Eric Marchal
Doublage
Making-of
1883
télévision, VOD & DVD
2023
Formation
1996/1997 Cie du Passeur – Aix -en-Provence
Recherche sur le clown et le masque
1994/1995 Théâtre du petit monde Roland Pilain
Harpagon, Scapin, Philinte de Molière, Flambeau de Rostand, Napoléon dans Madame sans gêne de Victorien Sardou
1993 Stages successifs avec Jean-Paul Denizon de la troupe d’acteurs de Peter Brook
Hamlet puis Orlando dans "Comme il vous plaira" de Shakespeare
Rapport pour une Académie de Kafka, James et les Pélicans de Pat Galworthy
1991/1992 Conservatoire Fanny Vallon
Caligula de camus, Stanley dans "Un tramway nommé désir" de Tennesee Williams, rôle du Vice-Roi dans le carosse inutile de Prosper Mérimée, Georges dans Qui a peur de Virginia Wolf de T. William, Raymond de Falgar dans l’évêque et la vieille dame de Zoé Holden bourg
1991/2000 Membre de la Bewegungthéâtre dirigée par Hiro Uchiyama
Stage à Freibourg ( Allemagne ) en 1991
En marchant je suis, 1992
1990 Franco américaine de théâtre, Sarah Eigerman (Actor Studio)
Helmer in "A doll house" by Ibsen, Stanley in a steet car named
Désire by T. Williams
Recherche sur le clown et le masque
1994/1995 Théâtre du petit monde Roland Pilain
Harpagon, Scapin, Philinte de Molière, Flambeau de Rostand, Napoléon dans Madame sans gêne de Victorien Sardou
1993 Stages successifs avec Jean-Paul Denizon de la troupe d’acteurs de Peter Brook
Hamlet puis Orlando dans "Comme il vous plaira" de Shakespeare
Rapport pour une Académie de Kafka, James et les Pélicans de Pat Galworthy
1991/1992 Conservatoire Fanny Vallon
Caligula de camus, Stanley dans "Un tramway nommé désir" de Tennesee Williams, rôle du Vice-Roi dans le carosse inutile de Prosper Mérimée, Georges dans Qui a peur de Virginia Wolf de T. William, Raymond de Falgar dans l’évêque et la vieille dame de Zoé Holden bourg
1991/2000 Membre de la Bewegungthéâtre dirigée par Hiro Uchiyama
Stage à Freibourg ( Allemagne ) en 1991
En marchant je suis, 1992
1990 Franco américaine de théâtre, Sarah Eigerman (Actor Studio)
Helmer in "A doll house" by Ibsen, Stanley in a steet car named
Désire by T. Williams
Radio
Dramatiques radiophoniques (Radio-France) :
1999 "Les aventures d’Edgar Flanders" par jean Matthieu Zahn
1999 "La malédiction de Mornefange" par G. Peyrou
1998 "La bande à Bonnot" par M. Meerson
1998 "Les tueurs d’Edimbourg" par E. Fremy
1998 "L’Odyssée d’Abounaparti" par Ch .Bernard Sugy
1999 "Les aventures d’Edgar Flanders" par jean Matthieu Zahn
1999 "La malédiction de Mornefange" par G. Peyrou
1998 "La bande à Bonnot" par M. Meerson
1998 "Les tueurs d’Edimbourg" par E. Fremy
1998 "L’Odyssée d’Abounaparti" par Ch .Bernard Sugy
Théâtre
1998 "Kaï-Dan", contes fantastiques, mise en scène d'Hiro Uchiyama. Paris, espace Bertin Poirée ; Montferrat (Var)
Interview
R.S : Bonjour Eric.
E.M : Bonjour.
R.S : Peux-tu parler de ton parcours de comédien ?
E.M : Mon parcours est classique, je crois. Le cinéma et les séries américaines sont à l'origine de ma passion. Ensuite, j'ai découvert les textes classiques français grâce à M.Pilain, un vieil homme de 80 ans à l'époque, mais avec une telle passion. Puis j'ai poursuivi ma route, jalonnée de rencontres diverses.
R.S : La formation est un point de départ important, n'est-ce pas ?
E.M : Elle est essentielle, mais il ne faut pas perdre notre spécificité et à un moment il faut oublier ce qu'on a appris. Après la formation, il y a l'exigence et le questionnement continu. L'important est d'apprendre, et c'est sans fin.
R.S : J'entends souvent dire que jouer devient vite un besoin, le ressens-tu également ?
E.M : Tout à fait, après le stress, la tension, la brume des débuts, il y a le plaisir de jouer. Il faut cependant se garder de l'excès et garder une vérité et une sincérité.
R.S : Comment as-tu pris le chemin du doublage ?
E.M : En fait, c'est devant le manque d'opportunité à l'image que je me suis dirigé vers le doublage. Ce qui était au début un pis-aller s'est avéré formateur et révélateur pour moi, en parallèle à mon parcours de vie.
R.S : Comprendre le jeu d'un autre comédien pour l'interpréter dans une autre langue en restant le plus fidèle possible ça semble être un grand défi ?
E.M : C'est surtout une ouverture et une humilité.
R.S : Artistiquement parlant que t'apporte cette branche de la profession ?
E.M : Elle est l'occasion d'exprimer des sentiments, de vivre des situations totalement improbables parfois. Avec le temps, il y a aussi des rencontres, des découvertes.
R.S : Qu'évoque pour toi le mot acteur ?
E.M : Des artistes que je respecte énormément, que j'essaie d'approcher, mais de très très loin.
R.S : Quelles sont tes autres passions ?
E.M : La guitare flamenca que je pratique, la musique classique, et surtout ma famille.
R.S : Merci beaucoup Eric.
Interview de mars 2011
E.M : Bonjour.
R.S : Peux-tu parler de ton parcours de comédien ?
E.M : Mon parcours est classique, je crois. Le cinéma et les séries américaines sont à l'origine de ma passion. Ensuite, j'ai découvert les textes classiques français grâce à M.Pilain, un vieil homme de 80 ans à l'époque, mais avec une telle passion. Puis j'ai poursuivi ma route, jalonnée de rencontres diverses.
R.S : La formation est un point de départ important, n'est-ce pas ?
E.M : Elle est essentielle, mais il ne faut pas perdre notre spécificité et à un moment il faut oublier ce qu'on a appris. Après la formation, il y a l'exigence et le questionnement continu. L'important est d'apprendre, et c'est sans fin.
R.S : J'entends souvent dire que jouer devient vite un besoin, le ressens-tu également ?
E.M : Tout à fait, après le stress, la tension, la brume des débuts, il y a le plaisir de jouer. Il faut cependant se garder de l'excès et garder une vérité et une sincérité.
R.S : Comment as-tu pris le chemin du doublage ?
E.M : En fait, c'est devant le manque d'opportunité à l'image que je me suis dirigé vers le doublage. Ce qui était au début un pis-aller s'est avéré formateur et révélateur pour moi, en parallèle à mon parcours de vie.
R.S : Comprendre le jeu d'un autre comédien pour l'interpréter dans une autre langue en restant le plus fidèle possible ça semble être un grand défi ?
E.M : C'est surtout une ouverture et une humilité.
R.S : Artistiquement parlant que t'apporte cette branche de la profession ?
E.M : Elle est l'occasion d'exprimer des sentiments, de vivre des situations totalement improbables parfois. Avec le temps, il y a aussi des rencontres, des découvertes.
R.S : Qu'évoque pour toi le mot acteur ?
E.M : Des artistes que je respecte énormément, que j'essaie d'approcher, mais de très très loin.
R.S : Quelles sont tes autres passions ?
E.M : La guitare flamenca que je pratique, la musique classique, et surtout ma famille.
R.S : Merci beaucoup Eric.
Interview de mars 2011