Benjamin Gasquet
Doublage
Documentaire
Alexandre le Grand : Au rang des Dieux (Bessus)
Voix
Audiodescription
Souvenirs de Marnie
Documentaire
Bear of Fear Island
Documentaire
Je veux croire aux ovnis (Danny Dyer)
Documentaire
Pas banal, l'animal (Nick Baker)
Documentaire
Prohibition
Narration
The day I almost died (Discovery)
Publicité
Crédit Mutuel
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Fête de la musique (diff France Inter, France Bleu, Le Mouv)
Publicité
IBM (TV diff nationale)
Voice-over
Court-Circuit (ARTE)
Voice-over
Documentaires & émissions (ARTE, Planète, NRJ12)
Voice-over
Michael Jackson : Leaving Neverland (Wade Robson)
Direction artistique
Formation
Formation aux métiers de l’acteur (3 ans), Cie Vagabond, Marc Adjadj
Le clown, par Eric Blouet
2008 Doublage et voix off, par François Dunoyer, Vincent Violette, Jean Barney
Langues :
Anglais : Lu, écrit, parlé
Italien : lu, écrit, parlé
Russe, espagnol : notions
Le clown, par Eric Blouet
2008 Doublage et voix off, par François Dunoyer, Vincent Violette, Jean Barney
Langues :
Anglais : Lu, écrit, parlé
Italien : lu, écrit, parlé
Russe, espagnol : notions
Cinéma
2018 "Décapitalisation" réalisé par Pierre Zellner, dans le rôle d'Emmanuel Macron. Sélectionné au Festival du Film politique de Porto Vecchio
Courts métrages
2010 "All-in" réalisé par Thibaut Buccellato, dans le rôle de Bruno
2009 "Babel 2033" réalisé par Haja Leca, dans le rôle principal
2009 "Babel 2033" réalisé par Haja Leca, dans le rôle principal
Télévision
2010 "R.I.S. Police scientifique" TF1
2010 "Les Beaux Mecs" France 2
2010 "Les Beaux Mecs" France 2
Théâtre
"Amargi ! (Anti-tragédie de la dette)" de Judith Bernard - mise en scène de l'auteur. La Manufacture des Abbesses
"Bienvenue dans l'angle Alpha" de Frédéric Lordon - mise en scène de Judith Bernard
"D'un retournement, l'autre" de Frédéric Lordon - mise en scène de Judith Bernard
"Cabaret Beau joueur" de Judith Bernard - mise en scène de Judith Bernard
"Psychomédie" de Jean-Lou Poirier - mise en scène de Jean-Lou Poirier
"Léonie est avance" de Georges Feydeau - mise en scène de Jean Lou Poirier, dans le rôle de Toudoux
"Bataille Navale" (rôle de Blandaimé), "Bronche", "Le Panari", "Rumeur" pièces courtes de Jean-Michel Ribes - mise en scène Jean Lou Poirier
"Les Boulingrin" (rôle de M. Boulingrin), "Le Gora", "La peur des coups" pièces courtes de George Courteline - mise en scène Jean Lou Poirier
"La Ballade des planches" de Jean-Paul Alègre - mise en scène Jean Lou Poirier
"Bienvenue dans l'angle Alpha" de Frédéric Lordon - mise en scène de Judith Bernard
"D'un retournement, l'autre" de Frédéric Lordon - mise en scène de Judith Bernard
"Cabaret Beau joueur" de Judith Bernard - mise en scène de Judith Bernard
"Psychomédie" de Jean-Lou Poirier - mise en scène de Jean-Lou Poirier
"Léonie est avance" de Georges Feydeau - mise en scène de Jean Lou Poirier, dans le rôle de Toudoux
"Bataille Navale" (rôle de Blandaimé), "Bronche", "Le Panari", "Rumeur" pièces courtes de Jean-Michel Ribes - mise en scène Jean Lou Poirier
"Les Boulingrin" (rôle de M. Boulingrin), "Le Gora", "La peur des coups" pièces courtes de George Courteline - mise en scène Jean Lou Poirier
"La Ballade des planches" de Jean-Paul Alègre - mise en scène Jean Lou Poirier
Vidéoclips
2010 "Soyons beaux joueurs"
Interview
R.S : Bonjour Benjamin.
B.G : Bonjour Reynald !
R.S : Pouvez-vous parler de vos premiers pas de comédien ?
B.G : J'ai commencé quand j'avais 11 ans, je m'étais inscrit au club théâtre de mon collège. J'ai tout de suite adoré ça mais je ne pensais pas en faire mon métier à l'époque... Cependant je me suis toujours senti un attrait profond pour la profession.
R.S : Avez-vous su rapidement quel chemin prendre ?
B.G : Pas du tout ! J'ai d'abord fait des études de commerce pendant 5 ans, je voulais être sûr d'avoir un métier. Ensuite j'ai travaillé dans la distribution de films puis la post-production pendant quelques années, déjà attiré par les métiers de l'audiovisuel. Je faisais toujours du théâtre, mais en amateur. Ça me titillait d'en faire mon métier mais le pas n'était pas facile à franchir.
R.S : Lorsque vous vous êtes trouvé devant un public, avez-vous eu le fameux trac ?
B.G : Oh que oui, surtout que je commençais par un monologue seul face au public, où je m'adressais à lui. Aujourd'hui encore, j'ai toujours le cœur qui bat et l'estomac noué. Mais quand le rideau s'ouvre, il suffit de quelques secondes et tout cela disparaît.
R.S : Comment avez-vous commencé le doublage ?
B.G : Dans ma boîte de post-production il y avait une filiale doublage : Franc-Jeu. J'étais très fortement attiré par cette discipline qui me faisait envie depuis plusieurs années et pour le plaisir j'assistais régulièrement à des séances avec Catherine Brot qui dirigeait beaucoup là-bas. Puis un jour elle m'a fait faire une petite voix "off". J'étais pris dans les mailles du filet.
R.S : Qu’avez-vous ressenti les premières fois où vous vous êtes retrouvé derrière la barre ?
B.G : Le trac, le blocage : je devais dire "intrusion centre de commande" et les mots sont restés dans ma gorge. La panique ! Puis j'ai respiré un bon coup, et finalement c'est sorti.
R.S : Que vous apporte le doublage, artistiquement parlant ?
B.G : J'adore me fondre dans la peau d'autres acteurs, il y a un petit côté jouissif à entendre sa voix dans la bouche d'un autre. Et puis cela me donne l'opportunité de jouer des rôles que jamais on ne me proposerait. Avec une palette d'émotions souvent très intéressantes.
R.S : Que vous soyez devant une caméra, sur scène, derrière la barre... chaque façon d’exercer votre métier doit vous apporter son lot de satisfaction, n’est-ce pas ?
B.G : Bien sûr, je ne ressens pas le même plaisir pour chaque discipline, mais en tout cas j'en ressens à chaque fois. C'est un métier formidable et je m'estime aujourd'hui très chanceux de pouvoir en vivre.
R.S : Quelles sont vos passions ?
B.G : Je fais un peu de photographie, j'adore lire, je suis bédéphile et je fais autant de sport que possible, notamment de l'escalade, que je pratique en salle ou en pleine nature : être accroché à une paroi avec plusieurs centaines de mètres en dessous est une sensation incroyable.
R.S : Merci beaucoup Benjamin.
B.G : C'est moi qui vous remercie !
Interview d'août 2011
B.G : Bonjour Reynald !
R.S : Pouvez-vous parler de vos premiers pas de comédien ?
B.G : J'ai commencé quand j'avais 11 ans, je m'étais inscrit au club théâtre de mon collège. J'ai tout de suite adoré ça mais je ne pensais pas en faire mon métier à l'époque... Cependant je me suis toujours senti un attrait profond pour la profession.
R.S : Avez-vous su rapidement quel chemin prendre ?
B.G : Pas du tout ! J'ai d'abord fait des études de commerce pendant 5 ans, je voulais être sûr d'avoir un métier. Ensuite j'ai travaillé dans la distribution de films puis la post-production pendant quelques années, déjà attiré par les métiers de l'audiovisuel. Je faisais toujours du théâtre, mais en amateur. Ça me titillait d'en faire mon métier mais le pas n'était pas facile à franchir.
R.S : Lorsque vous vous êtes trouvé devant un public, avez-vous eu le fameux trac ?
B.G : Oh que oui, surtout que je commençais par un monologue seul face au public, où je m'adressais à lui. Aujourd'hui encore, j'ai toujours le cœur qui bat et l'estomac noué. Mais quand le rideau s'ouvre, il suffit de quelques secondes et tout cela disparaît.
R.S : Comment avez-vous commencé le doublage ?
B.G : Dans ma boîte de post-production il y avait une filiale doublage : Franc-Jeu. J'étais très fortement attiré par cette discipline qui me faisait envie depuis plusieurs années et pour le plaisir j'assistais régulièrement à des séances avec Catherine Brot qui dirigeait beaucoup là-bas. Puis un jour elle m'a fait faire une petite voix "off". J'étais pris dans les mailles du filet.
R.S : Qu’avez-vous ressenti les premières fois où vous vous êtes retrouvé derrière la barre ?
B.G : Le trac, le blocage : je devais dire "intrusion centre de commande" et les mots sont restés dans ma gorge. La panique ! Puis j'ai respiré un bon coup, et finalement c'est sorti.
R.S : Que vous apporte le doublage, artistiquement parlant ?
B.G : J'adore me fondre dans la peau d'autres acteurs, il y a un petit côté jouissif à entendre sa voix dans la bouche d'un autre. Et puis cela me donne l'opportunité de jouer des rôles que jamais on ne me proposerait. Avec une palette d'émotions souvent très intéressantes.
R.S : Que vous soyez devant une caméra, sur scène, derrière la barre... chaque façon d’exercer votre métier doit vous apporter son lot de satisfaction, n’est-ce pas ?
B.G : Bien sûr, je ne ressens pas le même plaisir pour chaque discipline, mais en tout cas j'en ressens à chaque fois. C'est un métier formidable et je m'estime aujourd'hui très chanceux de pouvoir en vivre.
R.S : Quelles sont vos passions ?
B.G : Je fais un peu de photographie, j'adore lire, je suis bédéphile et je fais autant de sport que possible, notamment de l'escalade, que je pratique en salle ou en pleine nature : être accroché à une paroi avec plusieurs centaines de mètres en dessous est une sensation incroyable.
R.S : Merci beaucoup Benjamin.
B.G : C'est moi qui vous remercie !
Interview d'août 2011