche et du travail en commun. Benno Besson avait l'habitude de dire qu'un comédien, dès qu'il joue, se met en danger. Ses répétitions se passaient dans un grand respect et une écoute de l'autre. J'ai adoré partager sa curiosité. Il cherchait perpétuellement, jusqu'à la dernière représentation publique. Tout dans la création de "Lapin lapin" fut vivant et enthousiasmant. Il m'a profondément enrichie.
R.S : Comment et pourquoi as-tu pris le chemin du doublage ?
C.J : Je m'étais déjà doublée et avait appris ce que la voix peut changer sur l'intention d'une scène. Mais doubler quelqu'un d'autre, c'est Hubert Noël qui me l'a proposé le premier.
R.S : L'exercice t'a-t-il paru difficile au début ?
C.J : Insurmontable à l'époque ! La radio (France Culture) m'offrait plus de liberté avec les magnifiques textes que me confiait Claude Roland-Manuel. Il a fallu toute la gentillesse de Sady Rebbot, avec qui je tournais "Papa Poule", pour revenir sur un plateau où il doublait "A Midsummer Night's Sex Comedy" de Woody Allen. Il m'a ébloui. Son travail était passionnant. Voulant apaiser mes appréhensions, son directeur, Jean-Pierre Dorat, m'a proposé de suivre un stage pour débutants. Stage que j'ai suivi : apprivoiser les contraintes pour qu'elles n'en soient plus et jouer... jouer comme Sady l'avait fait devant moi.
R.S : Cette façon de jouer la comédie est tout de même différente par rapport aux autres branches de la profession ?
C.J : Elle a ceci de différent qu'un autre a joué et que tu dois retrouver ses émotions, son souffle, pour être juste par rapport à lui. Il n'est pas question de le jouer tel que tu le sens, mais tel que l'acteur l'a senti. Sa respiration n'est pas la tienne, mais si tu chopes ce qu'il ressent, ce sera juste. Là où ça rejoint le théâtre ou le cinéma, c'est le "ici et maintenant" que ça te demande. Une immédiateté de l'investissement orchestré par le chef de plateau ou le metteur en scène.
R.S : Tu es entre autre la "voix habituelle" de Megan Mullally alias Karen Walker de la série "Will & Grace". C'est une grande rencontre pour toi, n'est-ce pas ?
C.J : J'ai été très surprise d'être choisie pour être la voix de Megan Mullally dans "Will & Grace". D'autant que la voix qu'elle prend pour Karen est particulièrement haut perchée, loin de son medium naturel (et du mien) que j'ai découvert dans "Basket academy" où elle essaie un rôle sans artifices. Dans Karen, elle est totalement fantasque, pratiquant l'absurde jusqu'à la folie. Chanteuse, danseuse, actrice, elle possède un sens du rythme effréné et des ruptures comiques phénoménales. Jamais installée, toujours surprenante, elle te demande, pour la suivre, une époustouflante forme physique et zéro doute. J'ai donc foncé, travaillé et appris beaucoup avec elle. Sans m'éloigner de la sincérité que me demande une Sela Ward ou une Patricia Clarkson, sa manière à elle est totalement extravertie. C'est ce que je trouve passionnant dans le doublage : quelle manière de travailler a l'autre ? Forcément tu empruntes le même chemin et t'enrichis d'autant.
R.S : A l'instar du plateau américain, la complicité sur le plateau de doublage était-elle aussi grande ?
C.J : Bien sûr ! On ne quittait pas le plateau, rien que pour entendre les trouvailles des autres et se marrer. J'ai trouvé avec cette équipe quelque chose de la troupe de théâtre, du travail choral. C'était bon !
R.S : Si tu devais définir le mot comédienne en quelques mots, que dirais-tu ?
C.J : Comédienne, c'est un état ! Ressentir et donner me paraît être la meilleure définition. Partager toujours.
R.S : En dehors de ton métier quelles sont tes hobbies ?
C.J : Ma grand-mère m'a donné le goût des livres et du spectacle, nourritures qui ne m'ont jamais fait défaut. Lire m'est vital. Dernièrement, j'ai adoré la concierge de "L'élégance du hérisson" de Muriel Barbery, j'ai pleuré sur cette femme qui découvre la précarité des réfugiés dans "A l' abri de rien" d'Olivier Adam, j'ai été charmée par l'écriture de Jim Harrison dans "Retour en terre". Enfin, j'ai été enthousiasmée par la dernière de Jacques Higelin, hier soir, au Bataclan. Du beau, du bon, du vrai, je vibre !
R.S : Merci beaucoup Caroline.
C.J : De rien !
Interview de novembre 2007