Marc Saez
Genres :
Voix Adolescent garçon, Voix Jeune adulte homme, Voix Adulte homme, Voix Senior homme
Tonalité :
Aiguë, Medium, Grave
Langues parlées :
Anglais avec accent américain, Anglais avec accent britannique, Anglais avec accent non déterminé, Espagnol
Accents :
Allemand, Anglais, Arabe, Asiatique, Canadien, Créole, Espagnol, Europe centrale (polonais, tchèque, hongrois, etc.), Indien, Italien, Portugais, Russe
Doublage
télévision, VOD & DVD
2023
télévision, VOD & DVD
2016
Petits meurtres et chrysanthèmes : Les roses de la vengeance (Marco Salvare)
télévision, VOD & DVD
2016
Petits meurtres et chrysanthèmes : Mystère et chrysanthèmes (Marco Salvare)
Voix
Documentaire
Cuba à Vélo
Documentaire
Les éléphants & les crocodiles
Documentaire
Les Supernovae (Arte)
Parc d'attractions
Muppet's Vision 3D (Scooter)
Publicité
IBM
Adaptation
20 000 Lieux sous les mers (éditions - Votre jeunesse)
CD lasers et cassettes
Ali-Baba et les quarante voleurs (éditions - Votre jeunesse)
CD lasers et cassettes
Croc-Blanc (éditions - Votre jeunesse)
CD lasers et cassettes
La case de l'oncle Tom (éditions - Votre jeunesse)
CD lasers et cassettes
Le Bossu (éditions - Votre jeunesse)
CD lasers et cassettes
Le tour du monde en 80 jours (éditions - Votre jeunesse)
CD lasers et cassettes
Les Chevaliers de la table ronde (éditions - Votre jeunesse)
CD lasers et cassettes
Les Contes de Perrault - 2 volumes (éditions - Votre jeunesse)
CD lasers et cassettes
Les trois Mousquetaires (éditions - Votre jeunesse)
CD lasers et cassettes
Les voyages de Gulliver (éditions - Votre jeunesse)
CD lasers et cassettes
Michel Strogoff (éditions - Votre jeunesse)
CD lasers et cassettes
Robin des Bois (éditions - Votre jeunesse)
CD lasers et cassettes
Robinson Crusoé (éditions - Votre jeunesse)
CD lasers et cassettes
Un bon petit Diable (éditions - Votre jeunesse)
CD lasers et cassettes
Direction artistique
Adaptation
2012/2014 "A nu". Festival d'Avignon Off 2012, Vingtième Théâtre
Auteur
Auteur de plusieurs scénarii de courts & longs métrages
"Le rôle de ta vie" court métrage
"Suivez la flèche" court métrage
"Une histoire d'amour"
"Le rôle de ta vie" court métrage
"Suivez la flèche" court métrage
"Une histoire d'amour"
Cinéma
"Antilles sur Seine" réalisé par Pascal Légitimus
1998 "Les boys II" réalisé par Louis Saia, dans le rôle de Gérard
1993 "Le nombril du monde" réalisé par Ariel Zeitourn, dans le rôle de Roland Boccara
1992 "Le grand patron" réalisé par Alexandre Arcady, dans le rôle de Mike Spada
1998 "Les boys II" réalisé par Louis Saia, dans le rôle de Gérard
1993 "Le nombril du monde" réalisé par Ariel Zeitourn, dans le rôle de Roland Boccara
1992 "Le grand patron" réalisé par Alexandre Arcady, dans le rôle de Mike Spada
Courts métrages
"Opération talents Cannes 97" réalisé par Pascal Légitimus
Mise en scène
2012/2014 "A nu". Festival d'Avignon Off 2012, Vingtième Théâtre
Réalisation
"Le rôle de ta vie" court métrage
"Suivez la flèche" court métrage. Sélectionné au Cyprus International Film Festival et au Festival International de Ponthault Combault où il a reçu une récompense "Mention spéciale". Obtention de 2 awards à "The Indie Fest 2011" (Un Festival Americain qui a lieu en Californie), Award of Merit pour la réalisation, Award of Merit pour le Film
"Suivez la flèche" court métrage. Sélectionné au Cyprus International Film Festival et au Festival International de Ponthault Combault où il a reçu une récompense "Mention spéciale". Obtention de 2 awards à "The Indie Fest 2011" (Un Festival Americain qui a lieu en Californie), Award of Merit pour la réalisation, Award of Merit pour le Film
Télévision
"Borgia" saison 3 dans le rôle de Pierre d'Archambaud
"L'assassinat d'Henri IV" réalisé par Jacques Malaterre, dans le rôle du duc d'Epernon
"Léa Parker : Contrefaçon" réalisé par Paolo barzman, dans le rôle de Justin Heller
"L'amour interdit" réalisé par Jacques Malaterre
"Dossier disparus : Cédric" réalisé par Paolo Barzman
"Telle mère, telle fille" réalisé par Elisabeth Rappeneau, dans le rôle du Chef cuisinier
"Aventures Caraïbes" réalisé par Paolo Barzman, dans le rôle de Fernando
"Flairs ennemis" réalisé par Robin Davis
"Femme de passions" réalisé par Bob Swaim
"Parfum de meurtre (USA)" réalisé par Bob Swaim, dans le rôle d'un réceptionniste
"Un crime de guerre" réalisé par Michel Wyn
"La guerre des Rocks" réalisé par Philippe Carrese
"Joseph Conrad, le Radjah des mers" réalisé par Philippe CARRESE
"Le cerf volant" réalisé par Jean-Paul Roux
"Le gang des tractions" réalisé par Josée Dayan
"Rocca : Vous vous souvenez de moi ?" réalisé par Paul Planchon "Julie Lescaut ; Ruptures" réalisé par Josée Dayan
"La cavale" réalisé par Serge Meynard
"Plagiat & meurtre" réalisé par Bernard Queysanne
"L'assassinat d'Henri IV" réalisé par Jacques Malaterre, dans le rôle du duc d'Epernon
"Léa Parker : Contrefaçon" réalisé par Paolo barzman, dans le rôle de Justin Heller
"L'amour interdit" réalisé par Jacques Malaterre
"Dossier disparus : Cédric" réalisé par Paolo Barzman
"Telle mère, telle fille" réalisé par Elisabeth Rappeneau, dans le rôle du Chef cuisinier
"Aventures Caraïbes" réalisé par Paolo Barzman, dans le rôle de Fernando
"Flairs ennemis" réalisé par Robin Davis
"Femme de passions" réalisé par Bob Swaim
"Parfum de meurtre (USA)" réalisé par Bob Swaim, dans le rôle d'un réceptionniste
"Un crime de guerre" réalisé par Michel Wyn
"La guerre des Rocks" réalisé par Philippe Carrese
"Joseph Conrad, le Radjah des mers" réalisé par Philippe CARRESE
"Le cerf volant" réalisé par Jean-Paul Roux
"Le gang des tractions" réalisé par Josée Dayan
"Rocca : Vous vous souvenez de moi ?" réalisé par Paul Planchon "Julie Lescaut ; Ruptures" réalisé par Josée Dayan
"La cavale" réalisé par Serge Meynard
"Plagiat & meurtre" réalisé par Bernard Queysanne
Théâtre
"Amour, Gore et beauté" de Marc Saez et mise en scène de l'auteur. Comédie de Paris
"Perrault ça cartoon" de Stéphane Roux d'après Charles Perraul et mise en scène de Tristan Petitgirard. Théâtre Comedia
"Le jeu de l'amour et du hasard" mise en scène de Gabriel Cinque, dans le rôle d'Arlequin
"Un divertissement royal à Versailles" mise en scène d'Irène Lamberton, dans le rôle de Molière
"Dom Juan" mise en scène d'Irène Lamberton, dans le rôle de Piarrot
"Les fourberies de Scapin" mise en scène de Gabriel Cinque, dans le rôle de Scapin
"Les feux de la gloire" auteur, metteur en scène et comedien
"Petits Bonheurs parmi les moins tristes"
"Fleurs et affinités
"Perrault ça cartoon" de Stéphane Roux d'après Charles Perraul et mise en scène de Tristan Petitgirard. Théâtre Comedia
"Le jeu de l'amour et du hasard" mise en scène de Gabriel Cinque, dans le rôle d'Arlequin
"Un divertissement royal à Versailles" mise en scène d'Irène Lamberton, dans le rôle de Molière
"Dom Juan" mise en scène d'Irène Lamberton, dans le rôle de Piarrot
"Les fourberies de Scapin" mise en scène de Gabriel Cinque, dans le rôle de Scapin
"Les feux de la gloire" auteur, metteur en scène et comedien
"Petits Bonheurs parmi les moins tristes"
"Fleurs et affinités
Interview
R.S : Bonjour Marc, comment t'es venue la vocation de comédien ?
M.S : Je suis d'une nature plutôt enjouée, j'adore la communication... J'ai d'ailleurs commencé par faire de la radio à 15 ans puis, naturellement, je me suis dirigé vers la comédie. J'ai fait des essais au conservatoire de Marseille et j'ai été sélectionné. Puis j'ai tourné des téléfilms dans le sud, j'ai fait du théâtre et ensuite je suis monté à Paris !
R.S : Comment es-tu venu au doublage qui est un milieu très fermé ?
M.S : En fait, j'ai tourné dans le téléfilm "le Radjah des mers" avec François Leccia qui m'a proposé des adresses et je m'y suis présenté de sa part. J'ai beaucoup insisté et attendu pour pouvoir doubler quelque chose d'intéressant. On commence par des petits rôles, mais l'important dans ce métier c'est d'être présent pour pouvoir espérer le grand rôle ! Mais c'est vrai que l'entrée est de plus en plus difficile, il faut beaucoup de patience et bien maîtriser cette technique... En plus du talent, il faut énormément de relationnel. En tout cas pour moi le doublage est une branche du métier très importante. Il te permet d'exercer tes talents d'acteur dans des rôles qu'on ne t'a pas forcément offerts en tournage.
R.S : Te souviens-tu de ton premier doublage ?
M.S : Oui, mais c'était un "man" 1 ou 2 qui ne prononçait qu'une seule phrase du style "la voiture de monsieur est avancée" !
R.S : As-tu déjà rencontré des acteurs à qui tu as prêté ta voix ?
M.S : Non. En revanche j'ai croisé beaucoup de comédiens que je rêvais de rencontrer, comme Christopher Walken qui est un excellent souvenir ! Rencontrer Jennifer Beals que j'ai découverte adolescent dans Flashdance c'est vraiment délirant ! En même temps, la grande surprise, c'est de découvrir qu'ils sont super simples et on s'aperçoit que les plus grands ne se prennent pas la tête.
R.S : Sinon aimerais-tu un jour rencontrer un acteur que tu doubles régulièrement ?
M.S : Oui, j'aimerais beaucoup. Notamment Don Cheadle et Jeremy Pivens, des acteurs sur lesquels ma voix et mon énergie collent plutôt bien.
R.S : Tu te souviens de ton premier dessin animé ?
M.S : J'ai beaucoup fait de guests, mais le premier grand dessin animé c'est Dexter.
R.S : Quel est ton meilleur souvenir en doublage ?
M.S : Je dirais deux, car quelquefois on a des rencontres de personnages. Et c'est ce qui s'est passé notamment avec Don Cheadle, que j'ai doublé pour la première fois dans un téléfilm qui s'appelait "L'étoile du Bronx". Et j'ai tout de suite senti le déclic. Le second, c'est Michael DeLorenzo dans la série "New York Undercover". Je n'ai pas eu besoin de composer quelque chose, j'ai compris naturellement sa sensibilité, son rythme de jeu. Quand tu suis un comédien sur trois saisons comme c'était le cas pour moi avec cette série, sans t'identifier réellement tu es hyper attaché au personnage, ce qui donne une sensation très étrange !
R.S : Suivre un acteur étranger pendant toute sa carrière, cela doit être vraiment intéressant ?
M.S : Tout dépend de l'acteur, je dirais ! Je pense que certains comédiens français ne sont pas forcément capables de jouer tout ce que l'acteur étranger joue. A l'inverse, il est vrai qu'on peut améliorer le comédien qu'on double, comme Patrick Poivey avec Bruce Willis. Il ajoute un truc en plus et c'est parfait !
R.S : Justement, pour le public c'est très important les "voix officielles". Le changement est toujours vécu comme une trahison !
M.S : Moi je suis plutôt beau joueur là-dessus, tu vois. Je n'ai pas toujours fait la voix de Don Cheadle, mais j'estime que quand le travail est bien fait, tant mieux ! En revanche, si l'acteur français est là pour enfiler les boucles sans respecter le travail de l'acteur étranger, là non ! Je dis : faisons des essais et on prendra le meilleur. Malheureusement, la mode actuelle en doublage c'est de prendre des acteurs français très connus pour faire parler un peu plus du film même si le résultat n'est pas forcément génial.
R.S : Je sais que tu prépares un court métrage en tant que réalisateur et comédien. Tu peux en parler un peu ?
M.S : Le projet a été déposé mais je préfère t'en reparler lorsqu'il sera terminé ! Disons que ce sera le deuxième que je réalise.
R.S : Côté loisirs, quelle est ta grande passion ?
M.S : J'adore le roller, la passion m'est venue sur le tournage du "Grand Pardon II" à Miami en 1992. Là-bas tout le monde pratique le roller ! D'ailleurs, à Paris, pour éviter la circulation, je me déplace souvent comme ça.
R.S : Merci beaucoup Marc.
M.S : Je suis d'une nature plutôt enjouée, j'adore la communication... J'ai d'ailleurs commencé par faire de la radio à 15 ans puis, naturellement, je me suis dirigé vers la comédie. J'ai fait des essais au conservatoire de Marseille et j'ai été sélectionné. Puis j'ai tourné des téléfilms dans le sud, j'ai fait du théâtre et ensuite je suis monté à Paris !
R.S : Comment es-tu venu au doublage qui est un milieu très fermé ?
M.S : En fait, j'ai tourné dans le téléfilm "le Radjah des mers" avec François Leccia qui m'a proposé des adresses et je m'y suis présenté de sa part. J'ai beaucoup insisté et attendu pour pouvoir doubler quelque chose d'intéressant. On commence par des petits rôles, mais l'important dans ce métier c'est d'être présent pour pouvoir espérer le grand rôle ! Mais c'est vrai que l'entrée est de plus en plus difficile, il faut beaucoup de patience et bien maîtriser cette technique... En plus du talent, il faut énormément de relationnel. En tout cas pour moi le doublage est une branche du métier très importante. Il te permet d'exercer tes talents d'acteur dans des rôles qu'on ne t'a pas forcément offerts en tournage.
R.S : Te souviens-tu de ton premier doublage ?
M.S : Oui, mais c'était un "man" 1 ou 2 qui ne prononçait qu'une seule phrase du style "la voiture de monsieur est avancée" !
R.S : As-tu déjà rencontré des acteurs à qui tu as prêté ta voix ?
M.S : Non. En revanche j'ai croisé beaucoup de comédiens que je rêvais de rencontrer, comme Christopher Walken qui est un excellent souvenir ! Rencontrer Jennifer Beals que j'ai découverte adolescent dans Flashdance c'est vraiment délirant ! En même temps, la grande surprise, c'est de découvrir qu'ils sont super simples et on s'aperçoit que les plus grands ne se prennent pas la tête.
R.S : Sinon aimerais-tu un jour rencontrer un acteur que tu doubles régulièrement ?
M.S : Oui, j'aimerais beaucoup. Notamment Don Cheadle et Jeremy Pivens, des acteurs sur lesquels ma voix et mon énergie collent plutôt bien.
R.S : Tu te souviens de ton premier dessin animé ?
M.S : J'ai beaucoup fait de guests, mais le premier grand dessin animé c'est Dexter.
R.S : Quel est ton meilleur souvenir en doublage ?
M.S : Je dirais deux, car quelquefois on a des rencontres de personnages. Et c'est ce qui s'est passé notamment avec Don Cheadle, que j'ai doublé pour la première fois dans un téléfilm qui s'appelait "L'étoile du Bronx". Et j'ai tout de suite senti le déclic. Le second, c'est Michael DeLorenzo dans la série "New York Undercover". Je n'ai pas eu besoin de composer quelque chose, j'ai compris naturellement sa sensibilité, son rythme de jeu. Quand tu suis un comédien sur trois saisons comme c'était le cas pour moi avec cette série, sans t'identifier réellement tu es hyper attaché au personnage, ce qui donne une sensation très étrange !
R.S : Suivre un acteur étranger pendant toute sa carrière, cela doit être vraiment intéressant ?
M.S : Tout dépend de l'acteur, je dirais ! Je pense que certains comédiens français ne sont pas forcément capables de jouer tout ce que l'acteur étranger joue. A l'inverse, il est vrai qu'on peut améliorer le comédien qu'on double, comme Patrick Poivey avec Bruce Willis. Il ajoute un truc en plus et c'est parfait !
R.S : Justement, pour le public c'est très important les "voix officielles". Le changement est toujours vécu comme une trahison !
M.S : Moi je suis plutôt beau joueur là-dessus, tu vois. Je n'ai pas toujours fait la voix de Don Cheadle, mais j'estime que quand le travail est bien fait, tant mieux ! En revanche, si l'acteur français est là pour enfiler les boucles sans respecter le travail de l'acteur étranger, là non ! Je dis : faisons des essais et on prendra le meilleur. Malheureusement, la mode actuelle en doublage c'est de prendre des acteurs français très connus pour faire parler un peu plus du film même si le résultat n'est pas forcément génial.
R.S : Je sais que tu prépares un court métrage en tant que réalisateur et comédien. Tu peux en parler un peu ?
M.S : Le projet a été déposé mais je préfère t'en reparler lorsqu'il sera terminé ! Disons que ce sera le deuxième que je réalise.
R.S : Côté loisirs, quelle est ta grande passion ?
M.S : J'adore le roller, la passion m'est venue sur le tournage du "Grand Pardon II" à Miami en 1992. Là-bas tout le monde pratique le roller ! D'ailleurs, à Paris, pour éviter la circulation, je me déplace souvent comme ça.
R.S : Merci beaucoup Marc.