David Krüger
Doublage
Emission TV
Titans Games
Série documentaire
Les Coulisses des attractions
M. Chonchon / Capitaine Superslip
animation
2018/2020
Voix
CD-ROM
Volt (Rhino)
Documentaire
Eiger, La Dernière Course
Documentaire
Eruption du mont Saint Helen (Barry)
Documentaire
Esmeraldos, City of Waits
Documentaire
Himalaya, la route du sel
Documentaire
Le Foot Malgré Tout
Documentaire
Les Reliques de Jeanne d'Arc (France 2)
Documentaire
The Fourty Deuce (Yvan Kane)
DVD
Deux frères (Bonus : Tigre, prédateur suprême)
Narration
Louis XVI (Mise en scène d'Arnaud Selignac)
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Equidia
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Holiday on ice
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Jeux MB
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Les Incontournables Warner (TV, radio - NRJ : Pôle Express, Batman Begins, Charly et la Chocolaterie...)
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Monster Munch
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Parfum Harley-Davidson
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PEA Ecureuil
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Scooter Peugeot , un point de vue unique sur la ville
Radio
BlackBox (Bordeaux) (Voix officielle depuis 2019)
Radio
Swigg (Paris) (Voix officielle depuis 2019)
Série documentaire
Dirty Money
Spectacle
Disney Live on Stage (Crucy et Marty)
Spectacle
Disney on Ice (Syndrome)
Voice-over
America's Smartest Model (André)
Voice-over
Bad Girls (Multiples personnages)
Voice-over
Bad Girls Club (Multiples personnages)
Voice-over
Charm School (Multiples personnages)
Voice-over
Cold Case Files (Multiples personnages)
Voice-over
Dance Academy (Multiples personnages)
Voice-over
Exposed (Multiples personnages)
Voice-over
Fascisme in colour (Multiples personnages)
Voice-over
Houston Medical (Multiples personnages)
Voice-over
I Love New-York (Multiples personnages)
Voice-over
Ink Master (Multiples personnages)
Voice-over
Intervention (Multiples personnages)
Voice-over
La Trilogie du Pénis (Multiples personnages)
Voice-over
Les secrets de James Kaliardos (L'Oréal - Plusieurs films)
Voice-over
Next (Multiples personnages)
Voice-over
Oblivius (Multiples personnages)
Voice-over
Sorcerer's Apprentice (Multiples personnages)
Voice-over
Titanic and Crash of the Queen (Multiples personnages)
Voice-over
Trading Spouses (Multiples personnages)
Voice-over
What it takes (Multiples personnages)
Voix-off
Puy du Fou (Accueil, descriptif du parc et rôle de François 1er)
Formation
Cours FPA (Formation Professionnelle de l'Acteur)
Chant (avec Pascal Patta, Roger Ferber et Gérald Wagner)
Modern Jazz (avec Millard Hurley et Patrick Niedo)
Claquettes (avec Victor Cuno)
Classique (avec Wayne Byars)
Sports (Karaté, Tennis , Natation , Patinage , Ski, Equitation)
Chant (avec Pascal Patta, Roger Ferber et Gérald Wagner)
Modern Jazz (avec Millard Hurley et Patrick Niedo)
Claquettes (avec Victor Cuno)
Classique (avec Wayne Byars)
Sports (Karaté, Tennis , Natation , Patinage , Ski, Equitation)
Formation
Stages :
Claquettes (avec Heather Cornell et Eddie Brown)
International de Danse à Chateauroux (avec Victor Cuno, Michel Lopez, Nadia Coulon, Christiane Legrand)
Impro. sur la comédie en anglais (avec Edwin Gérard)
Claquettes (avec Heather Cornell et Eddie Brown)
International de Danse à Chateauroux (avec Victor Cuno, Michel Lopez, Nadia Coulon, Christiane Legrand)
Impro. sur la comédie en anglais (avec Edwin Gérard)
Courts-métrages
"Pourquoi ne dansez-vous pas ?" réalisé par Claudia Cesana
"Le temps passe" réalisé par Luc David
"Shoot" réalisé par Gérard Grenier
"La demande en mariage" réalisé par Pascal Gerand
"Eurocity 99" réalisé par Philippe Ory
"Le temps passe" réalisé par Luc David
"Shoot" réalisé par Gérard Grenier
"La demande en mariage" réalisé par Pascal Gerand
"Eurocity 99" réalisé par Philippe Ory
Création
"Dans ses mots…" textes de Cocteau, sur une Chorégraphie de Adeline Reynaud
Radio
Radio Nostalgie publicité réalisé par Gérard Krawczyk
Réalisations
Clips :
Chanson de Lou Velvet
Spectacle de théâtre "La Liberté"
Les soirées "Spicilèges"
PTeaser du 68ème Impérial, convention SF Connexion
Chanson de Lou Velvet
Spectacle de théâtre "La Liberté"
Les soirées "Spicilèges"
PTeaser du 68ème Impérial, convention SF Connexion
Spectacles musicaux
"Les Misérables" direction scénique, jeu et vocale.
"Dracula" de Cécile Rouzay
"Musical Suspect" de Caryn et Florence Trinca et mise en scène par Frédéric Baptiste et Murielle Magellan
"War" Christophe Borie et Stéphane Metroet mise en scène des auteurs
"Providence" de Sauvanne Delanoe
"Mayflower" de Guy Bontempelli et mise en scène par Corinne Blue/ Chorégraphie : Rheda
"Estelle Bright" de Sarah Tullamore et Frédéric Baptiste, mise en scène par Frédéric Baptiste(voix off - Avignon 2005 - création)
"Dracula" de Cécile Rouzay
"Musical Suspect" de Caryn et Florence Trinca et mise en scène par Frédéric Baptiste et Murielle Magellan
"War" Christophe Borie et Stéphane Metroet mise en scène des auteurs
"Providence" de Sauvanne Delanoe
"Mayflower" de Guy Bontempelli et mise en scène par Corinne Blue/ Chorégraphie : Rheda
"Estelle Bright" de Sarah Tullamore et Frédéric Baptiste, mise en scène par Frédéric Baptiste(voix off - Avignon 2005 - création)
Télévision
"Meurtres avec préméditation : Le Squale" réalisé par Claude Boissol dans le rôle du Fils Norge
"Besoin de personne : Å’il pour oeil"
"Commissaire Moulin : L'ours vert" dans le rôle d'Arnaud Benazet
"Drôles d'Histoires : Un si long sommeil" réalisé par Dominique Juliani
"Drôle d'histoire : Le don d'Amélie" réalisé par Jean - Paul Sassi
"Counter Strike" (en anglais) réalisé par Bruno Gantillon
"Navarro : Police Racket"
"Histoires d'ascenseur" réalisé par Thomas Gutierrez
"Besoin de personne : Å’il pour oeil"
"Commissaire Moulin : L'ours vert" dans le rôle d'Arnaud Benazet
"Drôles d'Histoires : Un si long sommeil" réalisé par Dominique Juliani
"Drôle d'histoire : Le don d'Amélie" réalisé par Jean - Paul Sassi
"Counter Strike" (en anglais) réalisé par Bruno Gantillon
"Navarro : Police Racket"
"Histoires d'ascenseur" réalisé par Thomas Gutierrez
Théâtre
"Corrida" de Denis Baronnet et mise en scène de Maylis Boye
"L'Epée" de V. Hugo et mise en scène de Jeanne Carre
"La secte" de Y. Reuzeau et mise en scène de l'auteur
"Le songe…" de W. Shakespeare dans le rôle d'Obéron et mise en scène de Stéphane Aucante
"Histoire du Théâtre" mise en scène de Denis Daniel, tournée Barré - Borelli
"J. Truchot" a disparu" de Bruno Druart
"Nous on fait…" de Michel Bonnet
"L'Epée" de V. Hugo et mise en scène de Jeanne Carre
"La secte" de Y. Reuzeau et mise en scène de l'auteur
"Le songe…" de W. Shakespeare dans le rôle d'Obéron et mise en scène de Stéphane Aucante
"Histoire du Théâtre" mise en scène de Denis Daniel, tournée Barré - Borelli
"J. Truchot" a disparu" de Bruno Druart
"Nous on fait…" de Michel Bonnet
Vidéoclips
"Moby n°3" réalisé par Thomas Gutierrez
Interview
R.S : Bonjour David.
D.K : Bonjour à toi !
R.S : Avoir de la famille dans le milieu artistique a-t-il eu une influence sur toi ?
D.K : Inévitablement. Faire ce métier me permettait, au départ, de me rapprocher de certains membres de ma famille qui me semblaient toujours très lointains. Ensuite, bien sûr, l'amour du métier pour lui-même a pris le dessus.
R.S : Ta carrière dans le doublage a démarré tôt, est-ce un avantage ?
D.K : Elle n'a pas commencé aussitôt que cela. Je n'ai pas commencé ce travail avant mes 19 ans, ce qui, en comparaison avec d'autres de mes camarades - Damien Boisseau, par exemple - n'est pas "si jeune".
R.S : Ce doit être étrange de revoir ses premiers doublages car aujourd'hui ta voix n'est plus la même ?
D.K : Heu... en réalité, j'évite ce genre d'exercice ! (rires) Surtout en ce qui concerne les deux premières années (87, 88). Le démarrage, il faut l'avouer, ne fut vraiment pas glorieux ! (rires) Il n'en demeure pas moins vrai que la voix évolue. De mon point de vue, c'est plutôt un bien.
R.S : Abordes-tu différemment un doublage sur un 35 par rapport à une série ?
D.K : La série s'aborde différemment, car on ne nous laisse pas le choix de faire autrement. C'est une question de gros sous, et donc de temps. S'il ne tenait qu'à moi - et je sais que nous sommes pas mal à penser ça - je préfèrerais que l'on traite les séries ou les téléfilms (pas tous, mais beaucoup le mériteraient) comme on traite le 35. Tout, en série ou en téléfilm, est un peu "moins bien traité" que le 35. Et quand je dis "moins bien traité", ce n'est pas par laxisme bien sûr, car chacun fait évidement toujours au mieux, mais par faute de temps, de budget. Le nivellement par le bas qui en découle est très dommageable pour tout le monde, à commencer pour le doublage français lui-même - qui est, ne l'oublions pas, le meilleur du monde - et les téléspectateurs, bien évidemment.
R.S : Il faut avouer que le grand public s'attache plus à une série qui entre chez eux régulièrement et forcément à la version française. Que penses-tu du fait que les médias en parlent si peu ?
D.K : Les médias en parlent quand il y a une vedette qui prête sa voix. Très bien pour la vedette, très bien pour le métier. Mais c'est oublier les presque deux mille comédiens qui font ça avec tout leur cœur, et qui le font globalement très bien. En fait, les médias en parlent quand c'est "vendeur". Donc quand ça peut rapporter de l'argent. On en revient à une histoire de gros sous... Un exemple flagrant : lors de la projection au Grand Rex du film "Les Indestructibles", seules les vedettes étaient interviewées, filmées, etc. Mais les deux rôles principaux - magnifique travail de Déborah Perret, et de Marc Alfos (voix de Russel Crowe dans "Gladiateur") - rien. Cette situation, qui n'est malheureusement pas rare, ne me paraît pas normale...
R.S : Lorsque tu es distribué sur un personnage animé, c'est là qu'une véritable création peut avoir lieu, non ?
D.K : La "création" de voix en animation se fait quand il n'y a rien au départ. Je veux dire par là, quand il n'y a pas de voix étrangère à doubler, voire même pas d'image. Dans ce cas seulement, on peut parler de création, car l'animation sera faite sur votre voix et votre façon de vous exprimer. En revanche, pour le reste du doublage, il s'agit "seulement" de reproduire un jeu, suivant un original. Notre métier est donc un métier "d'imitateur". A nous de jouer, "d'imiter" le plus justement possible pour que cela soit crédible selon telle ou telle situation à l'image, et selon tel ou tel acteur étranger et son jeu.
R.S : Est-ce plus compliqué de doubler un jeu vidéo ?
D.K : C'est encore un autre travail, très différent. Il n'y pas de bande rythmo, le texte se lit à la main ou sur ordinateur, et on travaille encore plus vite qu'en doublage. Mais c'est drôlement chouette !
R.S : Lorsque tu te prépares à monter sur les planches, avec les répétitions et tout ce que ça implique, est-il difficile d'être en même temps sur les plateaux de doublage ?
D.K : Je ne vois pas en quoi ce serait difficile. C'est une question d'organisation. Le doublage, comme le théâtre ou le travail à la caméra, est un vrai métier en soit. Une branche de plus à l'arc de la comédie. Les uns et les autres, comédiens et comédiennes, nous passons de l'un à l'autre car c'est notre métier. Passer d'un salon à une chambre, à une cuisine n'a rien de compliqué. On vit des choses différentes dans chaque pièce, mais c'est toujours le même appartement. C'est pareil dans le métier : différentes actions, mais dans la même profession. Et puis, quand bien même il y aurait quelques difficultés, il ne faut pas oublier que, majoritairement, nous l'avons choisi ce métier, et qu'il est vraiment très loin d'être le pire sur Terre ! Tu en connais beaucoup des métiers où le maître mot est "jouer" ? Mon prof d'art drama disait toujours : "Jouer la comédie, c'est faire semblant avec sincérité, comme quand vous étiez petits et que vous jouiez aux cow-boys et aux indiens ou à la marchande." Eh bien moi, savoir que je vais faire le cow-boy, l'Indien ou le client de la marchande toute ma vie, ça me fait la vie belle !
R.S : Je sais que tu es un homme très occupé, mais j'imagine que tu gardes un peu de place pour tes hobbies ! Quels sont-ils ?
D.K : Le chant, le sport, la photo, la musique... Et mon fils. Mais ce dernier n'est pas un hobby. C'est bien plus. Il est toute ma joie de vivre.
R.S : Merci beaucoup David.
D.K : Je t'en prie. Merci à toi.
Interview d'août 2006
D.K : Bonjour à toi !
R.S : Avoir de la famille dans le milieu artistique a-t-il eu une influence sur toi ?
D.K : Inévitablement. Faire ce métier me permettait, au départ, de me rapprocher de certains membres de ma famille qui me semblaient toujours très lointains. Ensuite, bien sûr, l'amour du métier pour lui-même a pris le dessus.
R.S : Ta carrière dans le doublage a démarré tôt, est-ce un avantage ?
D.K : Elle n'a pas commencé aussitôt que cela. Je n'ai pas commencé ce travail avant mes 19 ans, ce qui, en comparaison avec d'autres de mes camarades - Damien Boisseau, par exemple - n'est pas "si jeune".
R.S : Ce doit être étrange de revoir ses premiers doublages car aujourd'hui ta voix n'est plus la même ?
D.K : Heu... en réalité, j'évite ce genre d'exercice ! (rires) Surtout en ce qui concerne les deux premières années (87, 88). Le démarrage, il faut l'avouer, ne fut vraiment pas glorieux ! (rires) Il n'en demeure pas moins vrai que la voix évolue. De mon point de vue, c'est plutôt un bien.
R.S : Abordes-tu différemment un doublage sur un 35 par rapport à une série ?
D.K : La série s'aborde différemment, car on ne nous laisse pas le choix de faire autrement. C'est une question de gros sous, et donc de temps. S'il ne tenait qu'à moi - et je sais que nous sommes pas mal à penser ça - je préfèrerais que l'on traite les séries ou les téléfilms (pas tous, mais beaucoup le mériteraient) comme on traite le 35. Tout, en série ou en téléfilm, est un peu "moins bien traité" que le 35. Et quand je dis "moins bien traité", ce n'est pas par laxisme bien sûr, car chacun fait évidement toujours au mieux, mais par faute de temps, de budget. Le nivellement par le bas qui en découle est très dommageable pour tout le monde, à commencer pour le doublage français lui-même - qui est, ne l'oublions pas, le meilleur du monde - et les téléspectateurs, bien évidemment.
R.S : Il faut avouer que le grand public s'attache plus à une série qui entre chez eux régulièrement et forcément à la version française. Que penses-tu du fait que les médias en parlent si peu ?
D.K : Les médias en parlent quand il y a une vedette qui prête sa voix. Très bien pour la vedette, très bien pour le métier. Mais c'est oublier les presque deux mille comédiens qui font ça avec tout leur cœur, et qui le font globalement très bien. En fait, les médias en parlent quand c'est "vendeur". Donc quand ça peut rapporter de l'argent. On en revient à une histoire de gros sous... Un exemple flagrant : lors de la projection au Grand Rex du film "Les Indestructibles", seules les vedettes étaient interviewées, filmées, etc. Mais les deux rôles principaux - magnifique travail de Déborah Perret, et de Marc Alfos (voix de Russel Crowe dans "Gladiateur") - rien. Cette situation, qui n'est malheureusement pas rare, ne me paraît pas normale...
R.S : Lorsque tu es distribué sur un personnage animé, c'est là qu'une véritable création peut avoir lieu, non ?
D.K : La "création" de voix en animation se fait quand il n'y a rien au départ. Je veux dire par là, quand il n'y a pas de voix étrangère à doubler, voire même pas d'image. Dans ce cas seulement, on peut parler de création, car l'animation sera faite sur votre voix et votre façon de vous exprimer. En revanche, pour le reste du doublage, il s'agit "seulement" de reproduire un jeu, suivant un original. Notre métier est donc un métier "d'imitateur". A nous de jouer, "d'imiter" le plus justement possible pour que cela soit crédible selon telle ou telle situation à l'image, et selon tel ou tel acteur étranger et son jeu.
R.S : Est-ce plus compliqué de doubler un jeu vidéo ?
D.K : C'est encore un autre travail, très différent. Il n'y pas de bande rythmo, le texte se lit à la main ou sur ordinateur, et on travaille encore plus vite qu'en doublage. Mais c'est drôlement chouette !
R.S : Lorsque tu te prépares à monter sur les planches, avec les répétitions et tout ce que ça implique, est-il difficile d'être en même temps sur les plateaux de doublage ?
D.K : Je ne vois pas en quoi ce serait difficile. C'est une question d'organisation. Le doublage, comme le théâtre ou le travail à la caméra, est un vrai métier en soit. Une branche de plus à l'arc de la comédie. Les uns et les autres, comédiens et comédiennes, nous passons de l'un à l'autre car c'est notre métier. Passer d'un salon à une chambre, à une cuisine n'a rien de compliqué. On vit des choses différentes dans chaque pièce, mais c'est toujours le même appartement. C'est pareil dans le métier : différentes actions, mais dans la même profession. Et puis, quand bien même il y aurait quelques difficultés, il ne faut pas oublier que, majoritairement, nous l'avons choisi ce métier, et qu'il est vraiment très loin d'être le pire sur Terre ! Tu en connais beaucoup des métiers où le maître mot est "jouer" ? Mon prof d'art drama disait toujours : "Jouer la comédie, c'est faire semblant avec sincérité, comme quand vous étiez petits et que vous jouiez aux cow-boys et aux indiens ou à la marchande." Eh bien moi, savoir que je vais faire le cow-boy, l'Indien ou le client de la marchande toute ma vie, ça me fait la vie belle !
R.S : Je sais que tu es un homme très occupé, mais j'imagine que tu gardes un peu de place pour tes hobbies ! Quels sont-ils ?
D.K : Le chant, le sport, la photo, la musique... Et mon fils. Mais ce dernier n'est pas un hobby. C'est bien plus. Il est toute ma joie de vivre.
R.S : Merci beaucoup David.
D.K : Je t'en prie. Merci à toi.
Interview d'août 2006