Jim Redler
Doublage
Voix
Documentaire
Hunting Cat6 (Mike Theiss)
Documentaire
Shiny_Flakes: Le petit baron du darknet (Maximilian Schmidt)
Publicité
Artisanat
Publicité
BNP
Publicité
Cartoon Network
Publicité
Crédit Agricole
Publicité
Groupama
Publicité
Hasbro
Publicité
Malakof Médérik
Publicité
Ministčre du travail
Publicité
Mr Bricolage
Publicité
Nintendo
Publicité
Quick
Publicité
Renault
Publicité
SFR
Publicité
Volkswagen
Publicité
Wilkinson
Formation
Ecole du spectacle (forum du mouvement)
Ateliers Blanche Salant
Ateliers Blanche Salant
Cinéma et Télévision
2009/2006 "SOS 18" (Saison 3 ép. 02, dans le rôle de Jérôme) (Saison 6, ép. 06, dans le rôle de Jonathan) 2006/2009 réalisé par Bruno Garcia & Jean Sagols
1997/2004 "Quai n°1" (Saison 1, ép. 05, dans le rôle de Fred) (Saison 7, ép. 03, dans le rôle de Loïc) réalisé par Patrick Jamain
2000 "Route de nuit" réalisé par Laurent Dussaux, dans le rôle de Lucas
2000 "Brigade des mineurs" réalisé par Michaëla Watteaux, dans le rôle de Simon
2000 "Deuxième vie" réalisé par Patrick Braoudé, dans le rôle de Cédric
2001 "Les inséparables" réalisé par Thierry Redler
1999 "La traversée du phare" réalisé par Thierry Redler, dans le rôle d'Eric
1999 "Fugues" réalisé par Marrion Sarraut, dans le rôle de Jo
1998 "L'instit" (Saison 5, ép. 01) réalisé par Chrisitan Faure, dans le rôle d'Aymeric
1997 "L'enfant perdu" réalisé par Christian Faure, dans le rôle d'André
1997 "Le refuge" réalisé par Alain Schwarzstein, dans le rôle de Grégory
1995 "La ferme du crocodile" réalisé par Didier Albert, dans le rôle de Marceau
1993 "Le vilain petit canard" réalisé par Marco Pauly
1992 "Jour de fauche" réalisé par Vincent Monnet
1997/2004 "Quai n°1" (Saison 1, ép. 05, dans le rôle de Fred) (Saison 7, ép. 03, dans le rôle de Loïc) réalisé par Patrick Jamain
2000 "Route de nuit" réalisé par Laurent Dussaux, dans le rôle de Lucas
2000 "Brigade des mineurs" réalisé par Michaëla Watteaux, dans le rôle de Simon
2000 "Deuxième vie" réalisé par Patrick Braoudé, dans le rôle de Cédric
2001 "Les inséparables" réalisé par Thierry Redler
1999 "La traversée du phare" réalisé par Thierry Redler, dans le rôle d'Eric
1999 "Fugues" réalisé par Marrion Sarraut, dans le rôle de Jo
1998 "L'instit" (Saison 5, ép. 01) réalisé par Chrisitan Faure, dans le rôle d'Aymeric
1997 "L'enfant perdu" réalisé par Christian Faure, dans le rôle d'André
1997 "Le refuge" réalisé par Alain Schwarzstein, dans le rôle de Grégory
1995 "La ferme du crocodile" réalisé par Didier Albert, dans le rôle de Marceau
1993 "Le vilain petit canard" réalisé par Marco Pauly
1992 "Jour de fauche" réalisé par Vincent Monnet
Publicités
"Amora"
"Yabon"
"Philipps"
"Yabon"
"Philipps"
Théâtre
2006 "Papa qu'est ce que tu veux faire quand tu seras grand ?" de Thierry Redler
1996 "La bonne âme de Tse-Chouan" de Gilles Courdet
1996 "La bonne âme de Tse-Chouan" de Gilles Courdet
Interview
R.S : Bonjour Jim.
J.R : Bonjour Reynald.
R.S : Tu as commencé le métier enfant. Comment les choses se sont-elles passées et quels souvenirs en gardes-tu ?
J.R : Les choses se sont passées plutôt simplement étant fils et frère de comédien. J’ai baigné dans ce métier depuis ma naissance, j’ai suivi mon père ainsi que mon grand frère sur leurs lieux de travail un peu partout. Quand j’avais 5 ans, ils jouaient une pièce de théâtre tous les deux. Je crois que c’est à ce moment-là qu’est née mon envie de faire ce métier. Je voulais faire comme mon grand frère. Et à mon tour j’ai eu la chance de décrocher des castings et de tourner.
R.S : As-tu eu rapidement l’idée d’en faire ton activité professionnelle d’adulte ?
J.R : Enfant, ça me paraissait normal que ce soit ma vocation, mais en grandissant j’ai commencé à me poser des questions. Vers 17 ans, j’ai eu besoin de prendre un peu de recul. Du coup j’ai fait un petit break, tout en gardant un petit pied dans le doublage. J’ai fait de la technique sur des émissions, ça m’a fait beaucoup de bien d’être de l’autre côté de la caméra et de voir la charge de travail auquel sont confrontés les techniciens.
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
J.R : C’était sur un plateau de la SOFI pour un western, j’avais 6 ans. Je ne savais pas encore très bien lire ou du moins pas assez vite, alors on m’apprenait la phrase et on me tapait sur l’épaule au moment où je devais la dire.
R.S : Lorsque tu pratiques le doublage penses-tu apprendre quelque chose en tant que comédien ?
J.R : Bien sûr, c’est rare de pouvoir faire autant de rôles ailleurs que dans le doublage. Pour chaque nouveau personnage, il faut créer quelque chose, changer la tonalité de sa voix pour se rapprocher le plus possible de l’original.
R.S : Tu as l'expérience du micro, de la scène, de la caméra... Si tu devais choisir et ne pouvoir garder qu'un seul de ces modes d'expression de jeu, lequel garderais-tu ?
J.R : Ah ah question difficile ! Peut-être le doublage, car aujourd’hui je privilégie ma vie de famille et le théâtre et les tournages peuvent être parfois plus contraignants au niveau de l’emploi du temps.
R.S : Ecoutes-tu toi-même les VF en tant que spectateur ?
J.R : Non, je n’arrive pas à me plonger dans un film quand je reconnais mes collègues, je fais trop attention à leur travail.
R.S : Quels sont tes hobbies ?
J.R : Les sports mécaniques, la musique, les voyages...
R.S : Merci beaucoup Jim.
J.R : Merci à toi Reynald.
Interview de novembre 2017
J.R : Bonjour Reynald.
R.S : Tu as commencé le métier enfant. Comment les choses se sont-elles passées et quels souvenirs en gardes-tu ?
J.R : Les choses se sont passées plutôt simplement étant fils et frère de comédien. J’ai baigné dans ce métier depuis ma naissance, j’ai suivi mon père ainsi que mon grand frère sur leurs lieux de travail un peu partout. Quand j’avais 5 ans, ils jouaient une pièce de théâtre tous les deux. Je crois que c’est à ce moment-là qu’est née mon envie de faire ce métier. Je voulais faire comme mon grand frère. Et à mon tour j’ai eu la chance de décrocher des castings et de tourner.
R.S : As-tu eu rapidement l’idée d’en faire ton activité professionnelle d’adulte ?
J.R : Enfant, ça me paraissait normal que ce soit ma vocation, mais en grandissant j’ai commencé à me poser des questions. Vers 17 ans, j’ai eu besoin de prendre un peu de recul. Du coup j’ai fait un petit break, tout en gardant un petit pied dans le doublage. J’ai fait de la technique sur des émissions, ça m’a fait beaucoup de bien d’être de l’autre côté de la caméra et de voir la charge de travail auquel sont confrontés les techniciens.
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
J.R : C’était sur un plateau de la SOFI pour un western, j’avais 6 ans. Je ne savais pas encore très bien lire ou du moins pas assez vite, alors on m’apprenait la phrase et on me tapait sur l’épaule au moment où je devais la dire.
R.S : Lorsque tu pratiques le doublage penses-tu apprendre quelque chose en tant que comédien ?
J.R : Bien sûr, c’est rare de pouvoir faire autant de rôles ailleurs que dans le doublage. Pour chaque nouveau personnage, il faut créer quelque chose, changer la tonalité de sa voix pour se rapprocher le plus possible de l’original.
R.S : Tu as l'expérience du micro, de la scène, de la caméra... Si tu devais choisir et ne pouvoir garder qu'un seul de ces modes d'expression de jeu, lequel garderais-tu ?
J.R : Ah ah question difficile ! Peut-être le doublage, car aujourd’hui je privilégie ma vie de famille et le théâtre et les tournages peuvent être parfois plus contraignants au niveau de l’emploi du temps.
R.S : Ecoutes-tu toi-même les VF en tant que spectateur ?
J.R : Non, je n’arrive pas à me plonger dans un film quand je reconnais mes collègues, je fais trop attention à leur travail.
R.S : Quels sont tes hobbies ?
J.R : Les sports mécaniques, la musique, les voyages...
R.S : Merci beaucoup Jim.
J.R : Merci à toi Reynald.
Interview de novembre 2017