Ariane Devičgue
Doublage
Courts-métrages
"Figure libre" réalisé par Jean Pierre Améris
Télévision
"La Femme de sa vie" réalisé par Michel Favart
"Le Cri de la chouette" réalisé par Yves-André Hubert
"Le Cri de la chouette" réalisé par Yves-André Hubert
Théâtre
Rôle permanent dans un feuilleton théâtral de Jean Louis Jacopin et mise en scène de l'auteur
"Les filles de la voix" mise en scène de Françoise Seigner
"La ménagerie de verre", dans le rôle de Laura
"Hamlet" mise en scène de Philippe Faure, dans le rôle d'Ophélie
"Les filles de la voix" mise en scène de Françoise Seigner
"La ménagerie de verre", dans le rôle de Laura
"Hamlet" mise en scène de Philippe Faure, dans le rôle d'Ophélie
Interview
R.S : Bonjour Ariane.
A.D : Bonjour Reynald.
R.S : Comment avez-vous compris que vous seriez comédienne ?
A.D : Ma mère était catastrophée de ne me voir lire que des Lucky Luke, elle m'a inscrite dans un cours d'art dramatique quand j'avais 12 ans et là j'ai mordu à l'hameçon.
R.S : Comment avez-vous commencé le doublage ?
A.D : Je faisais beaucoup de théâtre mais malheureusement dans des structures pas très enrichissantes (au sens propre du terme). Je me suis tournée vers cette activité. J'ai été bluffée deux fois : d'abord j'ai découvert que le doublage est passionnant, il y a une vraie implication artistique, et j'ai aussi découvert malheureusement que, là aussi, il y a beaucoup d'appelés et peu d'élus et que dans ce métier rien n'est jamais acquis.
R.S : Qu'avez-vous ressenti lors de vos premières prestations ?
A.D : Un trac faramineux : mes jambes tremblaient et mon cœur battait. En même temps j'ai ressenti une grande satisfaction de voir la magie s'opérer : prêter ma voix à quelqu'un à l'écran, qui n'est pas moi, sans que cela soit choquant le moins du monde.
R.S : Pour entrer au mieux dans la peau d'un personnage, qu'est-ce qui est primordial ?
A.D : Une grande écoute de ce que le comédien VO fait. Son regard nous révèle beaucoup ses émotions. Et puis se laisser aller avec respect sans oublier un soupçon d'inventivité.
R.S : En doublage, il faut souvent être rapide. Est-ce difficile de se concentrer dans ces conditions ?
A.D : La rapidité quand le texte est bon ne pose pas de difficultés majeures. Mais lorsque le texte est trop littéraire ou tout simplement mal écrit, alors là l'exercice devient laborieux. Il faut tout de même avouer que la concentration est une condition essentielle à un bon travail.
R.S : S'il fallait trouver un facteur commun entre toutes les branches de la profession de comédien, lequel diriez-vous ?
A.D : La sincérité.
R.S : Quelles sont vos passions ?
A.D : Clin d'œil à Patricia : 1, 2, 3 SOLEIL.
R.S : Merci beaucoup Ariane.
A.D : Merci à toi Reynald, et bonne année.
Interview de janvier 2009
A.D : Bonjour Reynald.
R.S : Comment avez-vous compris que vous seriez comédienne ?
A.D : Ma mère était catastrophée de ne me voir lire que des Lucky Luke, elle m'a inscrite dans un cours d'art dramatique quand j'avais 12 ans et là j'ai mordu à l'hameçon.
R.S : Comment avez-vous commencé le doublage ?
A.D : Je faisais beaucoup de théâtre mais malheureusement dans des structures pas très enrichissantes (au sens propre du terme). Je me suis tournée vers cette activité. J'ai été bluffée deux fois : d'abord j'ai découvert que le doublage est passionnant, il y a une vraie implication artistique, et j'ai aussi découvert malheureusement que, là aussi, il y a beaucoup d'appelés et peu d'élus et que dans ce métier rien n'est jamais acquis.
R.S : Qu'avez-vous ressenti lors de vos premières prestations ?
A.D : Un trac faramineux : mes jambes tremblaient et mon cœur battait. En même temps j'ai ressenti une grande satisfaction de voir la magie s'opérer : prêter ma voix à quelqu'un à l'écran, qui n'est pas moi, sans que cela soit choquant le moins du monde.
R.S : Pour entrer au mieux dans la peau d'un personnage, qu'est-ce qui est primordial ?
A.D : Une grande écoute de ce que le comédien VO fait. Son regard nous révèle beaucoup ses émotions. Et puis se laisser aller avec respect sans oublier un soupçon d'inventivité.
R.S : En doublage, il faut souvent être rapide. Est-ce difficile de se concentrer dans ces conditions ?
A.D : La rapidité quand le texte est bon ne pose pas de difficultés majeures. Mais lorsque le texte est trop littéraire ou tout simplement mal écrit, alors là l'exercice devient laborieux. Il faut tout de même avouer que la concentration est une condition essentielle à un bon travail.
R.S : S'il fallait trouver un facteur commun entre toutes les branches de la profession de comédien, lequel diriez-vous ?
A.D : La sincérité.
R.S : Quelles sont vos passions ?
A.D : Clin d'œil à Patricia : 1, 2, 3 SOLEIL.
R.S : Merci beaucoup Ariane.
A.D : Merci à toi Reynald, et bonne année.
Interview de janvier 2009