Flora Kaprielian
Doublage
télévision, VOD & DVD
2017
télévision, VOD & DVD
2018
Comment trouver l'Amour à la Saint-Valentin ? (Michelle Blair - Version Netflix)
Voix
Voice-over
Animal storm squad
Voice-over
Cauchemars et canulars (Theodora)
Voice-over
Cold Justice
Voice-over
Dance moms
Voice-over
Dead again
Voice-over
Dog Whisperer
Voice-over
I'm Caith
Voice-over
Love it or list it
Voice-over
Michael Jackson : Leaving Neverland
Voice-over
Notre plančte
Voice-over
Restaurant Stakeout
Voice-over
Say yes to the dress
Voice-over
Sha's of sunset (Lilly)
Voice-over
Storage Wars (Brandi)
Voice-over
The Real Housewives of Atlanta
Voice-over
Total rénovation (Mina)
Voice-over
Yukon vet, Clean house
Voice-over
Zoo days
Formation
Formation Théâtrale :
2008/2009 Stages dirigés par Roch-Antoine Albaladejo. Représentations publiques : Nouvelles de Tchekov, Le retour au désert (Koltes), La nuit des rois (Shakespeare)
2004/2007 Ateliers du Sudden (Ecole dirigée par Raymond Acquaviva)
2000/2004 C.N.R. de Cergy-Pontoise (Diplôme mention Très Bien)
Formation Complémentaire :
Maîtrise LEA (Langues Etrangères Appliquées) mention commerce et affaires
Cambridge First Certificate
Anglais-Espagnol : Bilingue
Allemand-Arménien : Notions
2008/2009 Stages dirigés par Roch-Antoine Albaladejo. Représentations publiques : Nouvelles de Tchekov, Le retour au désert (Koltes), La nuit des rois (Shakespeare)
2004/2007 Ateliers du Sudden (Ecole dirigée par Raymond Acquaviva)
2000/2004 C.N.R. de Cergy-Pontoise (Diplôme mention Très Bien)
Formation Complémentaire :
Maîtrise LEA (Langues Etrangères Appliquées) mention commerce et affaires
Cambridge First Certificate
Anglais-Espagnol : Bilingue
Allemand-Arménien : Notions
Publicités
2010 Séance de photos pour Randstad
Théâtre
2015 "Sensitives" de Naéma Boudoumi - mise en scène de l'auteur. Festival Mises en Capsules, Ciné 13
2008 "La maison de Bernarda Alba" de F. Garcia Lorca - Mise en scène de R-A Albaladejo, dans le rôle de la Poncia. Lucernaire (Paris)
2008 "Barricades" d'Alain Guyard - Mise en scène de François Bourcier. Sudden théâtre (Paris)
2008 "Britannicus" de Racine - Mise en scène de Raymond Acquaviva, dans le rôle d'Albine. Sudden Théâtre
2006 "La bonne mère" de C. Goldoni - Mise en scène d'Hubert Jappelle, dans le rôle de Margarita. Théâtre de l’Usine (Eragny)
2005 "Beyond Therapy" de Christopher Durang - mise en scène de Bela Grushka, dans le rôle de Prudence. Sudden Théâtre (Pièce en anglais)
2008 "La maison de Bernarda Alba" de F. Garcia Lorca - Mise en scène de R-A Albaladejo, dans le rôle de la Poncia. Lucernaire (Paris)
2008 "Barricades" d'Alain Guyard - Mise en scène de François Bourcier. Sudden théâtre (Paris)
2008 "Britannicus" de Racine - Mise en scène de Raymond Acquaviva, dans le rôle d'Albine. Sudden Théâtre
2006 "La bonne mère" de C. Goldoni - Mise en scène d'Hubert Jappelle, dans le rôle de Margarita. Théâtre de l’Usine (Eragny)
2005 "Beyond Therapy" de Christopher Durang - mise en scène de Bela Grushka, dans le rôle de Prudence. Sudden Théâtre (Pièce en anglais)
Interview
R.S : Bonjour Flora.
F.K : Bonjour Reynald.
R.S : Comment avez-vous découvert votre passion pour la comédie ?
F.K : Je pense que cette passion a toujours été en moi. Depuis toute petite j'ai toujours été attirée par la comédie. C'est drôle car je viens d'une famille de commerçants... On se demande bien d'où ça peut venir... ! Trêve de plaisanteries. Etant plus jeune je gardais cette envie de faire du théâtre pour moi. Je faisais du tennis, de la danse... Et puis à l'âge de 17 ans j'ai tout arrêté et je me suis inscrite dans un conservatoire d'art dramatique. J'y ai découvert une vraie source d'épanouissement et je n'ai jamais arrêté.
R.S : Les premiers pas sur une scène sont certainement des moments inoubliables ?
F.K : Effectivement, être sur scène, jouer la comédie, incarner un rôle, donner du plaisir aux spectateurs, cela procure une sensation extraordinaire. Sur scène on oublie tout (sauf son texte...), les problèmes du quotidien disparaissent et l'espace d'un moment on fait rêver les gens. Sans parler de la complicité avec les autres comédiens, l'excitation des coulisses, la sensation qu'on a lorsqu'on sort de scène (qu'elle soit bonne ou mauvaise...). Mes premiers pas sur scène, je ne les oublierai jamais.
R.S : La formation est-elle primordiale ?
F.K : Absolument. Apprendre les bases c'est essentiel. On reconnaîtra toujours une danseuse qui a fait du classique et une autre qui n'en a pas fait. Pour moi, le théâtre c'est pareil. Je pense qu'il est très important pour un comédien de se former, de découvrir de grands auteurs, de travailler ses textes, sa technique, sa diction... Après, il y a bien évidemment une part d'inné en chaque individu et la formation seule ne suffit pas, mais néanmoins je pense qu'elle est primordiale.
R.S : Comment avez-vous commencé le doublage ?
F.K : Je suis entrée pour la première fois sur un plateau de doublage il y a quelques années ; j'accompagnais une de mes amies comédienne qui m'avait proposé d'assister à une séance de travail. J'ai tout de suite trouvé ça très intéressant mais à cette époque, je ne savais pas trop comment m'y prendre pour intégrer le milieu du doublage et je n'y suis pas retournée. Quelques temps plus tard, l'un de mes amis ingénieur du son m'a proposé d'assister à une séance de doublage de jeux vidéo. J'y ai fait la rencontre d'un comédien, également directeur de plateau, qui m'a proposé de venir assister, ce que j'ai fait. Je me suis mise à assister régulièrement sur des plateaux de doublage, ce qui au fil du temps m'a permis non seulement d'apprendre énormément mais également de faire des rencontres formidables. Après trois mois d'assiduité, de persévérance et de motivation, j'ai décroché mon premier cachet. C'est comme ça que tout a commencé.
R.S : Que ressentez-vous lorsque vous entendez votre voix sur une autre personne ?
F.K : Je suis toujours surprise, souvent critique vis-à-vis de moi-même, mais en règle générale cela me donne toujours le sourire.
R.S : Quelle est pour vous la plus grande satisfaction dans le doublage ?
F.K : Le doublage combine tout ce que j'aime : mon goût prononcé pour les langues étrangères, ma passion pour la comédie, une certaine rigueur à adopter si l'on veut acquérir une bonne technique et également une part de spontanéité nécessaire à l'interprétation d'un rôle. Ma plus grande satisfaction, c'est de combiner tous ces éléments pour me mettre au service d'un personnage, de donner le meilleur de moi-même pour interpréter un rôle, et surtout de m'amuser à le faire.
R.S : Qu'évoque pour vous le mot rôle ?
F.K : Interpréter un rôle, c'est se mettre au service d'un auteur et d'un personnage pour raconter une histoire. Donner vie à un personnage fictif (ou redonner vie à un personnage réel). C'est devenir quelqu'un d'autre tout en donnant une part de soi-même. C'est un mot qui me plaît.
R.S : Quels sont vos hobbies ?
F.K : J'adore aller au théâtre. J'aime le cinéma, la lecture, les voyages et les langues étrangères. J'aime tout ce qui touche à la création ; en l'occurrence je crée des bijoux. Sans oublier le sport ; je suis loin d'être une grande sportive mais je fais régulièrement de l'exercice en salle.
R.S : Merci beaucoup Flora.
F.K : Merci à vous Reynald.
Interview de septembre 2011
F.K : Bonjour Reynald.
R.S : Comment avez-vous découvert votre passion pour la comédie ?
F.K : Je pense que cette passion a toujours été en moi. Depuis toute petite j'ai toujours été attirée par la comédie. C'est drôle car je viens d'une famille de commerçants... On se demande bien d'où ça peut venir... ! Trêve de plaisanteries. Etant plus jeune je gardais cette envie de faire du théâtre pour moi. Je faisais du tennis, de la danse... Et puis à l'âge de 17 ans j'ai tout arrêté et je me suis inscrite dans un conservatoire d'art dramatique. J'y ai découvert une vraie source d'épanouissement et je n'ai jamais arrêté.
R.S : Les premiers pas sur une scène sont certainement des moments inoubliables ?
F.K : Effectivement, être sur scène, jouer la comédie, incarner un rôle, donner du plaisir aux spectateurs, cela procure une sensation extraordinaire. Sur scène on oublie tout (sauf son texte...), les problèmes du quotidien disparaissent et l'espace d'un moment on fait rêver les gens. Sans parler de la complicité avec les autres comédiens, l'excitation des coulisses, la sensation qu'on a lorsqu'on sort de scène (qu'elle soit bonne ou mauvaise...). Mes premiers pas sur scène, je ne les oublierai jamais.
R.S : La formation est-elle primordiale ?
F.K : Absolument. Apprendre les bases c'est essentiel. On reconnaîtra toujours une danseuse qui a fait du classique et une autre qui n'en a pas fait. Pour moi, le théâtre c'est pareil. Je pense qu'il est très important pour un comédien de se former, de découvrir de grands auteurs, de travailler ses textes, sa technique, sa diction... Après, il y a bien évidemment une part d'inné en chaque individu et la formation seule ne suffit pas, mais néanmoins je pense qu'elle est primordiale.
R.S : Comment avez-vous commencé le doublage ?
F.K : Je suis entrée pour la première fois sur un plateau de doublage il y a quelques années ; j'accompagnais une de mes amies comédienne qui m'avait proposé d'assister à une séance de travail. J'ai tout de suite trouvé ça très intéressant mais à cette époque, je ne savais pas trop comment m'y prendre pour intégrer le milieu du doublage et je n'y suis pas retournée. Quelques temps plus tard, l'un de mes amis ingénieur du son m'a proposé d'assister à une séance de doublage de jeux vidéo. J'y ai fait la rencontre d'un comédien, également directeur de plateau, qui m'a proposé de venir assister, ce que j'ai fait. Je me suis mise à assister régulièrement sur des plateaux de doublage, ce qui au fil du temps m'a permis non seulement d'apprendre énormément mais également de faire des rencontres formidables. Après trois mois d'assiduité, de persévérance et de motivation, j'ai décroché mon premier cachet. C'est comme ça que tout a commencé.
R.S : Que ressentez-vous lorsque vous entendez votre voix sur une autre personne ?
F.K : Je suis toujours surprise, souvent critique vis-à-vis de moi-même, mais en règle générale cela me donne toujours le sourire.
R.S : Quelle est pour vous la plus grande satisfaction dans le doublage ?
F.K : Le doublage combine tout ce que j'aime : mon goût prononcé pour les langues étrangères, ma passion pour la comédie, une certaine rigueur à adopter si l'on veut acquérir une bonne technique et également une part de spontanéité nécessaire à l'interprétation d'un rôle. Ma plus grande satisfaction, c'est de combiner tous ces éléments pour me mettre au service d'un personnage, de donner le meilleur de moi-même pour interpréter un rôle, et surtout de m'amuser à le faire.
R.S : Qu'évoque pour vous le mot rôle ?
F.K : Interpréter un rôle, c'est se mettre au service d'un auteur et d'un personnage pour raconter une histoire. Donner vie à un personnage fictif (ou redonner vie à un personnage réel). C'est devenir quelqu'un d'autre tout en donnant une part de soi-même. C'est un mot qui me plaît.
R.S : Quels sont vos hobbies ?
F.K : J'adore aller au théâtre. J'aime le cinéma, la lecture, les voyages et les langues étrangères. J'aime tout ce qui touche à la création ; en l'occurrence je crée des bijoux. Sans oublier le sport ; je suis loin d'être une grande sportive mais je fais régulièrement de l'exercice en salle.
R.S : Merci beaucoup Flora.
F.K : Merci à vous Reynald.
Interview de septembre 2011