Jean-Marc Charrier
Genres :
Voix Adulte homme, Voix Senior homme
Tonalité :
Medium
Accents :
Anglais, Asiatique, Espagnol, Portugais, Russe
Doublage
télévision, VOD & DVD
2016
Petits meurtres et chrysanthèmes : Mystère et chrysanthèmes (Lieutenant Al Corbleon)
télévision, VOD & DVD
2016
Petits meurtres et chrysanthèmes : Mystère et chrysanthèmes (Inspecteur Blasko)
télévision, VOD & DVD
2023
Voix
Documentaire
Ethiopie, corps et âmes
Documentaire
Inde secrète et pêches sacrées
Documentaire
Le Bhoutan
Documentaire
Tokyo laboratoire d'avenir
Publicité
Parfum Centaure de Pierre Cardin
Formation
Professeur de Do-In et préparateur physique à l'école de La comédie des Champs Elysées - appelée : Le Cours
Stages de formation intitulés :
Le jeu à l'écran : un rôle, une présence - avec Mediane - Art & Communication et sous la direction de Laurence Ferreira Barbosa
La musique au service du théâtre Elisabéthain : les voies d'un autre code de jeu - avec la compagnie Feu Follet et sous la direction de Philippe Awat
La recherche des enjeux ou la liberté du comédien - avec la compagnie Feu Follet et sous la direction de Philippe Awat
Travail au Theâtre du Soleil avec Ariane Mnouchkine - sur l'adaptation de la pièce "Tambours sur la digue" en long métrage
Atelier de training professionnel au studio Pygmalion
Formation de l'acteur à l'école Florent
Stages de formation intitulés :
Le jeu à l'écran : un rôle, une présence - avec Mediane - Art & Communication et sous la direction de Laurence Ferreira Barbosa
La musique au service du théâtre Elisabéthain : les voies d'un autre code de jeu - avec la compagnie Feu Follet et sous la direction de Philippe Awat
La recherche des enjeux ou la liberté du comédien - avec la compagnie Feu Follet et sous la direction de Philippe Awat
Travail au Theâtre du Soleil avec Ariane Mnouchkine - sur l'adaptation de la pièce "Tambours sur la digue" en long métrage
Atelier de training professionnel au studio Pygmalion
Formation de l'acteur à l'école Florent
Cinéma
"Des illusions" réalisé par Fodil Chabi
"Un ticket pour l'espace" réalisé par Eric Lartigau
"Un ticket pour l'espace" réalisé par Eric Lartigau
Courts métrages
"Aulnay need is love" réalisé par Fodil Chabi
Publicités
"Tic Tac" réalisé par François Néméta
"Jcup feu vert" réalisé par Yann Saint Pé
"Roquefort Société" réalisé par Stéphane Barbato
"Société Générale" réalisé par François Vogel
"Arcante" réalisé par Yann Saint Pé
"Volkswagen Instant TDI" réalisé par Arnaud Roussel
"Aviva" réalisé par François Néméta
"Magasins BUT" réalisé par Igreco
"Ligue de Football Professionnelle" réalisé par Sébastien Drhey
"Assurances La Mondiale" réalisé par Alain Sakot
"Jcup feu vert" réalisé par Yann Saint Pé
"Roquefort Société" réalisé par Stéphane Barbato
"Société Générale" réalisé par François Vogel
"Arcante" réalisé par Yann Saint Pé
"Volkswagen Instant TDI" réalisé par Arnaud Roussel
"Aviva" réalisé par François Néméta
"Magasins BUT" réalisé par Igreco
"Ligue de Football Professionnelle" réalisé par Sébastien Drhey
"Assurances La Mondiale" réalisé par Alain Sakot
Télévision
"Plus belle la vie" (20 épisodes) série réalisée par Christian Guerinel
"Section de recherches" série réalisé par Christian Guerinel
"Trafics" série réalisée par Olivier Barma
"Un flic" série réalisée par Patrick Dewolf
"Reporters" série réalisée par Gilles Bannier
"Le chasseur" série réalisée par Nicolas Cuche
"Tragédie en direct" téléfilm réalisé par Marc Rivière
"Sécurité intérieur" téléfilm réalisé par Patrick Grandperret
"Commissaire Valence : N°3" téléfilm réalisé par Vincenzo Marano
"Le grand Charles" téléfilm réalisé par Bernard Stora
"Le juge est une femme" téléfilm réalisé par Pierre Boutron
"Malone" téléfilm réalisé par Franck Apprederis
"Le cocu magnifique" téléfilm réalisé par Pierre Boutron
"Section de recherches" série réalisé par Christian Guerinel
"Trafics" série réalisée par Olivier Barma
"Un flic" série réalisée par Patrick Dewolf
"Reporters" série réalisée par Gilles Bannier
"Le chasseur" série réalisée par Nicolas Cuche
"Tragédie en direct" téléfilm réalisé par Marc Rivière
"Sécurité intérieur" téléfilm réalisé par Patrick Grandperret
"Commissaire Valence : N°3" téléfilm réalisé par Vincenzo Marano
"Le grand Charles" téléfilm réalisé par Bernard Stora
"Le juge est une femme" téléfilm réalisé par Pierre Boutron
"Malone" téléfilm réalisé par Franck Apprederis
"Le cocu magnifique" téléfilm réalisé par Pierre Boutron
Théâtre
"Vestiges Fureur" de Grégoire Cuvier - mise en scène de l'auteur. Lavoir Moderne Parisien, tournée
"Ceux qui boîtent" de Grégoire Cuvier - mise en scène de l'auteur. Vingtième Théâtre
"Ossyane" d'Amin Maalouf - mise en scène de Grégoire Cuvier. Théâtre 13 dans la compagnie "Le théâtre de chair"
"Pénitentes" de Grégoire Cuvier - mise en scène de Grégoire Cuvier. Centre d'Animation Les Halles Le Marais dans la compagnie "Le Théâtre de Chair"
"Pantagleize" de Michel de Ghelderode - mise en scène de Philippe Awat. Théâtre Romain Rolland de Villejuif et théatre A. Vitez d'Ivry, dans la compagnie "Feu Follet"
"Têtes rondes et têtes pointues" de Bertolt Brecht - mise en scène de Philippe Awat. Théâtre des Quartiers d'Ivry à l'Aqueduc d'Arcueil et au théâtre Antoine Vitez d'Ivry dans la compagnie "Feu Follet"
"Vu du pont" de Arthur Miller - mise en scène de Sophie Kerbellec. A l'espace Confluences dans la compagnie "Queue ni tête"
"Le songe d'une nuit d'été" de William Shakespeare - mise en scène de Philippe Awat. Théâtres de l'Épée de Bois et de l'Échangeur, dans la compagnie "Feu Follet"
"Cellule 118 d'Alphonse Boudard - mise en scène de Raymond Aquaviva. Théâtre du Petit Hebertot
"Des souris et des hommes" de John Steinbeck - mise en scène de Coretta Baroncini. Théâtre Le Trianon dans la compagnie "Piccalilli Théâtre"
"Ceux qui boîtent" de Grégoire Cuvier - mise en scène de l'auteur. Vingtième Théâtre
"Ossyane" d'Amin Maalouf - mise en scène de Grégoire Cuvier. Théâtre 13 dans la compagnie "Le théâtre de chair"
"Pénitentes" de Grégoire Cuvier - mise en scène de Grégoire Cuvier. Centre d'Animation Les Halles Le Marais dans la compagnie "Le Théâtre de Chair"
"Pantagleize" de Michel de Ghelderode - mise en scène de Philippe Awat. Théâtre Romain Rolland de Villejuif et théatre A. Vitez d'Ivry, dans la compagnie "Feu Follet"
"Têtes rondes et têtes pointues" de Bertolt Brecht - mise en scène de Philippe Awat. Théâtre des Quartiers d'Ivry à l'Aqueduc d'Arcueil et au théâtre Antoine Vitez d'Ivry dans la compagnie "Feu Follet"
"Vu du pont" de Arthur Miller - mise en scène de Sophie Kerbellec. A l'espace Confluences dans la compagnie "Queue ni tête"
"Le songe d'une nuit d'été" de William Shakespeare - mise en scène de Philippe Awat. Théâtres de l'Épée de Bois et de l'Échangeur, dans la compagnie "Feu Follet"
"Cellule 118 d'Alphonse Boudard - mise en scène de Raymond Aquaviva. Théâtre du Petit Hebertot
"Des souris et des hommes" de John Steinbeck - mise en scène de Coretta Baroncini. Théâtre Le Trianon dans la compagnie "Piccalilli Théâtre"
Interview
R.S : Bonjour Jean-Marc.
J.M.C : Bonjour Reynald.
R.S : Pouvez-vous parler de votre parcours de comédien ?
J.M.C : Je suis monté à Paris à l'âge tardif de 30 ans, et je suis allé au Cours Florent durant 3 ans. J'ai eu la chance d'avoir des super profs comme Elizabeth Mazev et Michel Fau, des comédiens d'Olivier Py. Ensuite j'ai fait la rencontre de Philippe Awat, avec qui j'ai appris beaucoup, car il m'a fait découvrir des formes de théâtre que je ne connaissais pas et surtout des choses qui existaient en moi, mais que j'ignorais. Puis j'ai rencontré Ariane Mnouchkine pour qui j'ai travaillé pendant 14 semaines. Je me sentais prêt pour essayer d'entrer au Théâtre du Soleil, mais mon amie attendait nos jumeaux, donc il fallait choisir. Je travaille maintenant depuis 8 années avec Grégoire Cuvier. Je m'éclate car nous cherchons, nous essayons, nous nous questionnons sur le théâtre, le jeu masqué et l'improvisation. J'adore !
R.S : Qu'est-ce qui vous donne cette envie de jouer ?
J.M.C : Moi qui ne suis pas un "cultureux", j'adore être un passeur de textes, un instrument par lequel mon corps, ma voix et tout ce qui m'appartient se met au service d'un texte, d'un auteur. Il faut aussi que cela m'apporte un enrichissement et une réflexion personnelle.
R.S : Comment avez-vous débuté dans le doublage ?
J.M.C : La curiosité, l'envie et l'arrivée de nos jumeaux m'y ont poussé.Vivant principalement du théâtre, il fallait que j'accorde mon instrument pour me perfectionner dans un nouveau domaine. Le doublage est à mes yeux une corde importante à ajouter à l'arc du comédien.
R.S : Qu'est-ce qui vous a attiré dans cet exercice ?
J.M.C : C'est le fait de découvrir d'autres systèmes de jeux qui sont enfouis en moi. Je dois aller chercher loin par moment, pour être au diapason avec le comédien que je double. C'est une forme de karaoké de l'image.
R.S : Pour doubler au mieux un comédien étranger, qu'est-ce qui vous semble le plus important ?
J.M.C : Il faut ouvrir ses " radars ", c'est-à-dire mettre ses sens en action pour être au service du comédien que l'on double et se rendre disponible. Bien entendu, il faut aussi se concentrer, mais sans être dans sa bulle, car il faut rester en contact avec nos partenaires de jeu.
R.S : En quoi le directeur artistique vous aide-t-il ?
J.M.C : Pour moi c'est le troisième oeil ! Il est indispensable pour la réussite du travail à accomplir. Il m'aiguille lorsque mon écoute est déficiente, lorsque je ne suis pas à la hauteur requise. L'échange avec lui est primordial.
R.S : J'imagine qu'il est important, lorsqu'on est comédien, d'exercer son métier de différentes façons ?
J.M.C : Evidemment ! Je pense que la base de notre métier s'apprend avec le théâtre. C'est là, je pense, que les fondations principales s'apprennent. Après il faut s'accorder différemment, doser avec précision pour faire du doublage, du cinéma, de la TV ou de la pub.
R.S : Quelles sont vos passions en dehors de votre métier ?
J.M.C : Ma femme et mes enfants. Ces rôles de mari et de père sont, à mes yeux, ceux qu'il faut "louper" le moins.
R.S : Merci beaucoup Jean-Marc.
J.M.C : Merci beaucoup Reynald et bravo pour votre travail !
Interview de février 2013
J.M.C : Bonjour Reynald.
R.S : Pouvez-vous parler de votre parcours de comédien ?
J.M.C : Je suis monté à Paris à l'âge tardif de 30 ans, et je suis allé au Cours Florent durant 3 ans. J'ai eu la chance d'avoir des super profs comme Elizabeth Mazev et Michel Fau, des comédiens d'Olivier Py. Ensuite j'ai fait la rencontre de Philippe Awat, avec qui j'ai appris beaucoup, car il m'a fait découvrir des formes de théâtre que je ne connaissais pas et surtout des choses qui existaient en moi, mais que j'ignorais. Puis j'ai rencontré Ariane Mnouchkine pour qui j'ai travaillé pendant 14 semaines. Je me sentais prêt pour essayer d'entrer au Théâtre du Soleil, mais mon amie attendait nos jumeaux, donc il fallait choisir. Je travaille maintenant depuis 8 années avec Grégoire Cuvier. Je m'éclate car nous cherchons, nous essayons, nous nous questionnons sur le théâtre, le jeu masqué et l'improvisation. J'adore !
R.S : Qu'est-ce qui vous donne cette envie de jouer ?
J.M.C : Moi qui ne suis pas un "cultureux", j'adore être un passeur de textes, un instrument par lequel mon corps, ma voix et tout ce qui m'appartient se met au service d'un texte, d'un auteur. Il faut aussi que cela m'apporte un enrichissement et une réflexion personnelle.
R.S : Comment avez-vous débuté dans le doublage ?
J.M.C : La curiosité, l'envie et l'arrivée de nos jumeaux m'y ont poussé.Vivant principalement du théâtre, il fallait que j'accorde mon instrument pour me perfectionner dans un nouveau domaine. Le doublage est à mes yeux une corde importante à ajouter à l'arc du comédien.
R.S : Qu'est-ce qui vous a attiré dans cet exercice ?
J.M.C : C'est le fait de découvrir d'autres systèmes de jeux qui sont enfouis en moi. Je dois aller chercher loin par moment, pour être au diapason avec le comédien que je double. C'est une forme de karaoké de l'image.
R.S : Pour doubler au mieux un comédien étranger, qu'est-ce qui vous semble le plus important ?
J.M.C : Il faut ouvrir ses " radars ", c'est-à-dire mettre ses sens en action pour être au service du comédien que l'on double et se rendre disponible. Bien entendu, il faut aussi se concentrer, mais sans être dans sa bulle, car il faut rester en contact avec nos partenaires de jeu.
R.S : En quoi le directeur artistique vous aide-t-il ?
J.M.C : Pour moi c'est le troisième oeil ! Il est indispensable pour la réussite du travail à accomplir. Il m'aiguille lorsque mon écoute est déficiente, lorsque je ne suis pas à la hauteur requise. L'échange avec lui est primordial.
R.S : J'imagine qu'il est important, lorsqu'on est comédien, d'exercer son métier de différentes façons ?
J.M.C : Evidemment ! Je pense que la base de notre métier s'apprend avec le théâtre. C'est là, je pense, que les fondations principales s'apprennent. Après il faut s'accorder différemment, doser avec précision pour faire du doublage, du cinéma, de la TV ou de la pub.
R.S : Quelles sont vos passions en dehors de votre métier ?
J.M.C : Ma femme et mes enfants. Ces rôles de mari et de père sont, à mes yeux, ceux qu'il faut "louper" le moins.
R.S : Merci beaucoup Jean-Marc.
J.M.C : Merci beaucoup Reynald et bravo pour votre travail !
Interview de février 2013