Barbara Beretta
Doublage
Voix
Habillage, Narration & Voice-over
Habillage de la chaine jeunesse JETIX
Trailer
Grand Theft Auto V
Formation
École Jean Perimony
Cours de chant
Cours de danse (moderne/jazz)
Cours de chant
Cours de danse (moderne/jazz)
Courts-métrages
"Délits de lit" réalisé par P. Dajoux
"Un repas épicé" réalisé par B. Verret
"The hot line" réalisé par N. Stanciu
"Le banquet" réalisé par M. Lariega
"Némésis" réalisé par D. Aragones
"Un repas épicé" réalisé par B. Verret
"The hot line" réalisé par N. Stanciu
"Le banquet" réalisé par M. Lariega
"Némésis" réalisé par D. Aragones
Télévision
Sketches pour "Le journal de Moustic"
Théâtre
"Tais-toi et parle-moi" de David Thomas et mise en scène d'Hocine Choutri
"Le soleil est dans la lune" (Théâtre pour enfant) mise en scène de A. Degay
"Providence" (comédie musicale) mise en scène de L. Florian
"Au petit bonheur la chance" (comedie musicale) mise en scène de L. Muller
"Le tour du monde en 80 minutes" (choeur) mise en scène de R. Prechac
"Le soleil est dans la lune" (Théâtre pour enfant) mise en scène de A. Degay
"Providence" (comédie musicale) mise en scène de L. Florian
"Au petit bonheur la chance" (comedie musicale) mise en scène de L. Muller
"Le tour du monde en 80 minutes" (choeur) mise en scène de R. Prechac
Vidéoclips
Clip d'Ysa Ferrer réalisé par Julien Seri
Interview
R.S : Bonjour Barbara...
B.B : Bonjour Reynald.
R.S : Pouvez-vous parler de vos premiers pas de comédienne ?
B.B : J'étais toute jeune puisque j'ai commencé le doublage à 7 ans et que j'ai fait mes premiers pas devant un public à 10 ans. Et, en fait, à cet âge-là, je ne réalisais pas trop ce qui se passait, je m'amusais surtout. Je m'amuse toujours autant mais en revanche, depuis, j'ai découvert le trac ! Mais c'est bon aussi...
R.S : On dit souvent que le théâtre est une grande école. Qu'apporte t'il de plus par rapport aux autres branches de la profession ?
B.B : Une remise en question tous les soirs, une prise de risque et, bien sûr, le rapport direct et immédiat au public. Ce que j'aime aussi au théâtre c'est la possibilité de vivre assez longtemps avec un personnage pour le faire évoluer au fil des répétitions et même des représentations. Plus le temps passe, plus on peut tâtonner, explorer, aller loin... C'est un travail que j'aime.
R.S : Lorsque vous tournez dans des courts-métrages, y-a-t-il une différence par rapport au cinéma ou la télévision ?
B.B : Je n'ai pas une grande expérience du cinéma et de la télé. Mais à mon avis la grande différence se situe dans l'ambiance. Pour un court, souvent pas payé, tout le monde est là parce qu'il le veut, dans un même but : faire du bon travail. Alors souvent c'est assez familial.
R.S : Comment avez-vous débuté dans le doublage ?
B.B : Mon papa étant comédien aussi, je l'ai beaucoup suivi sur les plateaux étant petite. Et un jour Danielle Perret m'a demandé si je voulais essayer. J'avais 7 ans... Mais c'est resté assez rare. J'ai commencé à travailler régulièrement il y a 10 ans à peu près, après de courtes études et mes cours de théâtre chez Perimony qui m'ont beaucoup apporté.
R.S : Est-ce compliqué de suivre les pas d'une comédienne étrangère et de ne faire passer les émotions que par la voix ?
B.B : En fait, je dirais que ça dépend des comédiennes que je double. C'est sûr qu'il y a de toute façon des contraintes techniques pour coller à l'image (des arrêts dans une phrases, des appuis...), mais sur certaines les choses se font naturellement. Parfois c'est plus difficile, l'osmose ne se fait pas. C'est un peu frustrant ! Je ne saurais pas dire à quoi c'est dû, d'ailleurs.
R.S : Vous suivez sur la durée quelques comédiennes. J'imagine que cela vous ravit. Artistiquement parlant, est-ce un avantage ?
B.B : J'aime beaucoup ça. C'est un avantage dans le sens où on a l 'impression de travailler avec quelqu'un qu'on connaît bien. Tout devient plus simple et naturel. On connaît le jeu de l'autre et du coup on retrouve ses marques assez rapidement. C'est ce que je ressens avec Jemima Rooper par exemple, que j'ai suivie sur plusieurs séries depuis quelques années. La retrouver est toujours un plaisir.
R.S : Lorsque vous faite un habillage pour une chaîne de télévision, le travail est différent par rapport au doublage, mais ça reste tout de même de la comédie finalement ?
B.B : C'est vrai que c'est très différent. Sur le lancement d'émissions ou les sommaires il n'y a pas de comédie à proprement parler. Il y a un ton donné qui reste toujours le même. C'est un autre exercice. Mais je pense que le fait d'être comédienne me permet de nuancer un peu mes interventions. C'est ce que j'essaie de faire en tout cas !
R.S : Une comédienne a plusieurs facettes. Trouvez-vous l'inspiration dans la diversité ?
B.B : Évidemment. L'inspiration et la motivation surtout. Dans une journée je peux prêter ma voix à un lapin rigolo le matin, interpréter une chanson déjantée l'après midi et être sur scène le soir dans un rôle plus grave. C'est une grande chance. Et le doublage offre d'ailleurs une diversité énorme. On a la chance de jouer des choses qu'on ne ferait pas à l'image ou en scène, parce que physiquement ça ne collerait pas.
R.S : Quels sont vos hobbies ?
B.B : La danse, même si depuis la naissance de ma fille il y a deux ans je n'ai plus trop le temps de pratiquer... Mais il faut que je recommence ça me manque trop ! Et retourner "chez moi" en Corse, avec la famille, les amis, le soleil, la mer... Ah ! J'ai hâte !
R.S : Merci beaucoup Barbara.
B.B : C'est moi ! Merci à toi pour ton travail...
Interview d'avril 2008
B.B : Bonjour Reynald.
R.S : Pouvez-vous parler de vos premiers pas de comédienne ?
B.B : J'étais toute jeune puisque j'ai commencé le doublage à 7 ans et que j'ai fait mes premiers pas devant un public à 10 ans. Et, en fait, à cet âge-là, je ne réalisais pas trop ce qui se passait, je m'amusais surtout. Je m'amuse toujours autant mais en revanche, depuis, j'ai découvert le trac ! Mais c'est bon aussi...
R.S : On dit souvent que le théâtre est une grande école. Qu'apporte t'il de plus par rapport aux autres branches de la profession ?
B.B : Une remise en question tous les soirs, une prise de risque et, bien sûr, le rapport direct et immédiat au public. Ce que j'aime aussi au théâtre c'est la possibilité de vivre assez longtemps avec un personnage pour le faire évoluer au fil des répétitions et même des représentations. Plus le temps passe, plus on peut tâtonner, explorer, aller loin... C'est un travail que j'aime.
R.S : Lorsque vous tournez dans des courts-métrages, y-a-t-il une différence par rapport au cinéma ou la télévision ?
B.B : Je n'ai pas une grande expérience du cinéma et de la télé. Mais à mon avis la grande différence se situe dans l'ambiance. Pour un court, souvent pas payé, tout le monde est là parce qu'il le veut, dans un même but : faire du bon travail. Alors souvent c'est assez familial.
R.S : Comment avez-vous débuté dans le doublage ?
B.B : Mon papa étant comédien aussi, je l'ai beaucoup suivi sur les plateaux étant petite. Et un jour Danielle Perret m'a demandé si je voulais essayer. J'avais 7 ans... Mais c'est resté assez rare. J'ai commencé à travailler régulièrement il y a 10 ans à peu près, après de courtes études et mes cours de théâtre chez Perimony qui m'ont beaucoup apporté.
R.S : Est-ce compliqué de suivre les pas d'une comédienne étrangère et de ne faire passer les émotions que par la voix ?
B.B : En fait, je dirais que ça dépend des comédiennes que je double. C'est sûr qu'il y a de toute façon des contraintes techniques pour coller à l'image (des arrêts dans une phrases, des appuis...), mais sur certaines les choses se font naturellement. Parfois c'est plus difficile, l'osmose ne se fait pas. C'est un peu frustrant ! Je ne saurais pas dire à quoi c'est dû, d'ailleurs.
R.S : Vous suivez sur la durée quelques comédiennes. J'imagine que cela vous ravit. Artistiquement parlant, est-ce un avantage ?
B.B : J'aime beaucoup ça. C'est un avantage dans le sens où on a l 'impression de travailler avec quelqu'un qu'on connaît bien. Tout devient plus simple et naturel. On connaît le jeu de l'autre et du coup on retrouve ses marques assez rapidement. C'est ce que je ressens avec Jemima Rooper par exemple, que j'ai suivie sur plusieurs séries depuis quelques années. La retrouver est toujours un plaisir.
R.S : Lorsque vous faite un habillage pour une chaîne de télévision, le travail est différent par rapport au doublage, mais ça reste tout de même de la comédie finalement ?
B.B : C'est vrai que c'est très différent. Sur le lancement d'émissions ou les sommaires il n'y a pas de comédie à proprement parler. Il y a un ton donné qui reste toujours le même. C'est un autre exercice. Mais je pense que le fait d'être comédienne me permet de nuancer un peu mes interventions. C'est ce que j'essaie de faire en tout cas !
R.S : Une comédienne a plusieurs facettes. Trouvez-vous l'inspiration dans la diversité ?
B.B : Évidemment. L'inspiration et la motivation surtout. Dans une journée je peux prêter ma voix à un lapin rigolo le matin, interpréter une chanson déjantée l'après midi et être sur scène le soir dans un rôle plus grave. C'est une grande chance. Et le doublage offre d'ailleurs une diversité énorme. On a la chance de jouer des choses qu'on ne ferait pas à l'image ou en scène, parce que physiquement ça ne collerait pas.
R.S : Quels sont vos hobbies ?
B.B : La danse, même si depuis la naissance de ma fille il y a deux ans je n'ai plus trop le temps de pratiquer... Mais il faut que je recommence ça me manque trop ! Et retourner "chez moi" en Corse, avec la famille, les amis, le soleil, la mer... Ah ! J'ai hâte !
R.S : Merci beaucoup Barbara.
B.B : C'est moi ! Merci à toi pour ton travail...
Interview d'avril 2008