William Coryn
Doublage
Documentaire
Jackie Chan's Green Heroes
Documentaire
My life : by Jackie Chan
Publicité
Fondation Autisme
télévision, VOD & DVD
2011
Sous l'emprise du pasteur : l'histoire vraie de Mary Winkler (Matthew Winkler)
Documentaire
Stargate SG-1 : behind the mythologie
Voix
Bonus DVD
Les origines des personnages de Kung Fu Panda
Habillage
Cartoon Network - Youri Networski (voix de Youri)
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Kéno
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Timotei
Publicité
Volvo
Adaptation
Conte des toilettes pour dames
Court-métrage d'Animation
Stage Fright
Court-métrage d'Animation
My life : by Jackie Chan
Documentaire
Direction artistique
Sous-titrage
Cinéma
1978 "La clé sur la porte" réalisé par Yves Boisset, dans le rôle de Mike
1975 "Docteur Françoise Gailland" réalisé par Jean-Louis Bertucelli, dans le rôle de Julien Gailland
1969 "Aux frais de la princesse" réalisé par Roland Quignon, dans le rôle de Zizi
1965 "Yoyo" réalisé par Pierre Étaix
1975 "Docteur Françoise Gailland" réalisé par Jean-Louis Bertucelli, dans le rôle de Julien Gailland
1969 "Aux frais de la princesse" réalisé par Roland Quignon, dans le rôle de Zizi
1965 "Yoyo" réalisé par Pierre Étaix
Mise en scène
1993 "Danger Magazine", Court-métrage
1982 "Les Histoires de Cloud", pièce Radiophonique FM 95.5
1982 "Musique de Piaule", émission de radio hebdomadaire FM 95.5 primée au 1er festival de la FM la même année
1983 "Les carreaux cassés", mise en scène l'auteur, Création au Théâtre Edgar III, Théâtre de l'Arrosoir en 1985 puis reprise en 1991 et 1992 dans une mise en scène d'Emmanuel Rey
1982 "Les Histoires de Cloud", pièce Radiophonique FM 95.5
1982 "Musique de Piaule", émission de radio hebdomadaire FM 95.5 primée au 1er festival de la FM la même année
1983 "Les carreaux cassés", mise en scène l'auteur, Création au Théâtre Edgar III, Théâtre de l'Arrosoir en 1985 puis reprise en 1991 et 1992 dans une mise en scène d'Emmanuel Rey
Musique
Guitariste du trio Gérard Dahan (100 concerts de 1983 à 1984)
Sports
1er dan de judo
4ème dan d'aïkido
4ème dan d'aïkido
Télévision
1984 "Noël au Congo" réalisé par Patrick Gandery-Réty, dans le rôle de Noël
1981 "Orphée" réalisé par Claude Santelli
1980 "Le rêve" réalisé par Pierre Badel, dans le rôle de Julien
1979 "Le roi qui vient du sud" réalisé par Marcel Camus, dans le rôle du duc d'Alençon
1978 "Les Eygletière" réalisé par René Lucot, dans le rôle de Gilbert Cruvelliez
1978 "La ronde de nuit" réalisé par Gabriel Axel, dans le rôle de Samuel Van Hoogstaaten
1978 "Voltaire" réalisé par Marcel Camus, dans le rôle de Pierre Calas
1977 "Au plaisir de Dieu" réalisé par Robert Mazoyer, dans le rôle de Jean jeune
1976 "Adios" réalisé par André Michel, dans le rôle de James de Moskowski
1975 "Les charmes de l'été" réalisé par Robert Mazoyer, dans le rôle de Jean-Philippe Mesmin
1974 "Messieurs les jurés: L'affaire Perissac" dans le rôle de Bruno Wazel
1974 "Le pain noir" réalisé par Serge Moati, dans le rôle de Martial
1972 "Jack" réalisé par Serge Hanin, dans le rôle de Jack adolescent
1970 "Tête d'horloge" réalisé par Jean-Paul Sassy
"La Grève" réalisé par Pierre Lary
"Le coeur en écharpe" réalisé par Philippe Viard
"L'affaire Périssac réalisé par André Michel
"Les Mystères de New York" réalisé par Jaime Jaimes
"Henriette à Disparu" réalisé par Youri
"Les Mésaventures de Jean-Paul Choppart" réalisé par Yves-André Hubert
"Le Petit Menteur" réalisé par Olivier Ricard
"La Fronde" réalisé par Claude de Givray
1981 "Orphée" réalisé par Claude Santelli
1980 "Le rêve" réalisé par Pierre Badel, dans le rôle de Julien
1979 "Le roi qui vient du sud" réalisé par Marcel Camus, dans le rôle du duc d'Alençon
1978 "Les Eygletière" réalisé par René Lucot, dans le rôle de Gilbert Cruvelliez
1978 "La ronde de nuit" réalisé par Gabriel Axel, dans le rôle de Samuel Van Hoogstaaten
1978 "Voltaire" réalisé par Marcel Camus, dans le rôle de Pierre Calas
1977 "Au plaisir de Dieu" réalisé par Robert Mazoyer, dans le rôle de Jean jeune
1976 "Adios" réalisé par André Michel, dans le rôle de James de Moskowski
1975 "Les charmes de l'été" réalisé par Robert Mazoyer, dans le rôle de Jean-Philippe Mesmin
1974 "Messieurs les jurés: L'affaire Perissac" dans le rôle de Bruno Wazel
1974 "Le pain noir" réalisé par Serge Moati, dans le rôle de Martial
1972 "Jack" réalisé par Serge Hanin, dans le rôle de Jack adolescent
1970 "Tête d'horloge" réalisé par Jean-Paul Sassy
"La Grève" réalisé par Pierre Lary
"Le coeur en écharpe" réalisé par Philippe Viard
"L'affaire Périssac réalisé par André Michel
"Les Mystères de New York" réalisé par Jaime Jaimes
"Henriette à Disparu" réalisé par Youri
"Les Mésaventures de Jean-Paul Choppart" réalisé par Yves-André Hubert
"Le Petit Menteur" réalisé par Olivier Ricard
"La Fronde" réalisé par Claude de Givray
Théâtre
"En attendant Godot" de Samuel Beckett et mise en scène de Jean- Paul Roussillon
"Il faut passer par les nuages" de François Billetdoux et mise en scène de Jean-Louis Barrault
"Notre petite ville" de Thornton Wilder et mise en scène de Raymond Rouleau
"La Mante Polaire" de Serge Rezvani et mise en scène de Jorge Lavelli
"Mathias Premier" de Nicole André et Bernard Bétrémieux et mise en scène de les auteurs
"La Mégère apprivoisée" de William Shakespeare et mise en scène de Mario Franceschi
"La vérité sur Maman" de Gilles Laurent et mise en scène de Jacques Deschamps
"Il faut passer par les nuages" de François Billetdoux et mise en scène de Jean-Louis Barrault
"Notre petite ville" de Thornton Wilder et mise en scène de Raymond Rouleau
"La Mante Polaire" de Serge Rezvani et mise en scène de Jorge Lavelli
"Mathias Premier" de Nicole André et Bernard Bétrémieux et mise en scène de les auteurs
"La Mégère apprivoisée" de William Shakespeare et mise en scène de Mario Franceschi
"La vérité sur Maman" de Gilles Laurent et mise en scène de Jacques Deschamps
Interview
R.S : Bonjour William.
W.C : Bonjour Reynald.
R.S : Tes débuts de comédien se sont faits alors que tu étais très jeune, peux-tu en parler ?
W.C : Mon papa était le clown Mimile et il était très ami avec Pierre Etaix, un cinéaste-magicien-clown-dessinateur de génie. Pour son film "Yoyo", Pierre Etaix est venu tourner au cirque Pinder où mon père travaillait. Et j'ai eu l'occasion de tourner mes deux premières scènes au cinéma. Un peu plus tard, j'entrais à l'Ecole des Enfants du Spectacle et je faisais mes premiers pas au théâtre dans "En attendant Godot" puis à la télé dans "La fronde" de Claude de Givray.
R.S : Le fait d'être issu d'une famille d'artiste a-t-il contribué à ce que tu le deviennes également ?
W.C : Oui, une grand-mère pianiste, une maman danseuse, un frère cascadeur en plus d'un père clown, ça ne pardonne pas. D'ailleurs, j'ai bien peur que ma fille ne devienne bientôt dessinatrice de BD et mon fils, vers 9 ans, m'a annoncé sa volonté de devenir "sénateur". J'ai cru comprendre que, pour lui ça voulait dire "scénariste".
R.S : Le doublage est également entré dans ta vie pendant l'enfance, te souviens-tu de tes premiers pas ?
W.C : C'était avec Jacques Michaud et Claire Guibert (la voix de Marilyn), vers 10 ans. J'avais un défaut de prononciation, je n'arrivais pas à prononcer correctement les "ch" et les "j"et je devais dire : "Bonjour, je m'appelle Paul Schtanichiewsky et je cherche mon père". Comme tu le vois, ça m'a traumatisé. Plus tard lors du tournage de "Jack" j'ai eu à dire : "M. Hirsh a vu mon chien". Là, j'ai craqué, et tout seul dans mon coin je me suis débarrassé de mon défaut.
R.S : Le fait de commencer très jeune t'a permis de voir l'évolution de la profession. Qu'en est-il ?
W.C : Techniquement, quand j'étais petit, on enregistrait de vraies boucles : le film était découpé en morceaux, collés en boucles, et chacun de ces morceaux étaient chargés avec la rythmo, la magnétique VO, la magnétique vierge et parfois la VI ( bande où se trouvent les bruitages ) correspondantes. Donc beaucoup de manips pour les recorders (ce sont les techniciens qui s'occupent de charger les éléments en cabine de projection). L'arrivée de la vidéo a permis d'accélérer le rythme de travail. Puis, plus récemment, il y a eu le numérique pour le son, et il s'impose petit à petit pour l'image.
R.S : Anthony Edwards, le Dr. Mark Greene de la série "Urgences", est un personnage marquant dans ta carrière, en gardes-tu un bon souvenir ?
W.C : Excellent. Mais avec une note bien triste à la fin. Il vaut mieux mourir dans "Stargate", là au moins, on peut ressusciter. L'équipe d'"Urgences" était très cool et j'avoue qu'avoir dû quitter cette aventure m'a un peu déprimé.
R.S : Tu doubles très souvent Jackie Chan, et pourtant il arrive que ce ne soit pas toi alors qu'on sait qu'un changement de "voix" est souvent mal vécu par le public ! Qu'en penses-tu ?
W.C : On n'est pas possesseur des comédiens qu'on double, donc on ne peut pas faire grand chose si tel ou tel distributeur ou directeur artistique préfère une autre voix. C'est vrai que c'est un peu dommage et que le changement des voix "attitrées" érigé en principe, est au fond un manque de respect envers le public. En ce qui concerne Jackie Chan, il a tourné tellement de films et eu tellement de voix... Cela dit j'espère continuer à le doubler le plus souvent possible.
R.S : Tu es également adaptateur et quand tu travailles sur des séries comme "South Park" cela va plus loin. Tout en gardant l'esprit de la version originale, il t'arrive de créer certaines expressions.
W.C : "South Park", c'est un bonheur. J'ai écrit les 9 saisons (plus de 130 épisodes adaptations et sous-titres), le long métrage, un numéro spécial sur le personnage de Chef et les bandes annonces de la nuit South Park pour Canal+. Je suis South Parkologue, je parle le South Parkien couramment et je me prosterne chaque matin devant deux statues de 7 mètres de Matt Stone et Trey Parker que j'ai construites dans mon jardin. Et c'est vrai, j'ai créé quelques expressions, les versions originales étant soit intraduisibles, soit jugées trop "soft" par Canal. Il ne faut pas oublier que la série est arrivée bien après les Nuls, donc il fallait être percutant. C'est pourquoi "Kick ass", qui se traduit gentiment par "C'est génial" dans n'importe quelle série, est devenu "Ça troue le cul!".
R.S : Ta passion pour ton métier et le respect que tu as pour les œuvres t'a même amené à vouloir apprendre le japonais.
W.C : Non, c'est encore un projet. Mais c'est vrai que j'ai des bases et que je compte m'y mettre sérieusement cette année. L'adaptation de séries telles que "GTO" ou du DVD en 3 parties de "Ken, le Survivant" que je viens de faire, m'en ont vraiment donné l'envie.
R.S : Tu pratiques aussi les arts martiaux et tu m'as confié que ton professeur te parlait en japonais pour te faire progresser ! ;-)
W.C : Oui, ça c'est vrai, mon prof d'aïkido qui a vécu sept ans au japon n'arrête pas de me dire plein de trucs que je ne comprends pas toujours pendant les cours. Mais ce ne sont ni des gros mots ni des insultes : ça je comprends...
R.S : Parmi tes hobbies je sais qu'il y a la musique mais as-tu le temps pour d'autres passions ?
W.C : Oui, en dehors de quelques accords de guitare, j'ai le temps de faire en moyenne 6h d'aïkido par semaine et je prépare mon 2e dan. C'est super car mes enfants, Laetitia et Jonathan, le pratiquent aussi. Ils sont respectivement ceinture bleue et ceinture orange. J'ai essayé de convaincre mon épouse Nathalie de commencer, mais ça ne lui dit rien. Pour les vacances ma fille et moi avons fait un stage de 10 jours au Vigan avec Mitsugi Saotomé, un homme exceptionnel.
R.S : Merci beaucoup William.
W.C : Dô itashimashite, Reynald-san ! Dema wata
Interview d'avril 2006
W.C : Bonjour Reynald.
R.S : Tes débuts de comédien se sont faits alors que tu étais très jeune, peux-tu en parler ?
W.C : Mon papa était le clown Mimile et il était très ami avec Pierre Etaix, un cinéaste-magicien-clown-dessinateur de génie. Pour son film "Yoyo", Pierre Etaix est venu tourner au cirque Pinder où mon père travaillait. Et j'ai eu l'occasion de tourner mes deux premières scènes au cinéma. Un peu plus tard, j'entrais à l'Ecole des Enfants du Spectacle et je faisais mes premiers pas au théâtre dans "En attendant Godot" puis à la télé dans "La fronde" de Claude de Givray.
R.S : Le fait d'être issu d'une famille d'artiste a-t-il contribué à ce que tu le deviennes également ?
W.C : Oui, une grand-mère pianiste, une maman danseuse, un frère cascadeur en plus d'un père clown, ça ne pardonne pas. D'ailleurs, j'ai bien peur que ma fille ne devienne bientôt dessinatrice de BD et mon fils, vers 9 ans, m'a annoncé sa volonté de devenir "sénateur". J'ai cru comprendre que, pour lui ça voulait dire "scénariste".
R.S : Le doublage est également entré dans ta vie pendant l'enfance, te souviens-tu de tes premiers pas ?
W.C : C'était avec Jacques Michaud et Claire Guibert (la voix de Marilyn), vers 10 ans. J'avais un défaut de prononciation, je n'arrivais pas à prononcer correctement les "ch" et les "j"et je devais dire : "Bonjour, je m'appelle Paul Schtanichiewsky et je cherche mon père". Comme tu le vois, ça m'a traumatisé. Plus tard lors du tournage de "Jack" j'ai eu à dire : "M. Hirsh a vu mon chien". Là, j'ai craqué, et tout seul dans mon coin je me suis débarrassé de mon défaut.
R.S : Le fait de commencer très jeune t'a permis de voir l'évolution de la profession. Qu'en est-il ?
W.C : Techniquement, quand j'étais petit, on enregistrait de vraies boucles : le film était découpé en morceaux, collés en boucles, et chacun de ces morceaux étaient chargés avec la rythmo, la magnétique VO, la magnétique vierge et parfois la VI ( bande où se trouvent les bruitages ) correspondantes. Donc beaucoup de manips pour les recorders (ce sont les techniciens qui s'occupent de charger les éléments en cabine de projection). L'arrivée de la vidéo a permis d'accélérer le rythme de travail. Puis, plus récemment, il y a eu le numérique pour le son, et il s'impose petit à petit pour l'image.
R.S : Anthony Edwards, le Dr. Mark Greene de la série "Urgences", est un personnage marquant dans ta carrière, en gardes-tu un bon souvenir ?
W.C : Excellent. Mais avec une note bien triste à la fin. Il vaut mieux mourir dans "Stargate", là au moins, on peut ressusciter. L'équipe d'"Urgences" était très cool et j'avoue qu'avoir dû quitter cette aventure m'a un peu déprimé.
R.S : Tu doubles très souvent Jackie Chan, et pourtant il arrive que ce ne soit pas toi alors qu'on sait qu'un changement de "voix" est souvent mal vécu par le public ! Qu'en penses-tu ?
W.C : On n'est pas possesseur des comédiens qu'on double, donc on ne peut pas faire grand chose si tel ou tel distributeur ou directeur artistique préfère une autre voix. C'est vrai que c'est un peu dommage et que le changement des voix "attitrées" érigé en principe, est au fond un manque de respect envers le public. En ce qui concerne Jackie Chan, il a tourné tellement de films et eu tellement de voix... Cela dit j'espère continuer à le doubler le plus souvent possible.
R.S : Tu es également adaptateur et quand tu travailles sur des séries comme "South Park" cela va plus loin. Tout en gardant l'esprit de la version originale, il t'arrive de créer certaines expressions.
W.C : "South Park", c'est un bonheur. J'ai écrit les 9 saisons (plus de 130 épisodes adaptations et sous-titres), le long métrage, un numéro spécial sur le personnage de Chef et les bandes annonces de la nuit South Park pour Canal+. Je suis South Parkologue, je parle le South Parkien couramment et je me prosterne chaque matin devant deux statues de 7 mètres de Matt Stone et Trey Parker que j'ai construites dans mon jardin. Et c'est vrai, j'ai créé quelques expressions, les versions originales étant soit intraduisibles, soit jugées trop "soft" par Canal. Il ne faut pas oublier que la série est arrivée bien après les Nuls, donc il fallait être percutant. C'est pourquoi "Kick ass", qui se traduit gentiment par "C'est génial" dans n'importe quelle série, est devenu "Ça troue le cul!".
R.S : Ta passion pour ton métier et le respect que tu as pour les œuvres t'a même amené à vouloir apprendre le japonais.
W.C : Non, c'est encore un projet. Mais c'est vrai que j'ai des bases et que je compte m'y mettre sérieusement cette année. L'adaptation de séries telles que "GTO" ou du DVD en 3 parties de "Ken, le Survivant" que je viens de faire, m'en ont vraiment donné l'envie.
R.S : Tu pratiques aussi les arts martiaux et tu m'as confié que ton professeur te parlait en japonais pour te faire progresser ! ;-)
W.C : Oui, ça c'est vrai, mon prof d'aïkido qui a vécu sept ans au japon n'arrête pas de me dire plein de trucs que je ne comprends pas toujours pendant les cours. Mais ce ne sont ni des gros mots ni des insultes : ça je comprends...
R.S : Parmi tes hobbies je sais qu'il y a la musique mais as-tu le temps pour d'autres passions ?
W.C : Oui, en dehors de quelques accords de guitare, j'ai le temps de faire en moyenne 6h d'aïkido par semaine et je prépare mon 2e dan. C'est super car mes enfants, Laetitia et Jonathan, le pratiquent aussi. Ils sont respectivement ceinture bleue et ceinture orange. J'ai essayé de convaincre mon épouse Nathalie de commencer, mais ça ne lui dit rien. Pour les vacances ma fille et moi avons fait un stage de 10 jours au Vigan avec Mitsugi Saotomé, un homme exceptionnel.
R.S : Merci beaucoup William.
W.C : Dô itashimashite, Reynald-san ! Dema wata
Interview d'avril 2006