Olivier Destrez
Doublage
Publicité
Emirates
Série documentaire
Clarkson’s farm (8 ép.)
Voice-over
The Grand Tour
Voice-over
Top Gear
Documentaire
Comedy Central Roast of Charlie Sheen
Voix
Commentaire & Voice-over
Reportages
Documentaire
La fonte de l'antarctique
Documentaire
Les enquêtes du National géographique
Documentaire
Monsieur Patel tourne à Bollywood
Documentaire
Top Gear
Documentaire
Vaches folles, vaches sacrées
Films de Formation
Crédit Agricole
Films de Formation
SNCF
Formation
Cours Simon (B. Lord)
Cours d'Andréas Voutsinas
Langues : Anglais, Allemand (bonnes notions)
Sports : Equitation, tennis, ski, natation, voile, ping-pong...
Permis : Voiture, moto (toutes catégories)
Cours d'Andréas Voutsinas
Langues : Anglais, Allemand (bonnes notions)
Sports : Equitation, tennis, ski, natation, voile, ping-pong...
Permis : Voiture, moto (toutes catégories)
Cinéma
"Ben Boulaïd" réalisé par Ahmed Rachedi
"Un monde sans pitié" réalisé par Eric Rochant (César, Prix Louis Deluc)
"Un monde sans pitié" réalisé par Eric Rochant (César, Prix Louis Deluc)
Conventions
A l'espace Cardin et à Rome...
Courts métrages
IDHEC -Ecole Vaugirard
Films de communication interne
BNP, Peugeot, EDF, Canon, ...
Présentateur télé
"Tapis Vert" en direct à 20h30 sur TF1
"Audio Vidéo Magazine" Magazine automobile
Emission "Spectacles" sur Radio Montmarte
"Audio Vidéo Magazine" Magazine automobile
Emission "Spectacles" sur Radio Montmarte
Publicités
Tournages en France et à l’étranger. (Cinéma, Télévision, Internet...)
Messages Publicitaires : Radio, Télévision...
Messages Publicitaires : Radio, Télévision...
Radio
Dramatiques, Récits... (France Culture, Radio Suisse Romande)
Télévision
"Un mariage controversé" réalisé par Fabrice Groix
"Banlieue Sud-Est", de René Fallet, réalisé par Gilles Grangier (1er rôle 2 x 1h30)
"Les moyens du bord" de Michel Mohrt, réalisé par Bernard Toublanc Michel (2ème rôle 2 x 1h30)
"Le temps d'une Miss" réalisé par Jean-Daniel Simon (2ème rôle -Ciné 16)
"Le nœud de vipères" réalisé par Jacques Trébouta (Meilleure réalisation TV 1979)
" Etre heureux sans le bonheur" réalisé par Jacques Trébouta
"La tentation d'Antoine" réalisé par Jean Chapot (Cinq dernières minutes)
"Un fait d'hiver" réalisé par Jean Chapot
"Virginie qui va" réalisé par Pierre Goutas
"Rue Carnot" réalisé par Pierre Goutas
"Le roseau pensant" réalisé par Alain Dhénaut
"L'appartement" de Jean Bouchaud, réalisé par Dominique Guliani
"Hôtel de Police" réalisé par Jean-Pierre Prévost
"Paris mirage" réalisé par Yves Lomet
"La Comtesse de Charny" réalisé par Marion Sarrault, dans le rôle de Lafayette
"Silvera contre Silvera" réalisé par Antoine Masson, dans le rôle de Silvera
"Kartapus et le grand enfant" réalisé par Eric Communier
"Banlieue Sud-Est", de René Fallet, réalisé par Gilles Grangier (1er rôle 2 x 1h30)
"Les moyens du bord" de Michel Mohrt, réalisé par Bernard Toublanc Michel (2ème rôle 2 x 1h30)
"Le temps d'une Miss" réalisé par Jean-Daniel Simon (2ème rôle -Ciné 16)
"Le nœud de vipères" réalisé par Jacques Trébouta (Meilleure réalisation TV 1979)
" Etre heureux sans le bonheur" réalisé par Jacques Trébouta
"La tentation d'Antoine" réalisé par Jean Chapot (Cinq dernières minutes)
"Un fait d'hiver" réalisé par Jean Chapot
"Virginie qui va" réalisé par Pierre Goutas
"Rue Carnot" réalisé par Pierre Goutas
"Le roseau pensant" réalisé par Alain Dhénaut
"L'appartement" de Jean Bouchaud, réalisé par Dominique Guliani
"Hôtel de Police" réalisé par Jean-Pierre Prévost
"Paris mirage" réalisé par Yves Lomet
"La Comtesse de Charny" réalisé par Marion Sarrault, dans le rôle de Lafayette
"Silvera contre Silvera" réalisé par Antoine Masson, dans le rôle de Silvera
"Kartapus et le grand enfant" réalisé par Eric Communier
Théâtre
"Egmont" de Goethe - mise en scène de Michel Le Royer, dans le rôle de Ferdinant. Théâtre 374 Paris 9ème
"Un loup à cinq pattes" de Raymond Gerbal - mise en scène d'Edmond Tamiz. Théâtre Romain Rolland à Villejuif et Théâtre 71 à Malakoff
"Théâtre de chambre" de Michel Vinaver - mise en scène de Jacques Lassalle. Théâtre de l’Est Parisien, Studio Théâtre de Vitry et Tournée en France (Prix de la critique : Meilleure création française 1978)
"Le bavard imprudent" de Goldoni - mise en scène de Jean Bouchaud et Georges Werler. Festival du Marais - Spectacle diffusé sur FR3
"Le cœur sur la main" de Loleh Bellon - mise en scène de Jean Bouchaud. Studio des Champs-Elysées et Tournée en Europe et en Tunisie (Prix National du théâtre, avec Susanne Flon)
"Un loup à cinq pattes" de Raymond Gerbal - mise en scène d'Edmond Tamiz. Théâtre Romain Rolland à Villejuif et Théâtre 71 à Malakoff
"Théâtre de chambre" de Michel Vinaver - mise en scène de Jacques Lassalle. Théâtre de l’Est Parisien, Studio Théâtre de Vitry et Tournée en France (Prix de la critique : Meilleure création française 1978)
"Le bavard imprudent" de Goldoni - mise en scène de Jean Bouchaud et Georges Werler. Festival du Marais - Spectacle diffusé sur FR3
"Le cœur sur la main" de Loleh Bellon - mise en scène de Jean Bouchaud. Studio des Champs-Elysées et Tournée en Europe et en Tunisie (Prix National du théâtre, avec Susanne Flon)
Interview
R.S : Bonjour Olivier...
O.D : Bonjour Reynald.
R.S : Votre désir de devenir comédien vous a-t-il toujours habité ?
O.D : Enfant, je n'avais pas la télévision et j'allais beaucoup au cinéma. Et c'est le cinéma, avec les émotions qu'il m'a procurées, qui m'a donné envie d'être comédien. Et puis j'aimais faire des imitations, faire rire. En fait, à l'âge de treize ans je savais déjà ce que je voulais faire. Finalement tout est parti d'un rêve d'enfant !
R.S : On est forcément confronté à des difficultés, car ce métier est difficile. Cela ne vous a-t-il jamais découragé ?
O.D : Les difficultés sont des passages obligés qu'il faut accepter. L'important c'est de toujours y croire.
R.S : Comment avez-vous commencé le doublage ?
O.D : En me postsynchronisant sur des rôles que j'avais moi-même tournés. Et puis, à la suite de cela, j'ai eu des propositions. Les choses se sont faites naturellement, c'est une chance.
R.S : John Stamos, par exemple, est un comédien que vous suivez régulièrement. Il a beaucoup évolué depuis ses premiers pas. Vous êtes vous adapté à son évolution ou cela s'est-il fait naturellement grâce à ce suivi ?
O.D : Tout d'abord, je dois dire que j'ai toujours un grand plaisir à doubler John Stamos. Cela a commencé par une série très amusante qui s'appelait "Tel père tel fils". Le rôle du père était doublé par le regretté Philippe Dumas. Puis il y a eu la série "La fête à la maison". J'aimais beaucoup le personnage qu'il y interprétait. Puis je l'ai doublé dans un grand nombre de téléfilms. Actuellement je le double dans "Urgences" où il participe à quelques épisodes. Pour répondre plus précisément à votre question, je m'adapte tout naturellement à son jeu selon les personnages qu'il interprète.
R.S : Lorsqu'on travaille sur des séries à succès et qu'on retrouve une même équipe, j'imagine qu'une complicité exemplaire se crée et que ça se ressent forcément dans le jeu ?
O.D : Il est certain qu'une bonne complicité entre les acteurs est un élément positif pour le jeu, surtout dans la comédie.
R.S : Parmi les comédiens que vous doublez, je me souviens de votre rencontre avec Todd McKee. Pouvez-vous en parler ?
O.D : J'ai fait la connaissance de Todd M Kee pour l'émission "Sacrée Soirée" de Jean-Pierre Foucault. C'était une très grosse vedette à l'époque. Je me souviens de sa gentillesse, de sa simplicité et de son professionnalisme, notamment dans la préparation de notre sketch. Pour l'anecdote, pour aller dîner nous sommes sortis par une porte dérobée, entourés de gardes du corps.
R.S : Si vous deviez donner une définition du doublage, que diriez-vous ?
O.D : L'art d'exister tout en se faisant oublier.
R.S : Vous avez également travaillé en tant que présentateur à la télévision. Le fait d'être comédien vous a-t-il aidé ?
O.D : Oui bien sûr ! Pour le rapport à la caméra, le fait de savoir prendre ses places et se déplacer sur un plateau, pour la diction, la mémoire… Et puis, présentateur, n'est-ce pas déjà un peu un rôle ?
R.S : Quelles sont vos passions ?
O.D : Avant tout mon métier mais aussi les voyages, la nature, l'art en général, la liste est longue…
R.S : Merci beaucoup Olivier.
O.D : Merci Reynald. Et merci pour votre site !
Interview de mars 2007
O.D : Bonjour Reynald.
R.S : Votre désir de devenir comédien vous a-t-il toujours habité ?
O.D : Enfant, je n'avais pas la télévision et j'allais beaucoup au cinéma. Et c'est le cinéma, avec les émotions qu'il m'a procurées, qui m'a donné envie d'être comédien. Et puis j'aimais faire des imitations, faire rire. En fait, à l'âge de treize ans je savais déjà ce que je voulais faire. Finalement tout est parti d'un rêve d'enfant !
R.S : On est forcément confronté à des difficultés, car ce métier est difficile. Cela ne vous a-t-il jamais découragé ?
O.D : Les difficultés sont des passages obligés qu'il faut accepter. L'important c'est de toujours y croire.
R.S : Comment avez-vous commencé le doublage ?
O.D : En me postsynchronisant sur des rôles que j'avais moi-même tournés. Et puis, à la suite de cela, j'ai eu des propositions. Les choses se sont faites naturellement, c'est une chance.
R.S : John Stamos, par exemple, est un comédien que vous suivez régulièrement. Il a beaucoup évolué depuis ses premiers pas. Vous êtes vous adapté à son évolution ou cela s'est-il fait naturellement grâce à ce suivi ?
O.D : Tout d'abord, je dois dire que j'ai toujours un grand plaisir à doubler John Stamos. Cela a commencé par une série très amusante qui s'appelait "Tel père tel fils". Le rôle du père était doublé par le regretté Philippe Dumas. Puis il y a eu la série "La fête à la maison". J'aimais beaucoup le personnage qu'il y interprétait. Puis je l'ai doublé dans un grand nombre de téléfilms. Actuellement je le double dans "Urgences" où il participe à quelques épisodes. Pour répondre plus précisément à votre question, je m'adapte tout naturellement à son jeu selon les personnages qu'il interprète.
R.S : Lorsqu'on travaille sur des séries à succès et qu'on retrouve une même équipe, j'imagine qu'une complicité exemplaire se crée et que ça se ressent forcément dans le jeu ?
O.D : Il est certain qu'une bonne complicité entre les acteurs est un élément positif pour le jeu, surtout dans la comédie.
R.S : Parmi les comédiens que vous doublez, je me souviens de votre rencontre avec Todd McKee. Pouvez-vous en parler ?
O.D : J'ai fait la connaissance de Todd M Kee pour l'émission "Sacrée Soirée" de Jean-Pierre Foucault. C'était une très grosse vedette à l'époque. Je me souviens de sa gentillesse, de sa simplicité et de son professionnalisme, notamment dans la préparation de notre sketch. Pour l'anecdote, pour aller dîner nous sommes sortis par une porte dérobée, entourés de gardes du corps.
R.S : Si vous deviez donner une définition du doublage, que diriez-vous ?
O.D : L'art d'exister tout en se faisant oublier.
R.S : Vous avez également travaillé en tant que présentateur à la télévision. Le fait d'être comédien vous a-t-il aidé ?
O.D : Oui bien sûr ! Pour le rapport à la caméra, le fait de savoir prendre ses places et se déplacer sur un plateau, pour la diction, la mémoire… Et puis, présentateur, n'est-ce pas déjà un peu un rôle ?
R.S : Quelles sont vos passions ?
O.D : Avant tout mon métier mais aussi les voyages, la nature, l'art en général, la liste est longue…
R.S : Merci beaucoup Olivier.
O.D : Merci Reynald. Et merci pour votre site !
Interview de mars 2007